« À l’entame du programme, sur 100 filles, 30% subissait des violences à l’école. Après 18 mois d’intervention, nous avons connu un net recul du phénomène, et aujourd’hui on se retrouve avec 13%. Mais nous espérons qu’avec la communauté que nous avons formée le problème sera bientôt éradiqué », a relaté Pape Sidi Diop, directeur régional de Plan International à Kaolack, sur les ondes de la radio Al Fayda.
Pour M. Diop toujours, un changement de comportement a été noté au sein de la communauté: « les enseignants ont commencé à changer leur attitude vis à vis des élèves surtout les filles. Les parents aussi sont devenus plus vigilants, des comités de suivi ont été aussi mis en place ».
Pour M. Diop toujours, un changement de comportement a été noté au sein de la communauté: « les enseignants ont commencé à changer leur attitude vis à vis des élèves surtout les filles. Les parents aussi sont devenus plus vigilants, des comités de suivi ont été aussi mis en place ».