lors qu’il purge une peine ferme de 3 ans, l’ex-maire de Grand Yoff, Pape Mamour Guéye a encore été encore condamné à un an assorti de sursis. Il a été reconnu coupable du chef d’accusation d’escroquerie. Pour celui e faux et usage de faux, il a été relaxé. Il devra également payer à l’une des parties civiles la somme de 4 millions à titre de dommages et intérêts. Son co-prévenu, Ibrahima Ndiaye a aussi été condamné à 3 mois de prison pour la même infraction.
résident de la coopérative des travailleurs de la Sotrac, Pape Mamour Guèye, a aidé Ibrahima Ndiaye à falsifier les papiers d’un terrain et à vendre la parcelle. Le légitime propriétaire du terrain avait déjà vendu son bien. Le scandale concerne la parcelle numéro 273, du lot de 900 parcelles, qui était attribuée à ladite coopérative. Qui l’avait cédée à Malick Dieng qui est décédé en 2005. Ibrahima Ndiaye certifie avoir racheté le terrain de Malick Dieng. « C’est Malick qui m’a vendu la parcelle en 1999.
’est pourquoi, je l’ai revendue, après sa mort, à Ousmane Kandé », a servi Ibrahima Ndiaye au cours des débats d’audience. Avant d’ajouter qu’un acte de vente ne lui a pas été délivré. En plus d’Ousmane Kandé, Saliou Kassé a réclamé la propriété de la parcelle 273. « C’est Awa Wathie qui a acheté la parcelle de la femme de Malick Dieng, Faty Ngom, qui m’a vendu ledit terrain. Malick Dieng a vendu la maison à sa femme Faty », a expliqué Saliou Kassé. Ainsi, le terrain se retrouve avec deux propriétaires, Saliou Kassé et Ousmane Kandé, qui ont comparu en tant que partie civile. Leurs actes de mutation de la parcelle ont été faits par Pape Mamour Guèye.
ependant, si Saliou Kassé détient l’attestation en bonne et due forme que Mamour certifie avoir signé et délivré, Ibrahima Ndiaye a un acte sur lequel est apposée la signature de Malick Dieng, alors que ce dernier n’est plus. « Je ne suis pas instruit, c’est Pape Mamour qui m’a demandé de signer à la place du défunt », s’est défendu Ibrahima Ndiaye. Le frère de Malick Dieng, Barka Dieng, qui a comparu à titre de témoin, a certifié que son frère avait vendu la parcelle à Ibrahima Ndiaye à 600 000 FCFA.
e parquet s’était remis à la sagesse du tribunal. Le conseil de Saliou Kassé n’avait pas fait de demande. Les conseils des prévenus avaient demandé la relaxe pure et simple de leurs clients vu qu’aucune preuve n’a été apportée.
ww.sen24heures.com
résident de la coopérative des travailleurs de la Sotrac, Pape Mamour Guèye, a aidé Ibrahima Ndiaye à falsifier les papiers d’un terrain et à vendre la parcelle. Le légitime propriétaire du terrain avait déjà vendu son bien. Le scandale concerne la parcelle numéro 273, du lot de 900 parcelles, qui était attribuée à ladite coopérative. Qui l’avait cédée à Malick Dieng qui est décédé en 2005. Ibrahima Ndiaye certifie avoir racheté le terrain de Malick Dieng. « C’est Malick qui m’a vendu la parcelle en 1999.
’est pourquoi, je l’ai revendue, après sa mort, à Ousmane Kandé », a servi Ibrahima Ndiaye au cours des débats d’audience. Avant d’ajouter qu’un acte de vente ne lui a pas été délivré. En plus d’Ousmane Kandé, Saliou Kassé a réclamé la propriété de la parcelle 273. « C’est Awa Wathie qui a acheté la parcelle de la femme de Malick Dieng, Faty Ngom, qui m’a vendu ledit terrain. Malick Dieng a vendu la maison à sa femme Faty », a expliqué Saliou Kassé. Ainsi, le terrain se retrouve avec deux propriétaires, Saliou Kassé et Ousmane Kandé, qui ont comparu en tant que partie civile. Leurs actes de mutation de la parcelle ont été faits par Pape Mamour Guèye.
ependant, si Saliou Kassé détient l’attestation en bonne et due forme que Mamour certifie avoir signé et délivré, Ibrahima Ndiaye a un acte sur lequel est apposée la signature de Malick Dieng, alors que ce dernier n’est plus. « Je ne suis pas instruit, c’est Pape Mamour qui m’a demandé de signer à la place du défunt », s’est défendu Ibrahima Ndiaye. Le frère de Malick Dieng, Barka Dieng, qui a comparu à titre de témoin, a certifié que son frère avait vendu la parcelle à Ibrahima Ndiaye à 600 000 FCFA.
e parquet s’était remis à la sagesse du tribunal. Le conseil de Saliou Kassé n’avait pas fait de demande. Les conseils des prévenus avaient demandé la relaxe pure et simple de leurs clients vu qu’aucune preuve n’a été apportée.
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