Quel changement le Pse a apporté à l’agriculture ?
Sur le plan agricole, le président de la République est sur le point de totalement révolutionner le secteur. Il a trouvé un taux très négatif de 27,8% en 2011. Au moment où je vous parle, il l’a amené jusqu’à 7,8% en évolution agricole alors que dans l’Afrique sub-saharienne, la moyenne tourne vers les coûts de 4%. Il y’a donc des avancées énormes dans le secteur de l’agriculture. Des investissements réels sont en train d’être faits. Entre 8 et 11 milliards de F Cfa sont injectés annuellement dans l’économie agricole en termes de subventions sur le prix des engrais. Le gouvernement a mis récemment en place 18 milliards pour la subvention de 25 000 tonnes de semences certifiées, 50 000 tonnes de semences écrémées, actuellement distribuées sur toute l’étendue du territoire sénégalais. Alors qu’en 2011, l’ancien régime peinait à atteindre les 500 Kg de semences certifiées. Il y’a aussi, dans la cadre de la modernisation de l’agriculture Sénégalaise, la mise à disposition de matériels agricoles avec des subventions allant jusqu’à concurrence de 70% pour les matériels attelés, et 60% pour les motorisés.
Pour les matériels attelés, avec 70% de réduction sur les prix d’achat, le président de la République, Macky Sall y a déjà investi 2,2 milliards de F CFA. Là, également, preuve de son patriotisme, c’est l’entreprise locale, SISMAR qui a été choisie pour la fabrication du matériel distribué un peu partout au Sénégal à hauteur de 13000 Semoirs, 1040 houes occidentales et 650 houes Sine. Ça, c’est un effort énorme. Avec une enveloppe de 8 Milliards/5 ans, le premier lot des 2000 tracteurs commence à arriver pour rejoindre les 1050 que le Président Macky Sall avait remis au début de son projet de mise en valorisation de la vallée du fleuve Sénégal dans le processus d’atteinte de l’autosuffisance alimentaire en riz d’ici 2017. Il y avait en outre amenagé 60000 ha dont 10000 ha en PIV (Périmètres Irrigués Villageois) et remis en sus des tracteurs, 375 motopompes, 115 batteuses et 12 moissonneuses. Il a pu aussi mettre en place une ligne de crédits de plus de 5 milliards de F Cfa. Pour vous montrer que ces efforts commencent à se faire sentir au plan agricole, le Sénégal a pu exporter pour une première fois en 2014 plus de 90000 Tonnes d’arachides en Chine et porter la production des 405 824 tonnes de 2012 au niveau du riz à 631 000 tonnes en 2014. C’est une nette évolution. Pendant ce temps, il faudra aussi que nos compatriotes se rendent compte, qu’ils soient conscients qu’on subventionne beaucoup d’argent dans l’importation du riz et pensent à consommer local. Pas moins de 200 milliards sont injectés par an dans ce secteur. Tout ceci, si on participe à valoriser et moderniser l’agriculture, on n’aura plus rien à dépenser dans le cadre de l’importation du riz. Cet argent peut être concentré vers d’autres secteurs qui pourront servir après le Sénégal. Je pense que sur le plan agricole, d’ici 2017, l’autosuffisance alimentaire pourrait bien devenir une réalité. Parce qu’il y’a des zones qui sont en train d’être modernisées et c’est possible. Il faut y croire, je pense qu’avec un peu de patience, on peut y arriver.
Des efforts pareils ont-ils été faits dans le domaine de l’éducation ?
Je voudrais juste aborder un point concernant les étudiants qui ont eu à lancer des pierres sur le cortège du président de la République, Macky Sall, lors de sa récente visite à l’Ucad. Ce qui me parait bizarre dans cette affaire diversement interprétée, c’est qu’ils n’ont même pas pu faire la différence entre ce qui se faisait sur le plan de l’enseignement supérieur en termes d’investissements, et les moyens mis en œuvre depuis la seconde alternance politique du Sénégal. Tenez-vous bien que le président de la République, Macky Sall a mis en place un budget inédit dans l’enseignement supérieur de plus de 300 Milliards de FCFA pour la période 2012-2017. Si l’on prend ces 300 milliards de F Cfa, on se rend aisément compte qu’en l’espace de 4 voire 5 ans maximum, il doublera tous les investissements effectués de 1960 jusqu’en 2012 soit plus que l’ensemble de ses prédécesseurs cumulés. Ces étudiants-là, j’estime qu’ils devraient penser plus à le remercier et l’encourager qu’à lui jeter des pierres. Vous avez suivi récemment les assises de l’éducation qui se sont déroulées et clôturées avec le conseil présidentiel qui s’est tenu il y’a quelques jours. Il a mis en place des axes stratégiques très importants : l’école pour tous, l’école pour la stabilité, l’école de qualité… Ces axes-là, je pense que si véritablement les enseignants suivent correctement le déroulement, comme l’entend le président de la République, Macky Sall, le Sénégal pourrait revoir son éducation retrouver son niveau d’antan. Un peuple qui n’est pas éduqué, tout le monde le sait, est amené à disparaître parce qu’il n’y aura pas de survie possible. Pour l’éducation, je sais que le président de la République est en train de faire des reformes qui serviront le pays ultérieurement et qui, naturellement, pourront amener le Sénégal vers un enseignement de qualité pour tous. Tout ce que nous demandons à l’ensemble de nos compatriotes à l’égard du gouvernement actuel, c’est de patienter.
Le secteur de la santé a-t-elle été pourvu de ressources, dans le cadre du Pse ?
Pour ce qui concerne le secteur de la santé, le Pse a prévu une démocratisation sur le plan national. En 2011, seul 20% de la population sénégalaise disposait de couverture maladie. Actuellement, il y’a un budget qui tourne vers les coûts de 15 milliards de F Cfa qui est injecté par an sur le plan de la Couverture maladie universelle (Cmu). Une initiative qui sera étendue. C’est vrai qu’on a besoin de plus, environ 27 milliards de F Cfa. Il faut aussi souligner que des mutuelles de santé ont été créées et 5 milliards de F Cfa y sont injectés annuellement. En termes de réalisations, pour vous dire que ces 15 milliards de F Cfa qu’on injecte actuellement sur le plan de la santé ne sont pas anodins et ne sont pas distribués d’une manière irrationnelle. Je peux vous dire que 12 666 femmes en ont bénéficié en termes de césariennes, 97 883 personnes ont bénéficié de la couverture maladie universelle, 1 228 000 personnes enfants âgés de 0 à 5 ans ont bénéficié de cette couverture, 215 000 personnes âgées, dans le cadre du Plan Sésame, en ont également bénéficié. Actuellement, plus de 365 mutuelles de santé ont été créées dans ce budget. Il faut se dire une chose, que ce n’est pas facile, ça coûte de l’argent. Néanmoins, le Président de la République, Macky Sall et son équipe sont en train de faire un travail énorme pour que les Sénégalais de tout bord, surtout les plus défavorisés, puissent bénéficier d’un plan de santé digne de ce nom. Le Chef de l’Etat et le gouvernement sont en train de le faire au Sénégal, il faut le reconnaître au moment de son accession à la magistrature suprême, « Fepp mo done meti » comme on le dit en wolof. Il y’avait que des priorités sur des priorités. D’ailleurs, il a eu le courage et l’honnêteté de le reconnaître à travers son plan d’action prioritaire 2014-2018. Il a dit : on a répertorié plus de 451 mesures et actions prioritaires à appliquer au Sénégal pour qu’il soit développé. Moi, président de la République, Macky Sall, je ne peux faire que les 190 de 2014 jusqu’à 2018. Donc, il est assez cohérent, il sait ce qu’il peut faire et ce qu’il ne peut pas faire. Et, sur ce, j’en appelle au Sénégalais à la raison, à la disponibilité, l’écoute et la patience. C’est cette attente là qui va faire développer le Sénégal de demain. En résumé, le Pse va révolutionner l’agriculture, propulser l’éducation, assainir et démocratiser la santé…
A suivre pour les autres secteurs de la vie économique et sociale du Sénégal…
Walf Grand Place
Sur le plan agricole, le président de la République est sur le point de totalement révolutionner le secteur. Il a trouvé un taux très négatif de 27,8% en 2011. Au moment où je vous parle, il l’a amené jusqu’à 7,8% en évolution agricole alors que dans l’Afrique sub-saharienne, la moyenne tourne vers les coûts de 4%. Il y’a donc des avancées énormes dans le secteur de l’agriculture. Des investissements réels sont en train d’être faits. Entre 8 et 11 milliards de F Cfa sont injectés annuellement dans l’économie agricole en termes de subventions sur le prix des engrais. Le gouvernement a mis récemment en place 18 milliards pour la subvention de 25 000 tonnes de semences certifiées, 50 000 tonnes de semences écrémées, actuellement distribuées sur toute l’étendue du territoire sénégalais. Alors qu’en 2011, l’ancien régime peinait à atteindre les 500 Kg de semences certifiées. Il y’a aussi, dans la cadre de la modernisation de l’agriculture Sénégalaise, la mise à disposition de matériels agricoles avec des subventions allant jusqu’à concurrence de 70% pour les matériels attelés, et 60% pour les motorisés.
Pour les matériels attelés, avec 70% de réduction sur les prix d’achat, le président de la République, Macky Sall y a déjà investi 2,2 milliards de F CFA. Là, également, preuve de son patriotisme, c’est l’entreprise locale, SISMAR qui a été choisie pour la fabrication du matériel distribué un peu partout au Sénégal à hauteur de 13000 Semoirs, 1040 houes occidentales et 650 houes Sine. Ça, c’est un effort énorme. Avec une enveloppe de 8 Milliards/5 ans, le premier lot des 2000 tracteurs commence à arriver pour rejoindre les 1050 que le Président Macky Sall avait remis au début de son projet de mise en valorisation de la vallée du fleuve Sénégal dans le processus d’atteinte de l’autosuffisance alimentaire en riz d’ici 2017. Il y avait en outre amenagé 60000 ha dont 10000 ha en PIV (Périmètres Irrigués Villageois) et remis en sus des tracteurs, 375 motopompes, 115 batteuses et 12 moissonneuses. Il a pu aussi mettre en place une ligne de crédits de plus de 5 milliards de F Cfa. Pour vous montrer que ces efforts commencent à se faire sentir au plan agricole, le Sénégal a pu exporter pour une première fois en 2014 plus de 90000 Tonnes d’arachides en Chine et porter la production des 405 824 tonnes de 2012 au niveau du riz à 631 000 tonnes en 2014. C’est une nette évolution. Pendant ce temps, il faudra aussi que nos compatriotes se rendent compte, qu’ils soient conscients qu’on subventionne beaucoup d’argent dans l’importation du riz et pensent à consommer local. Pas moins de 200 milliards sont injectés par an dans ce secteur. Tout ceci, si on participe à valoriser et moderniser l’agriculture, on n’aura plus rien à dépenser dans le cadre de l’importation du riz. Cet argent peut être concentré vers d’autres secteurs qui pourront servir après le Sénégal. Je pense que sur le plan agricole, d’ici 2017, l’autosuffisance alimentaire pourrait bien devenir une réalité. Parce qu’il y’a des zones qui sont en train d’être modernisées et c’est possible. Il faut y croire, je pense qu’avec un peu de patience, on peut y arriver.
Des efforts pareils ont-ils été faits dans le domaine de l’éducation ?
Je voudrais juste aborder un point concernant les étudiants qui ont eu à lancer des pierres sur le cortège du président de la République, Macky Sall, lors de sa récente visite à l’Ucad. Ce qui me parait bizarre dans cette affaire diversement interprétée, c’est qu’ils n’ont même pas pu faire la différence entre ce qui se faisait sur le plan de l’enseignement supérieur en termes d’investissements, et les moyens mis en œuvre depuis la seconde alternance politique du Sénégal. Tenez-vous bien que le président de la République, Macky Sall a mis en place un budget inédit dans l’enseignement supérieur de plus de 300 Milliards de FCFA pour la période 2012-2017. Si l’on prend ces 300 milliards de F Cfa, on se rend aisément compte qu’en l’espace de 4 voire 5 ans maximum, il doublera tous les investissements effectués de 1960 jusqu’en 2012 soit plus que l’ensemble de ses prédécesseurs cumulés. Ces étudiants-là, j’estime qu’ils devraient penser plus à le remercier et l’encourager qu’à lui jeter des pierres. Vous avez suivi récemment les assises de l’éducation qui se sont déroulées et clôturées avec le conseil présidentiel qui s’est tenu il y’a quelques jours. Il a mis en place des axes stratégiques très importants : l’école pour tous, l’école pour la stabilité, l’école de qualité… Ces axes-là, je pense que si véritablement les enseignants suivent correctement le déroulement, comme l’entend le président de la République, Macky Sall, le Sénégal pourrait revoir son éducation retrouver son niveau d’antan. Un peuple qui n’est pas éduqué, tout le monde le sait, est amené à disparaître parce qu’il n’y aura pas de survie possible. Pour l’éducation, je sais que le président de la République est en train de faire des reformes qui serviront le pays ultérieurement et qui, naturellement, pourront amener le Sénégal vers un enseignement de qualité pour tous. Tout ce que nous demandons à l’ensemble de nos compatriotes à l’égard du gouvernement actuel, c’est de patienter.
Le secteur de la santé a-t-elle été pourvu de ressources, dans le cadre du Pse ?
Pour ce qui concerne le secteur de la santé, le Pse a prévu une démocratisation sur le plan national. En 2011, seul 20% de la population sénégalaise disposait de couverture maladie. Actuellement, il y’a un budget qui tourne vers les coûts de 15 milliards de F Cfa qui est injecté par an sur le plan de la Couverture maladie universelle (Cmu). Une initiative qui sera étendue. C’est vrai qu’on a besoin de plus, environ 27 milliards de F Cfa. Il faut aussi souligner que des mutuelles de santé ont été créées et 5 milliards de F Cfa y sont injectés annuellement. En termes de réalisations, pour vous dire que ces 15 milliards de F Cfa qu’on injecte actuellement sur le plan de la santé ne sont pas anodins et ne sont pas distribués d’une manière irrationnelle. Je peux vous dire que 12 666 femmes en ont bénéficié en termes de césariennes, 97 883 personnes ont bénéficié de la couverture maladie universelle, 1 228 000 personnes enfants âgés de 0 à 5 ans ont bénéficié de cette couverture, 215 000 personnes âgées, dans le cadre du Plan Sésame, en ont également bénéficié. Actuellement, plus de 365 mutuelles de santé ont été créées dans ce budget. Il faut se dire une chose, que ce n’est pas facile, ça coûte de l’argent. Néanmoins, le Président de la République, Macky Sall et son équipe sont en train de faire un travail énorme pour que les Sénégalais de tout bord, surtout les plus défavorisés, puissent bénéficier d’un plan de santé digne de ce nom. Le Chef de l’Etat et le gouvernement sont en train de le faire au Sénégal, il faut le reconnaître au moment de son accession à la magistrature suprême, « Fepp mo done meti » comme on le dit en wolof. Il y’avait que des priorités sur des priorités. D’ailleurs, il a eu le courage et l’honnêteté de le reconnaître à travers son plan d’action prioritaire 2014-2018. Il a dit : on a répertorié plus de 451 mesures et actions prioritaires à appliquer au Sénégal pour qu’il soit développé. Moi, président de la République, Macky Sall, je ne peux faire que les 190 de 2014 jusqu’à 2018. Donc, il est assez cohérent, il sait ce qu’il peut faire et ce qu’il ne peut pas faire. Et, sur ce, j’en appelle au Sénégalais à la raison, à la disponibilité, l’écoute et la patience. C’est cette attente là qui va faire développer le Sénégal de demain. En résumé, le Pse va révolutionner l’agriculture, propulser l’éducation, assainir et démocratiser la santé…
A suivre pour les autres secteurs de la vie économique et sociale du Sénégal…
Walf Grand Place