Pas de files d’attente interminables, pas d’énervements ni de retards démesurés. La journée de vote s’est déroulée dans le calme à Luanda comme dans le reste du pays. Une sérénité qui contraste avec le chaos du dernier scrutin en 2008. Certains bureaux de vote n’avaient pas pu ouvrir avant 14h, obligeant la commission électorale à prolonger le vote d’une journée.
Cette année, l’Angola qui votait pour la deuxième fois seulement depuis la fin de la deuxième guerre civile en 2002, a réussi sont pari électoral.
Une avancée qui ne doit pas faire oublier les doutes sur la transparence du scrutin. L’Unita, le principal parti de l’opposition, a fait état de problèmes un peu partout sur le territoire : des électeurs ne trouvant pas leur nom sur la liste de leur bureau de vote, d’autres devant aller voter à plus de 40 km de leur domicile. Des irrégularités dénoncées depuis janvier par le parti.
En réponse, le président José Eduardo dos Santos s’est félicité du bon déroulement de la journée. Le président angolais, du MPLA (Mouvement populaire de libération de l’Angola), était notamment opposé à Isaias Samakuva, chef de file de l'Unita, l'ancienne rébellion devenue principal parti d'opposition. Reste maintenant à savoir si les Angolais se sont déplacés en masse.
Source:Rfi
Cette année, l’Angola qui votait pour la deuxième fois seulement depuis la fin de la deuxième guerre civile en 2002, a réussi sont pari électoral.
Une avancée qui ne doit pas faire oublier les doutes sur la transparence du scrutin. L’Unita, le principal parti de l’opposition, a fait état de problèmes un peu partout sur le territoire : des électeurs ne trouvant pas leur nom sur la liste de leur bureau de vote, d’autres devant aller voter à plus de 40 km de leur domicile. Des irrégularités dénoncées depuis janvier par le parti.
En réponse, le président José Eduardo dos Santos s’est félicité du bon déroulement de la journée. Le président angolais, du MPLA (Mouvement populaire de libération de l’Angola), était notamment opposé à Isaias Samakuva, chef de file de l'Unita, l'ancienne rébellion devenue principal parti d'opposition. Reste maintenant à savoir si les Angolais se sont déplacés en masse.
Source:Rfi