Le Cheikh dont nous insinuiez le nom dans votre article a reçu le flambeau de Gor Yallah et a été intronisé par Serigne SALIOU dans sa noble mission de perpétuer l’œuvre du fondateur des Instituts Al Azhar pour l’enseignement et l’éducation islamique. Depuis 2004, il a investi sur fonds propres prés d’un milliard cinq cent millions de F CFA pour
-Premièrement : consolider les instituts AL Azhar ( Centre Al Azhar Sokhna Maimouna de Touba, l’institut Al Aehar de Pire, de Keur Massar etc…).
Ces Institut AL AZHAR qui sont crées en 1974 et comptent aujourd’hui plus de 500 écoles fréquentées par plus de 70 000 élèves au Sénégal, les Instituts Al Azhar, sous l’impulsion et l’élan de leur fondateur, ont essaimé à travers l’Afrique et même au-delà de l’océan Atlantique. Ils se sont tour à tour implantés
En Afrique : Gambie (2), Côte d’ivoire (2), Gabon, Cameroun
En Europe : Italie, Espagne, France, Allemagne.
Aux Etats-Unis : New York, Washington, Atlanta, Memphis, Detroit, Cincinnati).
Deuxièmement : élargir le cadre spatial des institut Al Azhar par la construction de nouveaux centres. Ces Centres d’Excellence qui symbolisent La maturité de ce système éducatif a eu pour conséquence un. Besoin impérieux des étudiants de s’insérer dans le marché de l’emploi devenu de plus en plus sélectif. Les rares bourses qui leur étaient offertes les confinaient dans des départements de théologie et de langue.
Pour apporter des solutions à ce problème, Serigne Mame Mor MBACKE créa alors des centres d’excellence sous forme de collège universitaire pour permettre aux étudiants d’être formés dans des filières professionnelles facilitant leur insertion dans la vie active. Son objectif est de donner aux étudiants, en plus de leur formation académique et professionnelle, une parfaite maîtrise de l’arabe, du français et de l’anglais.
Les Centres d’excellence se sont assignés comme objectif principal de former des titulaires du baccalauréat arabe dans des filières professionnelles telles que l’électromécanique, l’électrotechnique et l’agriculture entre autres après 3 ans d’études
Troisièmement : améliorer qualitativement les conditions de travail et d’existence des personnels enseignants et administratifs
Last but not least, lancer le projet Universitaire CAB.
L’Université Cheikh Ahmadou Bamba est l’aboutissement naturel de l’œuvre de Cheikh Mourtada MBACKE. En 2005, Serigne Mor entreprit la construction de l’université CHEIKH AHMADOU BAMBA pour parachever La maturité du système éducatif des Instituts Al Azhar
A ce jour, il a déjà investi un montant de 1,300 milliard sur fonds propres sans aucun apport ni intérieur ni extérieur. L’UCAB qui ouvrira les portes de sa première faculté en novembre 2011, est une structure universitaire à vacation sous-régionale qui adoptera le système d’évaluation international sous forme de LMD.
Les cours qui seront dispensés en anglais, en français et en arabe. Le comité technique composé d’imminents professeurs issus de grandes Universités Américaines, Européennes et africaines à l’ambition de faire de cette structure, la premières Université internationale au Sud du Sahara qui devra réconcilier nos peuples avec le passé et revendiquer son apport dans la Connaissance Universelle.
Financement de ces réalisations :Les Instituts AL AZHAR ont toujours été appuyés sur le plan pédagogique par certains pays amis du Sénégal et en particulier par la Mauritanie, le Maroc et l’Egypte.
Ces appuis se manifestent sous la forme d’envoie de professeurs, de bourses scolaires ou de manuels scolaires .
Cependant, l’essentiel du financement de ces Instituts est fourni par les ressources du HOLDING AL AZHAR que le Marabout a crée pour appuyer les instituts de formation.
Le HOLDING est composé de plusieurs sociétés qui non seulement financent ces dits instituts, mais elles accueillent en plus ses diplômés. On compte :
Al Azhar Trans-Services
Al Azhar Transport
Al Azhar Assurances
Al Azhar Agro-alimentaire
Al Azhar Mines et Carrières
Al Azhar Mayombe Travel Agency
Cette vision, cet engagement pour pérenniser cette œuvre ne pouvait se faire sans la recherche d’une autonomie financière pour les Instituts Al Azhar qui ne pouvaient plus dépendre uniquement de la modeste participation des élèves, ni de la collecte des adiyas des talibés mourides. Ainsi un holding a été crée composé de sociétés œuvrant dans des domaines aussi variés que le transport, les mines et carrières, l’agro-alimantaire, les assurances pour ne citer que cela. Toutes ces sociétés ne visent qu’un seul et même but : générer des bénéfices pour la satisfaction d’actions exprimées ou inspirées par Cheikh Amadou Bamba.
Le digne héritier de Serigne Mourtada n’est pas un « bussness ma » mais un homme de Dieu réfléchissant et travaillant pour réaliser les nobles objectifs que la Mouridiya lui a fixés à travers l’héritage de Gor Yalla. Pendant sa construction, la Grande Mosquée de Touba n’avait-elle pas un champ collectif exploité par les talibés Mourides ?
Faudrait-il rappeler par ailleurs, que le Cheikh n’a rien et ne réclame rien pour lui. Il est la courroie de transmission entre les talibés de la Diaspora et le Khalife des Mourides pour qui il reste un humble talibé et rien que cela. Les dahiras d’Italie, d’Amérique ont toujours remis en sa compagnie leur adiya au khalife Général des Mourides qu’il s’agisse de Serigne Saliou, Serigne Bara ou Serigne Sidy Moctar. Jamais il n’a osé se compromettre en se substituant à ce dernier comme vous le faites en critiquant un petit fils de Serigne TOUBA investi d’une mission par le Khalif lui-même.
Comment peut-on prêter à un petit fils de Serigne TOUBA la prétention d’interdire la lecture des Khassaides de Serigne TOUBA. Il est sur et certain qu’il en sait plus que vous et en lit plus que vous et le respecte beaucoup plus que vous. Depuis combien d’années octroie t-il des billets pour le pèlerinage à la Mecque aux dahiras des chanteurs Mourides (Mouhahibou Nafi sous la direction de Falou NDIAYE) afin que chaque année l’un des membres ait l’occasion d’aller réciter des Khassaides au Mausolée du Prophètes PSL.
Cette année, certainement, un membre du dahira Khassaite de New York ira à la Mecque pour élargir l’éventail des bénéficiaires.
Il faut alors saluer le courage et la clairvoyance de ce guide religieux qui est entrain d’extirper de la masse des mourides convaincus que la lecture des khassaides permet d’accéder au voisinage de Dieu, les Hypocrites qui arborent les mêmes tenues, semblent lire les mêmes khassaides mais nourrissent une seule ambition : infiltrer la mouridiya pour servir leurs desseins inavouables et inavoués
Ils ne passeront pas et ne réussiront point car Serigne TOUBA veille sur la Mouridiya et sur ses Mourides.
Les termes utilisés tout au long de votre discours (manne financière, adiya, amasser, rediriger etc.. trahissent votre obsession de positionnement et votre rapport à l’argent qui semblent focaliser toute votre énergie dans notre communauté.
Que Dieu me garde de suivre votre exemple de critiquer l’héritier de Cheikh Mouhadoul Mourtada intronisé par Serigne Saliou, après luis Cheikh Mouhamadou Lamine Barra, et investi d’une mission par le Khalife général des Mourides.
Serigne Djigal.
-Premièrement : consolider les instituts AL Azhar ( Centre Al Azhar Sokhna Maimouna de Touba, l’institut Al Aehar de Pire, de Keur Massar etc…).
Ces Institut AL AZHAR qui sont crées en 1974 et comptent aujourd’hui plus de 500 écoles fréquentées par plus de 70 000 élèves au Sénégal, les Instituts Al Azhar, sous l’impulsion et l’élan de leur fondateur, ont essaimé à travers l’Afrique et même au-delà de l’océan Atlantique. Ils se sont tour à tour implantés
En Afrique : Gambie (2), Côte d’ivoire (2), Gabon, Cameroun
En Europe : Italie, Espagne, France, Allemagne.
Aux Etats-Unis : New York, Washington, Atlanta, Memphis, Detroit, Cincinnati).
Deuxièmement : élargir le cadre spatial des institut Al Azhar par la construction de nouveaux centres. Ces Centres d’Excellence qui symbolisent La maturité de ce système éducatif a eu pour conséquence un. Besoin impérieux des étudiants de s’insérer dans le marché de l’emploi devenu de plus en plus sélectif. Les rares bourses qui leur étaient offertes les confinaient dans des départements de théologie et de langue.
Pour apporter des solutions à ce problème, Serigne Mame Mor MBACKE créa alors des centres d’excellence sous forme de collège universitaire pour permettre aux étudiants d’être formés dans des filières professionnelles facilitant leur insertion dans la vie active. Son objectif est de donner aux étudiants, en plus de leur formation académique et professionnelle, une parfaite maîtrise de l’arabe, du français et de l’anglais.
Les Centres d’excellence se sont assignés comme objectif principal de former des titulaires du baccalauréat arabe dans des filières professionnelles telles que l’électromécanique, l’électrotechnique et l’agriculture entre autres après 3 ans d’études
Troisièmement : améliorer qualitativement les conditions de travail et d’existence des personnels enseignants et administratifs
Last but not least, lancer le projet Universitaire CAB.
L’Université Cheikh Ahmadou Bamba est l’aboutissement naturel de l’œuvre de Cheikh Mourtada MBACKE. En 2005, Serigne Mor entreprit la construction de l’université CHEIKH AHMADOU BAMBA pour parachever La maturité du système éducatif des Instituts Al Azhar
A ce jour, il a déjà investi un montant de 1,300 milliard sur fonds propres sans aucun apport ni intérieur ni extérieur. L’UCAB qui ouvrira les portes de sa première faculté en novembre 2011, est une structure universitaire à vacation sous-régionale qui adoptera le système d’évaluation international sous forme de LMD.
Les cours qui seront dispensés en anglais, en français et en arabe. Le comité technique composé d’imminents professeurs issus de grandes Universités Américaines, Européennes et africaines à l’ambition de faire de cette structure, la premières Université internationale au Sud du Sahara qui devra réconcilier nos peuples avec le passé et revendiquer son apport dans la Connaissance Universelle.
Financement de ces réalisations :Les Instituts AL AZHAR ont toujours été appuyés sur le plan pédagogique par certains pays amis du Sénégal et en particulier par la Mauritanie, le Maroc et l’Egypte.
Ces appuis se manifestent sous la forme d’envoie de professeurs, de bourses scolaires ou de manuels scolaires .
Cependant, l’essentiel du financement de ces Instituts est fourni par les ressources du HOLDING AL AZHAR que le Marabout a crée pour appuyer les instituts de formation.
Le HOLDING est composé de plusieurs sociétés qui non seulement financent ces dits instituts, mais elles accueillent en plus ses diplômés. On compte :
Al Azhar Trans-Services
Al Azhar Transport
Al Azhar Assurances
Al Azhar Agro-alimentaire
Al Azhar Mines et Carrières
Al Azhar Mayombe Travel Agency
Cette vision, cet engagement pour pérenniser cette œuvre ne pouvait se faire sans la recherche d’une autonomie financière pour les Instituts Al Azhar qui ne pouvaient plus dépendre uniquement de la modeste participation des élèves, ni de la collecte des adiyas des talibés mourides. Ainsi un holding a été crée composé de sociétés œuvrant dans des domaines aussi variés que le transport, les mines et carrières, l’agro-alimantaire, les assurances pour ne citer que cela. Toutes ces sociétés ne visent qu’un seul et même but : générer des bénéfices pour la satisfaction d’actions exprimées ou inspirées par Cheikh Amadou Bamba.
Le digne héritier de Serigne Mourtada n’est pas un « bussness ma » mais un homme de Dieu réfléchissant et travaillant pour réaliser les nobles objectifs que la Mouridiya lui a fixés à travers l’héritage de Gor Yalla. Pendant sa construction, la Grande Mosquée de Touba n’avait-elle pas un champ collectif exploité par les talibés Mourides ?
Faudrait-il rappeler par ailleurs, que le Cheikh n’a rien et ne réclame rien pour lui. Il est la courroie de transmission entre les talibés de la Diaspora et le Khalife des Mourides pour qui il reste un humble talibé et rien que cela. Les dahiras d’Italie, d’Amérique ont toujours remis en sa compagnie leur adiya au khalife Général des Mourides qu’il s’agisse de Serigne Saliou, Serigne Bara ou Serigne Sidy Moctar. Jamais il n’a osé se compromettre en se substituant à ce dernier comme vous le faites en critiquant un petit fils de Serigne TOUBA investi d’une mission par le Khalif lui-même.
Comment peut-on prêter à un petit fils de Serigne TOUBA la prétention d’interdire la lecture des Khassaides de Serigne TOUBA. Il est sur et certain qu’il en sait plus que vous et en lit plus que vous et le respecte beaucoup plus que vous. Depuis combien d’années octroie t-il des billets pour le pèlerinage à la Mecque aux dahiras des chanteurs Mourides (Mouhahibou Nafi sous la direction de Falou NDIAYE) afin que chaque année l’un des membres ait l’occasion d’aller réciter des Khassaides au Mausolée du Prophètes PSL.
Cette année, certainement, un membre du dahira Khassaite de New York ira à la Mecque pour élargir l’éventail des bénéficiaires.
Il faut alors saluer le courage et la clairvoyance de ce guide religieux qui est entrain d’extirper de la masse des mourides convaincus que la lecture des khassaides permet d’accéder au voisinage de Dieu, les Hypocrites qui arborent les mêmes tenues, semblent lire les mêmes khassaides mais nourrissent une seule ambition : infiltrer la mouridiya pour servir leurs desseins inavouables et inavoués
Ils ne passeront pas et ne réussiront point car Serigne TOUBA veille sur la Mouridiya et sur ses Mourides.
Les termes utilisés tout au long de votre discours (manne financière, adiya, amasser, rediriger etc.. trahissent votre obsession de positionnement et votre rapport à l’argent qui semblent focaliser toute votre énergie dans notre communauté.
Que Dieu me garde de suivre votre exemple de critiquer l’héritier de Cheikh Mouhadoul Mourtada intronisé par Serigne Saliou, après luis Cheikh Mouhamadou Lamine Barra, et investi d’une mission par le Khalife général des Mourides.
Serigne Djigal.
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