Que feriez-vous face à un appel de Wade pour un grand parti libéral ?
Je ne suis pas dans une dynamique de famille libérale. Mon échelle de travail, c’est le Sénégal ce n’est pas le Pds. une formation libérale où vont se retrouver d’anciens libéraux c’est tant mieux, mais je ne suis pas dans cette échelle de valeur. Je ne veux pas faire du prolongement du Pds. je suis dans une nouvelle dynamique ouverte. Ne me mettez pas dans un environnement réducteur.
Attendez-vous à des soutiens de responsables du Pds ?
Le soutien des membres du Pds n’est pas une préoccupation majeure pour moi. Il est vrai que je ne le néglige pas, je lance un appel aux Sénégalais et je vais bien au-delà du Pds. ce nouveau parti ne sera pas un prolongement du Pds. c’est un parti ouvert à toutes les sensibilités, à la société civile et aux gens qui jusque-là ne faisaient pas de la politique. Les premières réponses obtenues sont très encourageantes. Vous verrez bientôt la diversité des origines. Nous voulons être un rassemblement de cette convergence. Je ne suis pas dans une logique de débauchage de militants du Pds ou autre. C’est un appel ouvert, s’ils sont intéressés, ils sont les bienvenus. Mon appel s’adresse aux Sénégalais de manière générale.
Que répondez-vous à ceux qui disent que vous avez bâclé votre parti ?
Je ne réponds rien, je les laisse parler.
Quelles sont vos relations avec Idy et le Front Siggil Sénégal qui étaient présents à votre appel ?
J’ai invité tous les partis y compris le Pds. Certains sont venus, d’autres ne sont pas venus. Je remercie ceux qui sont venus du fond du coeur. Et ceux qui ne sont pas venus je considère qu’ils n’ont pas pu le faire tout simplement. Il n’y a rien à voir derrière.
Comment allez-vous travailler dans l’opposition ?
Nous venons de naître laissez nous nous développer. Nous avons comme priorité l’implantation nationale du parti. Qui est déjà implanté nationalement, il n’y a qu’à voir les mouvements qui se manifestent dans le pays. Nous voulons le traduire matériellement. Nous verrons l’évolution politique, économique et culturelle du pays, et en tant que parti politique nous ne manquerons pas de donner notre avis. Donner notre suggestion quand c’est nécessaire et faire des critiques aussi.
Vous êtes de quelle idéologie ?
Je n’ai jamais été ultra-libéral. Je ne veux pas m’enfermer dans les carcans idéologiques. Beaucoup de personnes ont déjà théorisé la fin des idéologies. L’idéologie doit être un condensé d’éléments de pensée pour permettre d’orienter nos actions. Je crois en certaines vertus du libéralisme, pas du libéralisme sauvage, mais du libéralisme social. Dans la gauche il y a des qualités qu’il faut récupérer, c’est ce qui nous permet de nous situer des deux côtés, quelque part dans le centre gauche et dans le centre droit. Pour le moment cette réflexion est en cours. La priorité c’est une nouvelle façon de faire la politique, c’est la réponse concrète aux problèmes des Sénégalais. Notre parti se donnera les moyens de définir un programme exhaustif à ce niveau et se donner les moyens politiques de réaliser ce programme.
Quels sont vos projets à court terme ?
Dans une semaine ou deux, nous mettrons en place les instances de directoire qui seront provisoires. Ce sont des instances de coatching. Nous entamerons dès la semaine prochaine la vente des cartes à la base. Il faudra deux mois aux militants pour acheter leur carte. Pour constituer les comités à la base. Tout le reste est une agrégation qui va suivre.
Espérer vous constituer un groupe parlementaire sous peu ?
Si ce n’était pas la loi qui empêche les députés d’assumer leur choix, aujourd’hui la majorité serait avec moi. Mais nous avons cette contrainte. Je ne veux pas non plus que ces députés puissent perdre leur mandat. J’ai assumé mon choix, mais tous les cas ne sont pas similaires. Je ne souhaite pas voir les députés démissionner. Ils ont suffisamment fait preuve de solidarité et d’engagement à mes côtés, on n’a pas besoin de leur demander plus. Leur présence à l’Assemblée me réconforte.
Avez-vous un plan B pour la création de votre parti ?
Pourquoi voulez-vous qu’on me crée des problèmes. Attendons que le cas se pose. Mais je ne vois pas pourquoi le ministère de l’intérieur devrait refuser d’appliquer la loi. La loi est très claire. C’est la libre association. Si on est conforme aux lois, on doit avoir son récépissé. Ne spéculons pas, ne faisons pas de procès d’intention contre le ministre de l’Intérieur. Je n’ai aucune raison pour le faire. J’ai déposé, en citoyen, j’attends que l’autorité administrative, apprécie et donne suite. Conformément à la loi.
Feriez-vous face à Wade en 2012 ?
La question des élections n’est pas à l’ordre du jour. On ne peut pas parler de ma candidature à trois ans et demi des élections. Ça n’a pas de sens. Ma priorité c’est l’implantation de mon parti. C’est de parcourir le pays pour voir son état réel. L’état de l’économie, l’agriculture, la situation réelle des Sénégalais. C’est ce qui va enrichir notre programme.
Et pour les locales ?
Les locales sont une autre affaire. Si elles se tiennent à bonne date, mon parti participera.
Avez-vous les moyens financiers de vos ambitions ?
Les moyens ne sont pas que financiers. D’ailleurs je n’ai pas les moyens financiers. Je les rechercherais comme tout ceux qui ont pu accéder à ces niveaux. Nous allons compter sur ce formidable élan de solidarité qui est réel. Beaucoup de Sénégalais de la diaspora m’ont dit qu’ils sont en train de travailler pour revenir à l’ancienne formule où nous allons demander des contributions. Avec les cartes de membres, nous allons demander aux Sénégalais de l’extérieur de payer plus que les Sénégalais d’ici, ce qui est normal. On fixera un montant en Europe, aux Usa et en Afrique. Au Sénégal les cartes seront vendues à cent francs Cfa. Nous développerons une stratégie interne. Mais nous ne nous inscrivons pas dans une politique de moyens ou de voyeurisme. Je suis opposé à cette politique. Tous ceux qui me connaissent savent que je suis contre la politique de gaspillage. Je suis contre le clientélisme, et je ne vais pas démarcher des militants clientélistes. Parce que c’est une perte de temps. Je veux avoir des gens convaincus de notre cause et qui s’engagent pour apporter des changements véritables. Pour améliorer notre vécu quotidien.
Quel est l’acte que vous avez posé aujourd’hui ?
J’ai lancé un appel aux Sénégalais et j’ai constaté qu’il y a une véritable convergence qui se constitue autour des valeurs cardinales qui fondent la République. Mais également une nouvelle pédagogie politique. Qui veut que cette convergence n’ait comme autre préoccupation, que le service public au service des populations. Il faut que l’engagement politique se traduise par la prise en charge exclusive des besoins prioritaires de nos populations. Cela requiert l’éthique, la valeur morale, la dignité. C’est la raison pour laquelle l’Alliance pour la République/Yakaar (Espoir) travaillera à rendre à la politique ses lettres de noblesse dans un climat apaisé, dans le respect de la constitution , des lois et règlements de ce pays. Nous travaillerons à mobiliser les jeunes des villes, des campagnes. Mobiliser les Sénégalaises rurales, urbaines, commerçantes, universitaire et autres. Je n’oublie pas le troisième âge, ainsi que des chefs d’entreprise qui ont besoin du renforcement d’un environnement plus favorable à l’investissement et à la productivité. Nous voulons travailler pour l’émergence d’un nouveau leadership qui va privilégier le dialogue et la concertation en vue de bâtir des consensus, pour une nouvelle gouvernance partagée. Cet appel se poursuivra à travers les Sénégalais de l’Extérieur : la diaspora, qui ont été symbolisés sur notre logo par une des étoiles en plus des 14 qui représentent les régions. Cette diaspora pourvoyeuse de fonds pour l’économie nationale, mais qui constitue un levier de mobilisation, pour atteindre les objectifs de notre projet de société.
Qu’est ce que vous ressentez après ce que vous avez vu ?
J’ai été très satisfait par l’élan populaire qui a marqué cet appel, nous n’avons pas été dans les conditions optimales de tenir la présentation du parti. Je m’en excuse auprès du public et de la presse. Nous pensions que la présentation pouvait se contenir dans la grande salle du Sofitel Teranga. Mais l’élan populaire était tel que, vous le constatez chez moi, les populations refusent de partir, tellement ils sont dans l’allégresse. Malgré tout ce que nous avons vécu récemment aujourd’hui nous sommes dans une nouvelle dynamique, ouverte, porteuse d’espoir. C’est autour de ces valeurs que j’appelle les Sénégalais. Je m’engage à travailler au service de ce peuple.
Où en êtes-vous dans la mise en place de ce nouveau parti ?
Nous venons de déposer les statuts, pour faire la déclaration d’existence. Conformément à la loi, cela a été fait devant le préfet de Dakar. Il appartient au ministère de l’intérieur de diligenter les enquêtes, nécessaires pour délivrer le récépissé qui consacre légalement l’existence du parti. Mais nous sommes en train de travailler à la mise en place des structures nationales de ce parti. Dès cette semaine, nous travaillerons à la distribution des cartes. Donc à l’installation officielle sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger, des structures de base qui vont permettre avec les directoires qui seront provisoires pour l’instant, en attendant le congrès constitutif de prendre en charge la vie du parti et les problèmes qui se poseront.
Source: L'observateur
Je ne suis pas dans une dynamique de famille libérale. Mon échelle de travail, c’est le Sénégal ce n’est pas le Pds. une formation libérale où vont se retrouver d’anciens libéraux c’est tant mieux, mais je ne suis pas dans cette échelle de valeur. Je ne veux pas faire du prolongement du Pds. je suis dans une nouvelle dynamique ouverte. Ne me mettez pas dans un environnement réducteur.
Attendez-vous à des soutiens de responsables du Pds ?
Le soutien des membres du Pds n’est pas une préoccupation majeure pour moi. Il est vrai que je ne le néglige pas, je lance un appel aux Sénégalais et je vais bien au-delà du Pds. ce nouveau parti ne sera pas un prolongement du Pds. c’est un parti ouvert à toutes les sensibilités, à la société civile et aux gens qui jusque-là ne faisaient pas de la politique. Les premières réponses obtenues sont très encourageantes. Vous verrez bientôt la diversité des origines. Nous voulons être un rassemblement de cette convergence. Je ne suis pas dans une logique de débauchage de militants du Pds ou autre. C’est un appel ouvert, s’ils sont intéressés, ils sont les bienvenus. Mon appel s’adresse aux Sénégalais de manière générale.
Que répondez-vous à ceux qui disent que vous avez bâclé votre parti ?
Je ne réponds rien, je les laisse parler.
Quelles sont vos relations avec Idy et le Front Siggil Sénégal qui étaient présents à votre appel ?
J’ai invité tous les partis y compris le Pds. Certains sont venus, d’autres ne sont pas venus. Je remercie ceux qui sont venus du fond du coeur. Et ceux qui ne sont pas venus je considère qu’ils n’ont pas pu le faire tout simplement. Il n’y a rien à voir derrière.
Comment allez-vous travailler dans l’opposition ?
Nous venons de naître laissez nous nous développer. Nous avons comme priorité l’implantation nationale du parti. Qui est déjà implanté nationalement, il n’y a qu’à voir les mouvements qui se manifestent dans le pays. Nous voulons le traduire matériellement. Nous verrons l’évolution politique, économique et culturelle du pays, et en tant que parti politique nous ne manquerons pas de donner notre avis. Donner notre suggestion quand c’est nécessaire et faire des critiques aussi.
Vous êtes de quelle idéologie ?
Je n’ai jamais été ultra-libéral. Je ne veux pas m’enfermer dans les carcans idéologiques. Beaucoup de personnes ont déjà théorisé la fin des idéologies. L’idéologie doit être un condensé d’éléments de pensée pour permettre d’orienter nos actions. Je crois en certaines vertus du libéralisme, pas du libéralisme sauvage, mais du libéralisme social. Dans la gauche il y a des qualités qu’il faut récupérer, c’est ce qui nous permet de nous situer des deux côtés, quelque part dans le centre gauche et dans le centre droit. Pour le moment cette réflexion est en cours. La priorité c’est une nouvelle façon de faire la politique, c’est la réponse concrète aux problèmes des Sénégalais. Notre parti se donnera les moyens de définir un programme exhaustif à ce niveau et se donner les moyens politiques de réaliser ce programme.
Quels sont vos projets à court terme ?
Dans une semaine ou deux, nous mettrons en place les instances de directoire qui seront provisoires. Ce sont des instances de coatching. Nous entamerons dès la semaine prochaine la vente des cartes à la base. Il faudra deux mois aux militants pour acheter leur carte. Pour constituer les comités à la base. Tout le reste est une agrégation qui va suivre.
Espérer vous constituer un groupe parlementaire sous peu ?
Si ce n’était pas la loi qui empêche les députés d’assumer leur choix, aujourd’hui la majorité serait avec moi. Mais nous avons cette contrainte. Je ne veux pas non plus que ces députés puissent perdre leur mandat. J’ai assumé mon choix, mais tous les cas ne sont pas similaires. Je ne souhaite pas voir les députés démissionner. Ils ont suffisamment fait preuve de solidarité et d’engagement à mes côtés, on n’a pas besoin de leur demander plus. Leur présence à l’Assemblée me réconforte.
Avez-vous un plan B pour la création de votre parti ?
Pourquoi voulez-vous qu’on me crée des problèmes. Attendons que le cas se pose. Mais je ne vois pas pourquoi le ministère de l’intérieur devrait refuser d’appliquer la loi. La loi est très claire. C’est la libre association. Si on est conforme aux lois, on doit avoir son récépissé. Ne spéculons pas, ne faisons pas de procès d’intention contre le ministre de l’Intérieur. Je n’ai aucune raison pour le faire. J’ai déposé, en citoyen, j’attends que l’autorité administrative, apprécie et donne suite. Conformément à la loi.
Feriez-vous face à Wade en 2012 ?
La question des élections n’est pas à l’ordre du jour. On ne peut pas parler de ma candidature à trois ans et demi des élections. Ça n’a pas de sens. Ma priorité c’est l’implantation de mon parti. C’est de parcourir le pays pour voir son état réel. L’état de l’économie, l’agriculture, la situation réelle des Sénégalais. C’est ce qui va enrichir notre programme.
Et pour les locales ?
Les locales sont une autre affaire. Si elles se tiennent à bonne date, mon parti participera.
Avez-vous les moyens financiers de vos ambitions ?
Les moyens ne sont pas que financiers. D’ailleurs je n’ai pas les moyens financiers. Je les rechercherais comme tout ceux qui ont pu accéder à ces niveaux. Nous allons compter sur ce formidable élan de solidarité qui est réel. Beaucoup de Sénégalais de la diaspora m’ont dit qu’ils sont en train de travailler pour revenir à l’ancienne formule où nous allons demander des contributions. Avec les cartes de membres, nous allons demander aux Sénégalais de l’extérieur de payer plus que les Sénégalais d’ici, ce qui est normal. On fixera un montant en Europe, aux Usa et en Afrique. Au Sénégal les cartes seront vendues à cent francs Cfa. Nous développerons une stratégie interne. Mais nous ne nous inscrivons pas dans une politique de moyens ou de voyeurisme. Je suis opposé à cette politique. Tous ceux qui me connaissent savent que je suis contre la politique de gaspillage. Je suis contre le clientélisme, et je ne vais pas démarcher des militants clientélistes. Parce que c’est une perte de temps. Je veux avoir des gens convaincus de notre cause et qui s’engagent pour apporter des changements véritables. Pour améliorer notre vécu quotidien.
Quel est l’acte que vous avez posé aujourd’hui ?
J’ai lancé un appel aux Sénégalais et j’ai constaté qu’il y a une véritable convergence qui se constitue autour des valeurs cardinales qui fondent la République. Mais également une nouvelle pédagogie politique. Qui veut que cette convergence n’ait comme autre préoccupation, que le service public au service des populations. Il faut que l’engagement politique se traduise par la prise en charge exclusive des besoins prioritaires de nos populations. Cela requiert l’éthique, la valeur morale, la dignité. C’est la raison pour laquelle l’Alliance pour la République/Yakaar (Espoir) travaillera à rendre à la politique ses lettres de noblesse dans un climat apaisé, dans le respect de la constitution , des lois et règlements de ce pays. Nous travaillerons à mobiliser les jeunes des villes, des campagnes. Mobiliser les Sénégalaises rurales, urbaines, commerçantes, universitaire et autres. Je n’oublie pas le troisième âge, ainsi que des chefs d’entreprise qui ont besoin du renforcement d’un environnement plus favorable à l’investissement et à la productivité. Nous voulons travailler pour l’émergence d’un nouveau leadership qui va privilégier le dialogue et la concertation en vue de bâtir des consensus, pour une nouvelle gouvernance partagée. Cet appel se poursuivra à travers les Sénégalais de l’Extérieur : la diaspora, qui ont été symbolisés sur notre logo par une des étoiles en plus des 14 qui représentent les régions. Cette diaspora pourvoyeuse de fonds pour l’économie nationale, mais qui constitue un levier de mobilisation, pour atteindre les objectifs de notre projet de société.
Qu’est ce que vous ressentez après ce que vous avez vu ?
J’ai été très satisfait par l’élan populaire qui a marqué cet appel, nous n’avons pas été dans les conditions optimales de tenir la présentation du parti. Je m’en excuse auprès du public et de la presse. Nous pensions que la présentation pouvait se contenir dans la grande salle du Sofitel Teranga. Mais l’élan populaire était tel que, vous le constatez chez moi, les populations refusent de partir, tellement ils sont dans l’allégresse. Malgré tout ce que nous avons vécu récemment aujourd’hui nous sommes dans une nouvelle dynamique, ouverte, porteuse d’espoir. C’est autour de ces valeurs que j’appelle les Sénégalais. Je m’engage à travailler au service de ce peuple.
Où en êtes-vous dans la mise en place de ce nouveau parti ?
Nous venons de déposer les statuts, pour faire la déclaration d’existence. Conformément à la loi, cela a été fait devant le préfet de Dakar. Il appartient au ministère de l’intérieur de diligenter les enquêtes, nécessaires pour délivrer le récépissé qui consacre légalement l’existence du parti. Mais nous sommes en train de travailler à la mise en place des structures nationales de ce parti. Dès cette semaine, nous travaillerons à la distribution des cartes. Donc à l’installation officielle sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger, des structures de base qui vont permettre avec les directoires qui seront provisoires pour l’instant, en attendant le congrès constitutif de prendre en charge la vie du parti et les problèmes qui se poseront.
Source: L'observateur