A l'un de ses proches amis qui lui ont rendu visite dans sa cellule, Cheikh Yérim Seck se serait confessé en ces termes : «je crois que ce qui m’arrive est lié au parjure que j’ai fait aux Lieux saints de l’Islam. Quand je suis allé à La Mecque, je m’étais engagé à me repentir. Et devant la Kaaba, j’avais signé un pacte moral avec Dieu, en promettant de ne plus jamais poser un acte relevant de l’adultère».
L’ancien reporter de Jeune Afrique, dit-on, d’en rajouter une couche : «je crois que c’est parce que je n’ai pas tenu promesse que je suis présentement ici (en prison)». Alors, est-ce pourquoi, à certains de ses proches qui lui ont rendu visite, aux premières heures de son interpellation à la Gendarmerie de Ngor, notre confrère disait à tout-va : «j’ai déconné».
Pour rappel, depuis le 8 Septembre dernier, Cheikh Yérim Seck est entre les mains de la Justice, après sa garde-à-vue de quelques jours dans les locaux de la Gendarmerie de Ngor et de Colobane. Jugé, mercredi passé, il devra attendre le 26 courant, pour être édifié dans son sort. D'autant que le Parquet avait requis contre lui trois ans ferme.
Actusen.com
L’ancien reporter de Jeune Afrique, dit-on, d’en rajouter une couche : «je crois que c’est parce que je n’ai pas tenu promesse que je suis présentement ici (en prison)». Alors, est-ce pourquoi, à certains de ses proches qui lui ont rendu visite, aux premières heures de son interpellation à la Gendarmerie de Ngor, notre confrère disait à tout-va : «j’ai déconné».
Pour rappel, depuis le 8 Septembre dernier, Cheikh Yérim Seck est entre les mains de la Justice, après sa garde-à-vue de quelques jours dans les locaux de la Gendarmerie de Ngor et de Colobane. Jugé, mercredi passé, il devra attendre le 26 courant, pour être édifié dans son sort. D'autant que le Parquet avait requis contre lui trois ans ferme.
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