Parce que vous avez choisi de saturer l’actualité, voulant faire parler de vous chaque jour et attirer l’attention, vous en êtes venu à épuiser toute l'"offre" machiavélique que vous procure, à satiété, le pouvoir d'inventer, de mentir, de calomnier et de diffamer. Place donc à vos nouvelles salves d'esbroufe, de tartufferies et de vanités narcissiques, qui semblent sans limites ! Ceux qui évoquaient jadis votre intelligence, ont vite déchanté. Ils ont peut-être oublié ce que disait l’autre : "On ne juge pas un homme par son intelligence mais par l’usage qu’il en fait". Cet usage peut servir le mal, et c’est manifestement le cas ici.
En réalité, seules les valeurs morales et l'honnêteté intellectuelle constituent un rempart infranchissable contre toutes les tentations maléfiques. Mais pour cela, il faut en être profondément imprégné et s’y conformer, ce qui, manifestement, ne figure pas à l'ordre du jour du "Guide" que vous prétendez être, sans partage !
Avec le torrent quotidien de sentences que vous émettez, qui semblent avoir la force de la chose jugée, c’est un autre pays qui se dessine désormais, dans une forme de gouvernance bien éloignée de l’État de droit et de la démocratie. Vous êtes un homme qui, pourtant, n’a pas été élu à la magistrature suprême, mais qui, par un tour de passe-passe, entend transgresser tous les règlements, pratiques et usages, pour imposer ses vues sur tout, en toute insouciance.
On pourrait penser – sans être "wokiste" – que votre "vaste culture" générale, fièrement affichée, vous a permis de lire et de vous inspirer du Bourgeois gentilhomme de Molière, qui découvre qu'il fait de la prose sans le savoir ! Ce qui est sûr, c’est que ce qui s'esquisse, à votre initiative, ces derniers temps, à tous les niveaux, porte un nom : c’est de la dictature pure, désormais à visage découvert ! Votre déni de cet état de fait, nous incite justement à oser la comparaison avec l’œuvre de Molière, même si la dictature est bien plus tragique que la prose !
À vous suivre depuis quelques mois et à écouter, en cascade, le flot d’insanités que vous déversez, on perçoit la nature et les contours du projet que vous cherchez à imposer au pays. Ce projet, sans surprise, tourne autour de vous, puisque vous êtes convaincu d’être né pour être le Guide, et pas n'importe lequel, car en démocratie, vous ne tolérez aucune contestation ! Vous semblez croire avoir un droit de vie ou de mort, du moins politique, sur tout le Sénégal. Et pour cela, vous cherchez à "kidnapper" le pays, en lui imposant un tempo, un style autocratique et implacable.
Il ne manquerait plus qu'à placarder vos portraits partout, avec une citation quotidienne intitulée : "La pensée du jour du Guide". Pour vous, même fausse et grotesque, votre parole est la vérité révélée, et la caravane de mensonges que vous menez, se moque bien de ce qui la contredit après son passage. Comme un coureur de haies, vous serez déjà à la haie suivante, sans même un regard en arrière.
Naturellement, cette quête permanente du spectaculaire par le faux et le grossier et ce recours au populisme de bas étage, s'effritent rapidement. Car, "on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps." Les gens, comme on le sait, apprennent de leurs erreurs d'appréciation et la vie les aide souvent à le faire rapidement : c’est précisément ce qui se déroule sous nos yeux.
Qui, objectivement, peut aujourd'hui croire aux paroles du tandem, surtout, depuis le parjure de Diomaye ? Qui peut vous faire confiance pour ne pas exposer publiquement les affaires sensibles de l’État, si ce n'est pour les créer de toutes pièces, quand cela vous arrange ? Les Sénégalais ont donc l’obligation de se ressaisir le 17 novembre, pour mettre fin à ce mauvais film qui ternit dangereusement l’image du pays et mine les valeurs cardinales que tout le monde lui reconnaît et lui envie.
La CAVE
Cellule d'Appui à la Veille Stratégique de l'APR
En réalité, seules les valeurs morales et l'honnêteté intellectuelle constituent un rempart infranchissable contre toutes les tentations maléfiques. Mais pour cela, il faut en être profondément imprégné et s’y conformer, ce qui, manifestement, ne figure pas à l'ordre du jour du "Guide" que vous prétendez être, sans partage !
Avec le torrent quotidien de sentences que vous émettez, qui semblent avoir la force de la chose jugée, c’est un autre pays qui se dessine désormais, dans une forme de gouvernance bien éloignée de l’État de droit et de la démocratie. Vous êtes un homme qui, pourtant, n’a pas été élu à la magistrature suprême, mais qui, par un tour de passe-passe, entend transgresser tous les règlements, pratiques et usages, pour imposer ses vues sur tout, en toute insouciance.
On pourrait penser – sans être "wokiste" – que votre "vaste culture" générale, fièrement affichée, vous a permis de lire et de vous inspirer du Bourgeois gentilhomme de Molière, qui découvre qu'il fait de la prose sans le savoir ! Ce qui est sûr, c’est que ce qui s'esquisse, à votre initiative, ces derniers temps, à tous les niveaux, porte un nom : c’est de la dictature pure, désormais à visage découvert ! Votre déni de cet état de fait, nous incite justement à oser la comparaison avec l’œuvre de Molière, même si la dictature est bien plus tragique que la prose !
À vous suivre depuis quelques mois et à écouter, en cascade, le flot d’insanités que vous déversez, on perçoit la nature et les contours du projet que vous cherchez à imposer au pays. Ce projet, sans surprise, tourne autour de vous, puisque vous êtes convaincu d’être né pour être le Guide, et pas n'importe lequel, car en démocratie, vous ne tolérez aucune contestation ! Vous semblez croire avoir un droit de vie ou de mort, du moins politique, sur tout le Sénégal. Et pour cela, vous cherchez à "kidnapper" le pays, en lui imposant un tempo, un style autocratique et implacable.
Il ne manquerait plus qu'à placarder vos portraits partout, avec une citation quotidienne intitulée : "La pensée du jour du Guide". Pour vous, même fausse et grotesque, votre parole est la vérité révélée, et la caravane de mensonges que vous menez, se moque bien de ce qui la contredit après son passage. Comme un coureur de haies, vous serez déjà à la haie suivante, sans même un regard en arrière.
Naturellement, cette quête permanente du spectaculaire par le faux et le grossier et ce recours au populisme de bas étage, s'effritent rapidement. Car, "on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps." Les gens, comme on le sait, apprennent de leurs erreurs d'appréciation et la vie les aide souvent à le faire rapidement : c’est précisément ce qui se déroule sous nos yeux.
Qui, objectivement, peut aujourd'hui croire aux paroles du tandem, surtout, depuis le parjure de Diomaye ? Qui peut vous faire confiance pour ne pas exposer publiquement les affaires sensibles de l’État, si ce n'est pour les créer de toutes pièces, quand cela vous arrange ? Les Sénégalais ont donc l’obligation de se ressaisir le 17 novembre, pour mettre fin à ce mauvais film qui ternit dangereusement l’image du pays et mine les valeurs cardinales que tout le monde lui reconnaît et lui envie.
La CAVE
Cellule d'Appui à la Veille Stratégique de l'APR