Alors que le virus a regagné la capitale Conakry la semaine dernière, la préfecture de Forécariah continue de fournir des patients. Un nouveau cas confirmé a été notifié dans cette préfecture le 14 juillet, selon le dernier rapport de la Coordination nationale de riposte à l'épidémie. À la même date du 14 juillet, les équipes de riposte ont notifié un nouveau cas suspect.
Pendant ce temps, dans les différents centres de traitement et de transit, 27 patients dont 19 cas confirmés sont sous traitement. Alors que Conakry en a 13, quatre de ces patients sont au centre de traitement de Kindia. Cette préfecture est d'ailleurs en alerte avec des contacts à suivre reliés à un cas confirmé de Ratoma (Conakry) qui a consulté un guérisseur traditionnel dans la sous-préfecture de Friguiagbé.
Après les oppositions, parfois violentes, dans la région de Boké, aucune réticence n'est signalée. Les acteurs de la riposte ont donc le champ libre. Sauf que parmi eux, les agents des comités de veille à Conakry menacent d'interrompre le travail. Cela, pour cause de non-paiement de leurs salaires. Ces agents réclament trois mois d'arriérés de salaire, soit un million cinq cent mille francs guinéens, à la Coordination nationale de riposte à l'épidémie.
Sur ces revendications, le chargé de la communication de la Coordination nous a indiqués que le « problème est en train d'être réglé ». Fodé Tass a précisé que ces agents de veille sont au compte des partenaires, UNICEF et OMS.
Guinéenews.
Pendant ce temps, dans les différents centres de traitement et de transit, 27 patients dont 19 cas confirmés sont sous traitement. Alors que Conakry en a 13, quatre de ces patients sont au centre de traitement de Kindia. Cette préfecture est d'ailleurs en alerte avec des contacts à suivre reliés à un cas confirmé de Ratoma (Conakry) qui a consulté un guérisseur traditionnel dans la sous-préfecture de Friguiagbé.
Après les oppositions, parfois violentes, dans la région de Boké, aucune réticence n'est signalée. Les acteurs de la riposte ont donc le champ libre. Sauf que parmi eux, les agents des comités de veille à Conakry menacent d'interrompre le travail. Cela, pour cause de non-paiement de leurs salaires. Ces agents réclament trois mois d'arriérés de salaire, soit un million cinq cent mille francs guinéens, à la Coordination nationale de riposte à l'épidémie.
Sur ces revendications, le chargé de la communication de la Coordination nous a indiqués que le « problème est en train d'être réglé ». Fodé Tass a précisé que ces agents de veille sont au compte des partenaires, UNICEF et OMS.
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