L’affaire du saccage de la maison du maire de Bambey n’a pas fini de faire parler d’elle. Et pour cause, 3 élèves que sont Mbaye Gning, Pape Ndiamé Thiaw et Penda Diome sont convoqués pour le jeudi 14 mars par le juge d’instruction du premier Cabinet du Tribunal régional de Diourbel. Micaïllou Gaye, menuisier ébéniste demeurant à Bambey, est aussi convoqué. Il en est de même pour le gardien de la Mairie et celui du domicile du maire Aïda Mbodji. Ces convocations font suite à des auditions de quelques élèves qui avaient été attraits à la barre du Tribunal régional suite à une plainte du maire Aïda Mbodji contre X dans le cadre du saccage de son domicile.
Les faits se seraient produits le 8 décembre 2011. Ce jour, des élèves en classe de seconde au Lycée de Bambey, dans leur furie de protestation, avaient cassé des vitres, jeté des pierres, calciné même des matelas, détruit des chaises et endommagé un poste téléviseur au domicile du maire de la ville, Aïda Mbodji. Ils avaient caillassé le pare-brise du camion frigorifique offert par le ministre de l’Economie maritime. Il s’en était suivi des arrestations dans les rangs des élèves. Ces derniers qui avaient été gardés à vue au niveau de la gendarmerie de Bambey avaient été déférés après leur transfèrement à Diourbel, avant de bénéficier ensuite d’un retour de Parquet. Après leur face-à-face avec le magistrat-instructeur, ils avaient été mis sous contrôle judiciaire.
Le Quotidien
Les faits se seraient produits le 8 décembre 2011. Ce jour, des élèves en classe de seconde au Lycée de Bambey, dans leur furie de protestation, avaient cassé des vitres, jeté des pierres, calciné même des matelas, détruit des chaises et endommagé un poste téléviseur au domicile du maire de la ville, Aïda Mbodji. Ils avaient caillassé le pare-brise du camion frigorifique offert par le ministre de l’Economie maritime. Il s’en était suivi des arrestations dans les rangs des élèves. Ces derniers qui avaient été gardés à vue au niveau de la gendarmerie de Bambey avaient été déférés après leur transfèrement à Diourbel, avant de bénéficier ensuite d’un retour de Parquet. Après leur face-à-face avec le magistrat-instructeur, ils avaient été mis sous contrôle judiciaire.
Le Quotidien