Oui, que tout le monde se le tienne pour dit : l’engagement du Président Macky SALL sur la réduction de son actuel mandat, de sept à cinq ans, de son propre gré, en toute responsabilité et dans une parfaite lucidité, ne souffre d’aucune ambiguïté ne permettant alors la moindre polémique. Sur ce, l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), se veut très clair : la prochaine élection présidentielle se tiendra en 2017, comme l’a déjà bien fixée le Chef de l’Etat lui-même et il appartient donc aux autorités compétentes de mettre en œuvre sa décision irréversible, prise devant le peuple sénégalais qui l’a brillement porté au pouvoir. Aujourd’hui, des personnalités dont l’honorable député Moustapha Cissé LO, déclarent que leur mentor fera un mandat de sept ans, renouvelable une fois, soit quatorze ans au total, oubliant que le Président Macky SALL est obligé de tenir forcement à sa promesse, pas du tout électoraliste. Au cas contraire, il aura trahi le peuple et la Loi devra lui être appliquée dans toute sa vigueur, conformément à notre Constitution D’ailleurs, tous ceux –là qui soutiennent cette idée antidémocratique, doivent être traduits en justice car défiant la toute Première Institution du pays, sur le respect d’un calendrier électoral, tant attendu par les populations, aujourd’hui gagnées par la déception et la pauvreté.
En outre, le Président Macky SALL est appelé à présenter des excuses publiques au peuple sénégalais pour avoir précocement déclaré sa candidature depuis la France à un moment où le pays reste encore confronté à d’énormes difficultés. Pour se faire réélire s’il le désire, un Chef d’Etat en exercice ne fait seulement que mettre son mandat en jeu pour permettre aux citoyens de décider librement de celui chargé de conduire sa destinée.
Ansoumana DIONE
En outre, le Président Macky SALL est appelé à présenter des excuses publiques au peuple sénégalais pour avoir précocement déclaré sa candidature depuis la France à un moment où le pays reste encore confronté à d’énormes difficultés. Pour se faire réélire s’il le désire, un Chef d’Etat en exercice ne fait seulement que mettre son mandat en jeu pour permettre aux citoyens de décider librement de celui chargé de conduire sa destinée.
Ansoumana DIONE