Selon les échos recueillis à travers les 118 centres d’examen disséminés à travers le pays, le démarrage des épreuves s’est effectué sans problème majeur. Ce premier bilan jugé satisfaisant a été réalisé, dit-on, grâce aux dispositions préalables prises par les autorités académiques compétentes, tant pour mettre à disposition tout le matériel nécessaire, que pour éviter toutes formes de tentatives de fuites et/ou de fraudes.
Mêmes, les rares cas d’absences de surveillants constatés, comme c’est le cas, selon certaines sources, dans quelques jurys du Centre Lamine Guèye, cela a n’a nullement affecté le déroulement normal des épreuves. Et semble-t-il, cette année, « les dispositions prises sont si fermes et si claires », que les candidats ont réussi ( du moins pour le moment à respecter scrupuleusement les consignes ( téléphones portables éteints, sacs et documents de cours bien rangés loin des candidats…), consignes qui sont annoncés dè leur entrée dans les salles.
En ce qui concerne les absences, il est à noter que cette année, peut de candidats ont manqué à l’appel au démarrage des épreuves. C’est également l’exemple du Centre Lamine Guèye à Dakar où , au total 1089 candidats passent le bac et/où il y a eu en tout et pour tout , selon des sources proches des responsables de l’encadrement ,39 absences constatées dans les différents jurys.
Au lycée Mame Cheikh de Tambacounda, c’est presque le même nombre d’absents qui a été enregistré, à la différence de trois candidats près.
Aucun problème, mais appel à la vigilance
Dans la matinée d’hier pendant que les candidats de Séries littéraires planchaient sur l’épreuve de Langues de premier choix, leurs camarades des séries scientifiques affrontaient, pour une rare fois, en début d’épreuves du bac, les sciences physiques. Une innovation qui ne gêne nullement les candidats dont certains soutiennent « commencer par telle ou par telle autre épreuve importe très peu. Car il n’y a plus rien à attendre pour affronter telle discipline ou telle autre ». Ce qui laisse supposer que les candidats sont déjà prêts. « Oui et non répond une candidate qui passe ses épreuves au Lycée Lamine Guèye ».
Pour cette fille, il y a tout de même à relativiser la notion d’être « prêts », car personne n’est sans savoir que cette année, di-elle, que l’école publique a été encore fortement perturbée par des mouvements de grèves. Conséquence, en dépit des efforts déployés pour faire des rattrapages de cours, dans beaucoup d’établissements, soit les élèves n’ont pas terminé du tout les programmes, soit ils n’ont pas eu tout le temps nécessaire de les assimiler ».
Des difficultés qui n’auraient pas été vécues par les élèves du privé qui, quoi qu’on dise, pendant tout le temps qu’aura duré le mouvement de grève, ils faisaient cours. Cependant un seul constat. Malgré cette situation qui a prévalu durant l’année scolaire 2008-2009, il est très rare d’entendre des candidats dire que les épreuves ont été difficiles.
Interpellé au téléphone hier en fin de journée, très décontracté, Babou Diakham, le directeur de l’Office Bac se félicitait déjà du fait qu’il n’a pas enregistré des problèmes dans l’organisation des premières épreuves. Toutefois, il a appelé les membres de l’encadrement à plus de vigilance, puisque, dit-il, dans ce genre de situations de petits problèmes peuvent surgir à tout moment.
Au deuxième jour des épreuves, les candidats littéraire auront à affronter la deuxième langue vivante de leur choix dans la matinée et dans l’après-midi ils auront les mathématiques. Pendant ce temps leurs camarades des séries scientifiques auront à plancher le matin sur les mathématiques et dans l’après-midi sur le français.
Les épreuves auront été organisées, semble-t-il, de manière à ce que les candidats abordent leurs matières dominantes le matin pendant qu’ils sont frais et les autres de moindre importance dans l’après-midi.
Mêmes, les rares cas d’absences de surveillants constatés, comme c’est le cas, selon certaines sources, dans quelques jurys du Centre Lamine Guèye, cela a n’a nullement affecté le déroulement normal des épreuves. Et semble-t-il, cette année, « les dispositions prises sont si fermes et si claires », que les candidats ont réussi ( du moins pour le moment à respecter scrupuleusement les consignes ( téléphones portables éteints, sacs et documents de cours bien rangés loin des candidats…), consignes qui sont annoncés dè leur entrée dans les salles.
En ce qui concerne les absences, il est à noter que cette année, peut de candidats ont manqué à l’appel au démarrage des épreuves. C’est également l’exemple du Centre Lamine Guèye à Dakar où , au total 1089 candidats passent le bac et/où il y a eu en tout et pour tout , selon des sources proches des responsables de l’encadrement ,39 absences constatées dans les différents jurys.
Au lycée Mame Cheikh de Tambacounda, c’est presque le même nombre d’absents qui a été enregistré, à la différence de trois candidats près.
Aucun problème, mais appel à la vigilance
Dans la matinée d’hier pendant que les candidats de Séries littéraires planchaient sur l’épreuve de Langues de premier choix, leurs camarades des séries scientifiques affrontaient, pour une rare fois, en début d’épreuves du bac, les sciences physiques. Une innovation qui ne gêne nullement les candidats dont certains soutiennent « commencer par telle ou par telle autre épreuve importe très peu. Car il n’y a plus rien à attendre pour affronter telle discipline ou telle autre ». Ce qui laisse supposer que les candidats sont déjà prêts. « Oui et non répond une candidate qui passe ses épreuves au Lycée Lamine Guèye ».
Pour cette fille, il y a tout de même à relativiser la notion d’être « prêts », car personne n’est sans savoir que cette année, di-elle, que l’école publique a été encore fortement perturbée par des mouvements de grèves. Conséquence, en dépit des efforts déployés pour faire des rattrapages de cours, dans beaucoup d’établissements, soit les élèves n’ont pas terminé du tout les programmes, soit ils n’ont pas eu tout le temps nécessaire de les assimiler ».
Des difficultés qui n’auraient pas été vécues par les élèves du privé qui, quoi qu’on dise, pendant tout le temps qu’aura duré le mouvement de grève, ils faisaient cours. Cependant un seul constat. Malgré cette situation qui a prévalu durant l’année scolaire 2008-2009, il est très rare d’entendre des candidats dire que les épreuves ont été difficiles.
Interpellé au téléphone hier en fin de journée, très décontracté, Babou Diakham, le directeur de l’Office Bac se félicitait déjà du fait qu’il n’a pas enregistré des problèmes dans l’organisation des premières épreuves. Toutefois, il a appelé les membres de l’encadrement à plus de vigilance, puisque, dit-il, dans ce genre de situations de petits problèmes peuvent surgir à tout moment.
Au deuxième jour des épreuves, les candidats littéraire auront à affronter la deuxième langue vivante de leur choix dans la matinée et dans l’après-midi ils auront les mathématiques. Pendant ce temps leurs camarades des séries scientifiques auront à plancher le matin sur les mathématiques et dans l’après-midi sur le français.
Les épreuves auront été organisées, semble-t-il, de manière à ce que les candidats abordent leurs matières dominantes le matin pendant qu’ils sont frais et les autres de moindre importance dans l’après-midi.