Daouda Faye est d’avis que faire une telle comparaison reviendrait à appeler le peuple au soulèvement. « Je ne crois pas responsable de vouloir anticiper la décision du peuple en lui demandant de prendre la rue », a fustigé Vava. Qui donne à César ce qui lui revient de droit. « Le pouvoir n’appartient qu’au peuple et l’appeler à descendre dans la rue, ce n’est pas responsable », déclare l’ancien maire de Kaolack.
Pour Vava Abdoulaye Wade n’est en rien comparable à Ben Ali. « C’est comme le jour et la nuit », tranche-t-il. Pour Vava « Au Sénégal, il y a la liberté d’association, de créer un parti, de marcher, de critiquer le président et de se porter candidat à tout. » pour clouer le bec aux détracteurs de Wade qui ne cessent d’assimiler celui-ci au dictateur déchu Ben Ali, l’ancien ministre des Sports laisse entendre que « ce que Ben Ali a fait en terme de violation des droits Humains et de népotisme, Abdoulaye Wade ne l’a pas fait au Sénégal ».
Pour Vava Abdoulaye Wade n’est en rien comparable à Ben Ali. « C’est comme le jour et la nuit », tranche-t-il. Pour Vava « Au Sénégal, il y a la liberté d’association, de créer un parti, de marcher, de critiquer le président et de se porter candidat à tout. » pour clouer le bec aux détracteurs de Wade qui ne cessent d’assimiler celui-ci au dictateur déchu Ben Ali, l’ancien ministre des Sports laisse entendre que « ce que Ben Ali a fait en terme de violation des droits Humains et de népotisme, Abdoulaye Wade ne l’a pas fait au Sénégal ».