Marte Dalelv avait été violée le 6 mars, alors qu’elle était de sortie avec des collègues dans le cadre d’un voyage d’affaires, selon Le Monde. Alors que la jeune femme s’était rendu au commissariat pour porter plainte, les policiers lui avaient confisqué son passeport et son argent. Trois jours plus tard, la Norvégienne était inculpée pour trois chefs d’accusation, notamment pour relation sexuelle hors mariage. Elle a alors été immédiatement licenciée par la franchise dubaïote de l’entreprise pour laquelle elle travaillait, THE One Total Home Experience, selon Rue89.
L’employeur n’avait par ailleurs pas tenu bon d’informer la famille de la jeune fille de la situation, et cette dernière a dû attendre de trouver une carte téléphonique pour contacter ses proches. Selon Torgeir Furesend, son beau-père, elle a été licenciée au motif de « comportement inacceptable ». Il qualifie l’action de l’entreprise d’« impardonnable ». THE One Total Home Experience a refusé de s’exprimer sur l’affaire.
La Norvégienne a fait appel vendredi de sa condamnation et devra donc être rejugée, probablement début septembre. En attendant, elle a trouvé refuge dans une église norvégienne de Dubaï, d’où elle a lancé un appel à une aide financière après avoir dépensé ses économies en frais d’avocat. Selon la jeune femme, son agresseur a été condamné pour sa part à treize mois de prison, pour les mêmes chefs d’accusation.
L’employeur n’avait par ailleurs pas tenu bon d’informer la famille de la jeune fille de la situation, et cette dernière a dû attendre de trouver une carte téléphonique pour contacter ses proches. Selon Torgeir Furesend, son beau-père, elle a été licenciée au motif de « comportement inacceptable ». Il qualifie l’action de l’entreprise d’« impardonnable ». THE One Total Home Experience a refusé de s’exprimer sur l’affaire.
La Norvégienne a fait appel vendredi de sa condamnation et devra donc être rejugée, probablement début septembre. En attendant, elle a trouvé refuge dans une église norvégienne de Dubaï, d’où elle a lancé un appel à une aide financière après avoir dépensé ses économies en frais d’avocat. Selon la jeune femme, son agresseur a été condamné pour sa part à treize mois de prison, pour les mêmes chefs d’accusation.