Les projections se précisent. Le parti conservateur de David Cameron a remporté au moins 326 sièges lors des élections législatives à la Chambre des Communes, ce qui lui assure la majorité absolue après l'annonce ce vendredi des résultats de 643 des 650 circonscriptions britanniques.
Conforté par un résultat aussi surprenant qu'inespéré, le leader des Tories a rencontré la reine Elizabeth II au palais de Buckingham en milieu de journée, pour recueillir son assentiment formel en vue de former le prochain gouvernement
Poursuite de sa politique
Le dirigeant conservateur va donc pouvoir effectuer, sans avoir recours à une coalition, un second mandat au cours duquel il compte poursuivre sa politique d'austérité pour rétablir l'équilibre des finances publiques du pays et organiser un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne (UE).
Avant même la fin du dépouillement, David Cameron, 48 ans, a promis «un futur meilleur pour tout le monde», accompagnant son propos d'une remarque acerbe sur les sondages unanimes depuis six mois à pronostiquer sa défaite. En 2010, David Cameron avait dû conclure une alliance avec les Libéraux-démocrates pour pouvoir entrer au 10, Downing Street, son parti n'ayant pas réussi à atteindre à ce moment-là la barre fatidique des 326 sièges
Conforté par un résultat aussi surprenant qu'inespéré, le leader des Tories a rencontré la reine Elizabeth II au palais de Buckingham en milieu de journée, pour recueillir son assentiment formel en vue de former le prochain gouvernement
Poursuite de sa politique
Le dirigeant conservateur va donc pouvoir effectuer, sans avoir recours à une coalition, un second mandat au cours duquel il compte poursuivre sa politique d'austérité pour rétablir l'équilibre des finances publiques du pays et organiser un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne (UE).
Avant même la fin du dépouillement, David Cameron, 48 ans, a promis «un futur meilleur pour tout le monde», accompagnant son propos d'une remarque acerbe sur les sondages unanimes depuis six mois à pronostiquer sa défaite. En 2010, David Cameron avait dû conclure une alliance avec les Libéraux-démocrates pour pouvoir entrer au 10, Downing Street, son parti n'ayant pas réussi à atteindre à ce moment-là la barre fatidique des 326 sièges