Son éviction de l’équipe nationale du Sénégal, El Hadji Diouf la garde quelque part, surtout depuis que la Fédération sénégalaise de football lui a infligé une suspension de cinq ans pour injures à l’institution et à ses dirigeants. Mais le "bad boy" du football sénégalais espère revenir et mettre tout le monde d’accord sur son apport à une équipe qui «n’avait pas de leader» à la CAN.
El Hadji Ousseynou Diouf, on l’aime ou on ne l’aime pas, mais le garçon a la réputation de ne pas avoir la langue dans la poche. Interpellé par nos confrères de l’Observateur après la cérémonie de prestation de serment de Macky Sall, à laquelle il était venu prendre part sur invitation, Dioufy, comme on l’appelle outre- manche, n’a pas manqué de mettre les pieds dans les plats d’Amara Traoré, de la Fédération sénégalaise de football (FSF) et des journalistes.
Selon l’ancien numéro 11 des Lions de la Téranga, «seuls les tocards ne savaient pas que cette équipe (NDLR : celle des Lions 2012) allait souffrir à la CAN». Une manière de dire que lui et tous les grands noms du football sénégalais comme Moussa Ndao, Jules Bocandé, avaient vu venir. Mais pour Diouf, «ils (NDLR : le staff des Lions) pensaient que la chance aller les suivre partout», du fait qu’ils étaient qualifiés. Or, la Can est un autre type de compétition où «il faut être compétitif, avoir du talent, avoir des joueurs qui comprennent vite le métier. Sinon ça se paie cash». Ce qui était loin d’être le cas du Sénégal qui de l’avis de Dioufy, «n’avait pas de leader».
Cette lecture faite, le pensionnaire de Doncaster, une équipe de deuxième division du championnat anglais pense que Bruno Metsu serait l’homme qu’il faut pour le Sénégal. El Hadji Diouf : «Je connais Bruno Metsu avec son mental de fer, son envie de gagner, sa hargne, il peut réussir partout. Il est capable de changer le visage de cette équipe. Bruno est l’homme de la situation. Il faut l’appeler en urgence».
Un appel du pied qui lui permet d’embrayer sur son avenir avec les Lions. L’ancien capitaine de la sélection pense qu’il a toujours son mot à dire et sa partition à jouer. Car, il demeure conscient d’une chose. S’il avait été de l’expédition de Bata, «le Sénégal aurait présenté un tout autre visage».
El Hadji Ousseynou Diouf, on l’aime ou on ne l’aime pas, mais le garçon a la réputation de ne pas avoir la langue dans la poche. Interpellé par nos confrères de l’Observateur après la cérémonie de prestation de serment de Macky Sall, à laquelle il était venu prendre part sur invitation, Dioufy, comme on l’appelle outre- manche, n’a pas manqué de mettre les pieds dans les plats d’Amara Traoré, de la Fédération sénégalaise de football (FSF) et des journalistes.
Selon l’ancien numéro 11 des Lions de la Téranga, «seuls les tocards ne savaient pas que cette équipe (NDLR : celle des Lions 2012) allait souffrir à la CAN». Une manière de dire que lui et tous les grands noms du football sénégalais comme Moussa Ndao, Jules Bocandé, avaient vu venir. Mais pour Diouf, «ils (NDLR : le staff des Lions) pensaient que la chance aller les suivre partout», du fait qu’ils étaient qualifiés. Or, la Can est un autre type de compétition où «il faut être compétitif, avoir du talent, avoir des joueurs qui comprennent vite le métier. Sinon ça se paie cash». Ce qui était loin d’être le cas du Sénégal qui de l’avis de Dioufy, «n’avait pas de leader».
Cette lecture faite, le pensionnaire de Doncaster, une équipe de deuxième division du championnat anglais pense que Bruno Metsu serait l’homme qu’il faut pour le Sénégal. El Hadji Diouf : «Je connais Bruno Metsu avec son mental de fer, son envie de gagner, sa hargne, il peut réussir partout. Il est capable de changer le visage de cette équipe. Bruno est l’homme de la situation. Il faut l’appeler en urgence».
Un appel du pied qui lui permet d’embrayer sur son avenir avec les Lions. L’ancien capitaine de la sélection pense qu’il a toujours son mot à dire et sa partition à jouer. Car, il demeure conscient d’une chose. S’il avait été de l’expédition de Bata, «le Sénégal aurait présenté un tout autre visage».