L’initiateur et maître d’œuvre de cette mémorable journée était monsieur Hamad SENE, fils du terroir, responsable du département et non moins directeur national adjoint des Structures de l’APR et mandataire du département. L’objet de cette session qui portait sur le processus électoral avait un objectif global et spécifique. En premier lieu elle devait permettre aux responsables à mieux gérer et surveiller les opérations électorales au niveau local (communes, communautés rurales, département). En second lieu elle visait à sensibiliser les responsables sur l’importance des élections pour un parti politique, notamment pour les prochaines élections, à mieux connaitre les principales institutions impliquées dans les élections au niveau local, les différentes opérations électorales, les rôles et responsabilités des mandataires et représentants du parti, de l’inscription des électeurs sur les listes électorales jusqu’au jour du vote. Dans son discours introductif, Maître WAR a rendu un vibrant hommage à Hamad SENE qui devrait servir d’exemple pour son dévouement à la cause du parti, et ses actions constantes à l’endroit des militants. Il a également félicité docteur Amadou Tidiane BA responsable dans la commune, mandataire adjoint pour le travail remarquable qu’il abat avec ses frères WEBER, Moussa BA et d’autres.
Dans son intervention monsieur Woula NDIAYE, responsable du comité scientifique de l’ école qui a tenu en haleine l’auditoire, en réponse aux différentes questions, a parcouru tous les articles du Code électoral, épluchant avec minutie les subtilités et nuances de certaines dispositions à l’intention des futurs mandataires et représentants de l’APR dans les centres et bureaux de votes pour les prochaines élections de Février 2012. Maître Djibril WAR a rappelé aux séminaristes que la massification du parti par une forte adhésion des militants et le montage des comités sont des actions louables. Mais ce qui importe surtout, c’est de faire en sorte que ces militants puissent être des électeurs potentiels qui vont accomplir leur droit et devoir de citoyen par un vote régulier qui ne serait pas entaché de nullité ou considéré comme un vote blanc. D’où la nécessité impérieuse d’encadrer les militants pour faire des votes valables. Interpellé sur le fichier électoral, Monsieur Hamad SENE dit prendre acte des résolutions de la commission électorale suite aux conclusions des Experts de l’Union Européenne.
Pour autant, il invite l’APR et le front BENNO à la vigilance et de créer des commissions communes de veille et de lutte contre les fraudes. A l’issue de la session, des recommandations ont été faites aux responsables, notamment le recensement des bureaux et centres de votes, la création d’une banque de données des militants qui constituent chacun un mandataire ou représentant potentiel, de poursuivre, de contrôler les inscriptions sur les listes de révision électorales et le suivi des audiences foraines. Les partisans de l’APR sont convaincus que le Président Macky SALL est l’adversaire politique qui hante le plus le sommeil du PDS, ses alliés et donne la frayeur au Président Abdoulaye WADE dont la candidature est du reste irrecevable par la Constitution. Même si ses rares défenseurs juristes, pour confondre en vain l’opinion tentent de manière désespérée et illusoire de soutenir le contraire, par une lecture en diagonale du Code Electoral , en invoquant l’article L O 112 de la loi organique n°97-16 du 8 Septembre 1997, et en mettant délibérément sous le coude l’article L 55 de la loi 92-16 du 07 Février 1992 du Code Electoral qui pose expressément des conditions et des limites de la candidature présidentielle, notamment l’inéligibilité comme c’est bel et bien le cas en l’espèce, au regard des articles 27 et 104 de la Constitution qui limitent le mandat du Président de la République à deux.
Dans son intervention monsieur Woula NDIAYE, responsable du comité scientifique de l’ école qui a tenu en haleine l’auditoire, en réponse aux différentes questions, a parcouru tous les articles du Code électoral, épluchant avec minutie les subtilités et nuances de certaines dispositions à l’intention des futurs mandataires et représentants de l’APR dans les centres et bureaux de votes pour les prochaines élections de Février 2012. Maître Djibril WAR a rappelé aux séminaristes que la massification du parti par une forte adhésion des militants et le montage des comités sont des actions louables. Mais ce qui importe surtout, c’est de faire en sorte que ces militants puissent être des électeurs potentiels qui vont accomplir leur droit et devoir de citoyen par un vote régulier qui ne serait pas entaché de nullité ou considéré comme un vote blanc. D’où la nécessité impérieuse d’encadrer les militants pour faire des votes valables. Interpellé sur le fichier électoral, Monsieur Hamad SENE dit prendre acte des résolutions de la commission électorale suite aux conclusions des Experts de l’Union Européenne.
Pour autant, il invite l’APR et le front BENNO à la vigilance et de créer des commissions communes de veille et de lutte contre les fraudes. A l’issue de la session, des recommandations ont été faites aux responsables, notamment le recensement des bureaux et centres de votes, la création d’une banque de données des militants qui constituent chacun un mandataire ou représentant potentiel, de poursuivre, de contrôler les inscriptions sur les listes de révision électorales et le suivi des audiences foraines. Les partisans de l’APR sont convaincus que le Président Macky SALL est l’adversaire politique qui hante le plus le sommeil du PDS, ses alliés et donne la frayeur au Président Abdoulaye WADE dont la candidature est du reste irrecevable par la Constitution. Même si ses rares défenseurs juristes, pour confondre en vain l’opinion tentent de manière désespérée et illusoire de soutenir le contraire, par une lecture en diagonale du Code Electoral , en invoquant l’article L O 112 de la loi organique n°97-16 du 8 Septembre 1997, et en mettant délibérément sous le coude l’article L 55 de la loi 92-16 du 07 Février 1992 du Code Electoral qui pose expressément des conditions et des limites de la candidature présidentielle, notamment l’inéligibilité comme c’est bel et bien le cas en l’espèce, au regard des articles 27 et 104 de la Constitution qui limitent le mandat du Président de la République à deux.