Report de l’élection présidentielle
Selon Amath Diouf, le Sénégal a connu onze élections en douze ans d’exercice du pouvoir. Il serait mieux, au regard de la situation tendue du pays d’ouvrir des discussions fécondes et larges afin de procéder au report consensuel de l’ultime combat du Président Sall.
D’abord sur le plan politique le camp de la majorité n’a pas encore trouvé le candidat idéal, apte à continuer le PSE et à fédérer le parti.
En Outre le candidat fantôme du Pastef a maille à partir avec la justice avec des chefs d’accusation à la fois délictuelle et criminelle . Je ne parle pas de la révision du procès de Karim Wade et de la Réhabilitation de khalifa sall. Nous devons également permettre aux députés élus démocratiquement de terminer leurs mandats et réviser la cartographie des électeurs de Touba qui ne savent plus à quel saint se vouer après l’interdiction d’élection dans la cité religieuse par le vénéré Khalif.
Ensuite sur le plan économique, Notre pays doit permettre au Président Macky Sall d’assurer solidement la transition politique , de stabiliser la destination de nos ressources naturelles ( pétrole et gaz) et de laisser le Sénégal entre de bonnes mains. Sa volonté de partir est trop prématurée dans le contexte actuel.
Enfin sur le plan géopolitique, l’Afrique , notre continent a encore besoin de lui dans les médiations si l’on sait que la famine et le terrorisme guettent nos frontières. S’il doit aller aux NATIONS UNIES- tant mieux- car Gutteres terminera son mandat en 2026. Fort de tous ces éléments, l’élection présidentielle doit être reportée de deux années au moins.
Dissolution du Parti Pastef
Les chefs d’accusation qui pèsent sur le leader de Pastef confirment à suffisance cet impératif obligatoire de dissoudre ce parti qui fait la promotion du terrorisme. Aucun Sénégalais ne doit accepter cette manière de faire de la politique.
Cheikh ANTA a toujours contredit Le Président Senghor mais intellectuellement. DIOUF ET WADE ont perpétué le legs dans la paix et dans la concorde avec des jeux de mots. Même les grands de la littérature française s’opposaient, mais avec des concepts.
Simone de Beauvoir s’est attaquée à jean Paul Sartre en lui signifiant clairement que “ l’enfer c’est pas les autres mais c’est soi-même “.
Voilà un Sonko qui a fait brûler plus de 200.000 dossiers au département des Lettres Modernes, insulter toutes les institutions, les religieux et inciter les jeunes à la débauche et au combat mortel avec ses discours incendiaires et irresponsables.
Qu’il réponde de ces actes et que son parti soit effacé de l’échiquier politique du Sénégal, notre grand pays.
Amath DIOUF
Conseiller technique à la Présidence
Coordonnateur national des JBR.
Selon Amath Diouf, le Sénégal a connu onze élections en douze ans d’exercice du pouvoir. Il serait mieux, au regard de la situation tendue du pays d’ouvrir des discussions fécondes et larges afin de procéder au report consensuel de l’ultime combat du Président Sall.
D’abord sur le plan politique le camp de la majorité n’a pas encore trouvé le candidat idéal, apte à continuer le PSE et à fédérer le parti.
En Outre le candidat fantôme du Pastef a maille à partir avec la justice avec des chefs d’accusation à la fois délictuelle et criminelle . Je ne parle pas de la révision du procès de Karim Wade et de la Réhabilitation de khalifa sall. Nous devons également permettre aux députés élus démocratiquement de terminer leurs mandats et réviser la cartographie des électeurs de Touba qui ne savent plus à quel saint se vouer après l’interdiction d’élection dans la cité religieuse par le vénéré Khalif.
Ensuite sur le plan économique, Notre pays doit permettre au Président Macky Sall d’assurer solidement la transition politique , de stabiliser la destination de nos ressources naturelles ( pétrole et gaz) et de laisser le Sénégal entre de bonnes mains. Sa volonté de partir est trop prématurée dans le contexte actuel.
Enfin sur le plan géopolitique, l’Afrique , notre continent a encore besoin de lui dans les médiations si l’on sait que la famine et le terrorisme guettent nos frontières. S’il doit aller aux NATIONS UNIES- tant mieux- car Gutteres terminera son mandat en 2026. Fort de tous ces éléments, l’élection présidentielle doit être reportée de deux années au moins.
Dissolution du Parti Pastef
Les chefs d’accusation qui pèsent sur le leader de Pastef confirment à suffisance cet impératif obligatoire de dissoudre ce parti qui fait la promotion du terrorisme. Aucun Sénégalais ne doit accepter cette manière de faire de la politique.
Cheikh ANTA a toujours contredit Le Président Senghor mais intellectuellement. DIOUF ET WADE ont perpétué le legs dans la paix et dans la concorde avec des jeux de mots. Même les grands de la littérature française s’opposaient, mais avec des concepts.
Simone de Beauvoir s’est attaquée à jean Paul Sartre en lui signifiant clairement que “ l’enfer c’est pas les autres mais c’est soi-même “.
Voilà un Sonko qui a fait brûler plus de 200.000 dossiers au département des Lettres Modernes, insulter toutes les institutions, les religieux et inciter les jeunes à la débauche et au combat mortel avec ses discours incendiaires et irresponsables.
Qu’il réponde de ces actes et que son parti soit effacé de l’échiquier politique du Sénégal, notre grand pays.
Amath DIOUF
Conseiller technique à la Présidence
Coordonnateur national des JBR.