‘’Nous avons émis, en septembre 2010, une lettre de crédit de 45 milliards (FCFA) qui avait permis à la SAR (Société africaine de raffinage, à Dakar) de régler certains fournisseurs. Nous avons toujours cette ligne de crédit avec la SAR tout en continuant à financer les importations d’autres importateurs privés. Il s’agit d’une question d’indépendance énergétique du Sénégal’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec l’APS.
Cette intervention s’inscrit dans les rapports entre la banque panafricaine avec l’Etat du Sénégal, en termes d’activité de crédit. ‘’Nous participons à certaines opérations, dans le logement, dans l’énergie, etc. Dans le sous-secteur des hydrocarbures, nous avons réalisé une opération de 43 milliards pour la SAR pour son approvisionnement qui ont permis à la SAR de faire une opération majeure avec UBA’’, a rappelé Yves Coffi Quam-Dessou.
Pour la SAR, qui est passée sous contrôle public sénégalais, il a signalé que ‘’la capacité d’Ecobank-Sénégal seule ne suffisait pas’’. ‘’Nous avons invité nos filiales sœurs dans les autres pays à venir nous apporter un financement qui nous a permis de répondre au besoin de financement de la SAR’’, a-t-il expliqué relevant les avantages d’un groupe bancaire, de l’union régionale ouest-africaine et de l’absence de ‘’risque de change’’ dans cette opération.
Le patron d’Ecobank-Sénégal a également indiqué leur participation ‘’de manière très active dans les approvisionnements de SENELEC’’. ‘’Nous avons mis l’an dernier (2010) quelques dizaines de milliards dans le financement de l’électricité au Sénégal’’, a-t-il fait remarquer, tout en se gardant de donner ‘’le montant exact’’.
‘’Pour SENELEC, a indiqué M. Coffi, ce financement dure toute l’année afin d’appuyer ses approvisionnements’’. ‘’Nous sommes une banque importante en termes de ligne de crédit. Mais, nous ne sommes pas la seule. Nous restons une banque citoyenne, sensible, bien que nous soyons une banque d’affaires, de contribuer à soutenir notre pays.’’
En une douzaine d’années de présence sur la place de Dakar, Ecobank s’est classée à la 3ème position en taille, revenus et réseau bancaires. En 2010, son total du bilan a augmenté de 20%, se situant à 314 milliards de F CFA contre 261 milliards en 2009.
SAB/ASG
Cette intervention s’inscrit dans les rapports entre la banque panafricaine avec l’Etat du Sénégal, en termes d’activité de crédit. ‘’Nous participons à certaines opérations, dans le logement, dans l’énergie, etc. Dans le sous-secteur des hydrocarbures, nous avons réalisé une opération de 43 milliards pour la SAR pour son approvisionnement qui ont permis à la SAR de faire une opération majeure avec UBA’’, a rappelé Yves Coffi Quam-Dessou.
Pour la SAR, qui est passée sous contrôle public sénégalais, il a signalé que ‘’la capacité d’Ecobank-Sénégal seule ne suffisait pas’’. ‘’Nous avons invité nos filiales sœurs dans les autres pays à venir nous apporter un financement qui nous a permis de répondre au besoin de financement de la SAR’’, a-t-il expliqué relevant les avantages d’un groupe bancaire, de l’union régionale ouest-africaine et de l’absence de ‘’risque de change’’ dans cette opération.
Le patron d’Ecobank-Sénégal a également indiqué leur participation ‘’de manière très active dans les approvisionnements de SENELEC’’. ‘’Nous avons mis l’an dernier (2010) quelques dizaines de milliards dans le financement de l’électricité au Sénégal’’, a-t-il fait remarquer, tout en se gardant de donner ‘’le montant exact’’.
‘’Pour SENELEC, a indiqué M. Coffi, ce financement dure toute l’année afin d’appuyer ses approvisionnements’’. ‘’Nous sommes une banque importante en termes de ligne de crédit. Mais, nous ne sommes pas la seule. Nous restons une banque citoyenne, sensible, bien que nous soyons une banque d’affaires, de contribuer à soutenir notre pays.’’
En une douzaine d’années de présence sur la place de Dakar, Ecobank s’est classée à la 3ème position en taille, revenus et réseau bancaires. En 2010, son total du bilan a augmenté de 20%, se situant à 314 milliards de F CFA contre 261 milliards en 2009.
SAB/ASG