À en croire le maire de Thiès, «dans le secteur agricole, 60% des populations y travaillent et pour seulement 10% du Pib national, c'est-à-dire que la richesse du pays en provient. Il n’est pas normal que 60% se contentent seulement des 10% des richesses nationales. Nous voulons complètement inverser cette tendance. Et par la grâce de Dieu l’exceptionnelle équipe d’experts composées de hauts fonctionnaires et de compatriotes qui étaient dans le secteur privé a conscience que c’est là que se passera le développement futur du Sénégal et naturellement nous explorons tous les aspects, aussi bien d’abord le capital humain, son renforcement par des systèmes d’éducation et des systèmes de santé et là nous n’inventons rien du tout».
Laissant le dossier aux techniciens, M. Seck, souligne : «Il y a la Casamance, la vallée du fleuve Sénégal, l’intérieur où nous nous trouvons actuellement. Dans ces zones-là les trois ingrédients utiles sont déjà disponibles l’eau, la terre et le soleil en permanence tout au long de l’année. Nous n’avons pas les intempéries comme la neige qui gêne. Alors notre approche, c’est d’abord d’exploiter de façon maximale et optimale toutes les terres où ces trois ingrédients sont disponibles et où nous allons injecter des ressources humaines de qualité. Le programme que nous avons c’est une sorte de programme légionnaire du développement, de véritables soldats de développement qui sont bien formés techniquement, nourris et soignés».
À travers son programme, l'ancien Premier ministre souhaite aider les paysans à devenir de grands agriculteurs à l'instar de grands fermiers des États-Unis, d'Australie, du Brésil et d'Inde.
Alioune FAYE (Correspondant)
Le Populaire
Laissant le dossier aux techniciens, M. Seck, souligne : «Il y a la Casamance, la vallée du fleuve Sénégal, l’intérieur où nous nous trouvons actuellement. Dans ces zones-là les trois ingrédients utiles sont déjà disponibles l’eau, la terre et le soleil en permanence tout au long de l’année. Nous n’avons pas les intempéries comme la neige qui gêne. Alors notre approche, c’est d’abord d’exploiter de façon maximale et optimale toutes les terres où ces trois ingrédients sont disponibles et où nous allons injecter des ressources humaines de qualité. Le programme que nous avons c’est une sorte de programme légionnaire du développement, de véritables soldats de développement qui sont bien formés techniquement, nourris et soignés».
À travers son programme, l'ancien Premier ministre souhaite aider les paysans à devenir de grands agriculteurs à l'instar de grands fermiers des États-Unis, d'Australie, du Brésil et d'Inde.
Alioune FAYE (Correspondant)
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