Vous avez finalement rejoint le groupe aujourd’hui (hier). Qu’est-ce qui explique votre retard ?
J’évolue actuellement dans un club où on joue la montée en Pro B. Je suis le capitaine et un des leaders de l’équipe. Ce sont des gens qui ont beaucoup investi sur ma personne. Ils comptent beaucoup sur moi. C’est vrai que j’ai quitté le Havre, en Pro A pour venir en N1, malgré les possibilités que j’avais pour rester au niveau de cette Ligue. J’ai adhéré au projet de cette équipe qui avait des ambitions de monter en Pro A d’ici deux ou trois ans. Cette année, on n’est pas loin. On est classés troisième. Il y a un litige contre Lille parce qu’ils ont fait jouer un joueur qui ne devait pas jouer. On attend. Il reste encore quelques journées. Je suis arrivé hier (lundi). Je ne pouvais pas faire autrement. J’avais un match le samedi. Un match important contre Boulogne. Je ne pouvais pas manquer ce match. J’ai sauté dans l’avion aussitôt après, pour être à Dakar aux environs de 4h du matin. Et là, (dans l’après-midi), je suis à l’entraînement.
Est-ce que l’envie est toujours là ?
L’envie est toujours là. J’ai tenu à être présent, parce que j’avais donné ma parole à Abdou (le sélectionneur national), et je devais la respecter. Je suis un vrai patriote. Quand mon pays a besoin de moi, je réponds présent. J’ai fait part à mon président et au coach de mon club, que je voulais être là pour aider mon équipe, lui apporter mon expérience. Adidas me suit régulièrement. Il connaît mes qualités. Donc, il a fait appel à moi, raisons pour lesquelles, je suis là. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour faire part du regret de Malèye Ndoye. Il voulait vraiment venir. Il ne dort plus. Malheureusement, il traverse quelques difficultés avec son club. C’est pour cela qu’il n’est pas venu. Il a aussi une finale de Coupe de France contre Nancy, le weekend prochain. Mais il avait vraiment envie de venir. Il lui reste encore un an de contrat avec son club. C’est une période trop risquée pour lui. Je le comprends. Il m’a personnellement demandé de transmettre ses excuses à la commission à tout le monde. C’est un gosse sérieux qui a toujours répondu présent. C’est important de le souligner.
Malèye n’est pas le seul à rater le rendez-vous de Bamako. Ils sont d’ailleurs nombreux. Qu’est-ce que cela vous fait ?
C’est vrai ! Il y a Boniface (Ndong). Il joue les play off avec son club, Malaga. Même moi, j’ai un match le 23 mai avec mon club. Mais, je n’ai pas le choix. C’est limite. Malgré tout, je suis là. Maintenant, je ne vais pas trop m’étendre sur les absences des autres. Je suis patriote et je répondrai à chaque fois que le coach aura besoin de moi, si je suis disponible.
Un mot sur le groupe…
J’ai trouvé un groupe composé de jeunes. Si je regarde bien, j’en connais que deux ou trois. Maintenant, il faut leur faire confiance et les pousser. Je suis là pour jouer ce rôle. Je ne suis pas là pour être le sauveur ou autre chose. Je suis là pour apporter mon expérience, mon vécu. On peut réaliser une bonne performance au Mali. Je suis optimiste. Ce sera une opération commando par rapport à la date prévue et à la durée assez courte du temps de préparation. Mais j’ai vu des jeunes qui sont déterminés. C’est une bonne chose. Il faut juste les motiver.
source le quotidien
J’évolue actuellement dans un club où on joue la montée en Pro B. Je suis le capitaine et un des leaders de l’équipe. Ce sont des gens qui ont beaucoup investi sur ma personne. Ils comptent beaucoup sur moi. C’est vrai que j’ai quitté le Havre, en Pro A pour venir en N1, malgré les possibilités que j’avais pour rester au niveau de cette Ligue. J’ai adhéré au projet de cette équipe qui avait des ambitions de monter en Pro A d’ici deux ou trois ans. Cette année, on n’est pas loin. On est classés troisième. Il y a un litige contre Lille parce qu’ils ont fait jouer un joueur qui ne devait pas jouer. On attend. Il reste encore quelques journées. Je suis arrivé hier (lundi). Je ne pouvais pas faire autrement. J’avais un match le samedi. Un match important contre Boulogne. Je ne pouvais pas manquer ce match. J’ai sauté dans l’avion aussitôt après, pour être à Dakar aux environs de 4h du matin. Et là, (dans l’après-midi), je suis à l’entraînement.
Est-ce que l’envie est toujours là ?
L’envie est toujours là. J’ai tenu à être présent, parce que j’avais donné ma parole à Abdou (le sélectionneur national), et je devais la respecter. Je suis un vrai patriote. Quand mon pays a besoin de moi, je réponds présent. J’ai fait part à mon président et au coach de mon club, que je voulais être là pour aider mon équipe, lui apporter mon expérience. Adidas me suit régulièrement. Il connaît mes qualités. Donc, il a fait appel à moi, raisons pour lesquelles, je suis là. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour faire part du regret de Malèye Ndoye. Il voulait vraiment venir. Il ne dort plus. Malheureusement, il traverse quelques difficultés avec son club. C’est pour cela qu’il n’est pas venu. Il a aussi une finale de Coupe de France contre Nancy, le weekend prochain. Mais il avait vraiment envie de venir. Il lui reste encore un an de contrat avec son club. C’est une période trop risquée pour lui. Je le comprends. Il m’a personnellement demandé de transmettre ses excuses à la commission à tout le monde. C’est un gosse sérieux qui a toujours répondu présent. C’est important de le souligner.
Malèye n’est pas le seul à rater le rendez-vous de Bamako. Ils sont d’ailleurs nombreux. Qu’est-ce que cela vous fait ?
C’est vrai ! Il y a Boniface (Ndong). Il joue les play off avec son club, Malaga. Même moi, j’ai un match le 23 mai avec mon club. Mais, je n’ai pas le choix. C’est limite. Malgré tout, je suis là. Maintenant, je ne vais pas trop m’étendre sur les absences des autres. Je suis patriote et je répondrai à chaque fois que le coach aura besoin de moi, si je suis disponible.
Un mot sur le groupe…
J’ai trouvé un groupe composé de jeunes. Si je regarde bien, j’en connais que deux ou trois. Maintenant, il faut leur faire confiance et les pousser. Je suis là pour jouer ce rôle. Je ne suis pas là pour être le sauveur ou autre chose. Je suis là pour apporter mon expérience, mon vécu. On peut réaliser une bonne performance au Mali. Je suis optimiste. Ce sera une opération commando par rapport à la date prévue et à la durée assez courte du temps de préparation. Mais j’ai vu des jeunes qui sont déterminés. C’est une bonne chose. Il faut juste les motiver.
source le quotidien