
Le comité directeur du parti démocratique sénégalais a demandé, à l’issue de sa rencontre de mercredi dernier, aux militants et responsables libéraux «à se mobiliser dès à présent pour une préparation active de ces échéances électorales déterminantes pour l’élection présidentielle de 2017», renseigne un communiqué.
Pour une bonne participation à ces joutes électorales, ladite instance libérale convoquera une session spéciale élargie aux «responsables des fédérations verticales et horizontales, dans les plus brefs délais».
Le comité directeur envisage avant le dépôt des listes prévu au mois de décembre 2013, de «mener une tournée nationale à l’intérieur du pays pour non seulement installer les comités électoraux mais ensuite informer les militants et sympathisants sur la situation nationale, marquée par la détention contestable et contestée de nombreux responsables du Parti»
.Dans la même veine, le parti de l’ex chef de l’Etat, Abdoulaye Wade réunira ses élus locaux «pour une meilleure appropriation de l’Acte III de la décentralisation, afin de dégager la position officielle du Parti sur ce sujet».
Par ailleurs, en ce qui concerne le débat engagé autour du financement des partis politiques, des déclarations de patrimoine et de lutte contre les conflits d’intérêts, le comité directeur a «décidé de réunir un comité d’experts pour déterminer clairement les positions du Parti ».
Les libéraux dans un tout autre registre, se disent «vivement préoccupés du manque de vision du chef de l’Etat, caractérisé par des errements et tâtonnements, qui risque de conduire tout droit le pays à une situation de blocage lourde de conséquences pour les populations». Pour le Pds, «ce dernier remaniement marqué par le départ du Premier ministre Abdoul Mbaye, déjà visé par une mention de censure depuis le mois de décembre 2012 déposée par le groupe des Libéraux et Démocrates, soutenue par des non-inscrits, ne règlera certainement pas les problèmes du pays». Si l’on en croit le comité directeur du Pds, «l’instabilité notée dans des secteurs clés tels que l’agriculture, la sécurité, l’économie et les finances, etc. ne permet à aucun observateur averti de garder espoir en ce qui concerne le devenir du pays ».
En outre, les le Pds dit «soutenir sans réserve la lutte des enseignants du Supérieur et celle des diplômés chômeurs pour une prise en charge de leurs revendications par le gouvernement».
Le Pds traumatisé par le mois de «mars»
Dans le communiqué du parti démocratique sénégalais (Pds) en date du 4 septembre 2013, on peut lire ce qui suit : «Le Comité Directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) s’est réuni le mercredi 13 mars 2013 à la Permanence nationale du Parti (Oumar Lamine BADJI), sous la présidence du frère Modou Diagne Fada, afin d’examiner l’ordre du jour suivant : (…)». Au lieu d’écrire…le pds «s’est réuni le mercredi 04 septembre 2013», le rédacteur de ce communiqué nous ramène sept mois en arrière, en écrivant le «Pds s’est réuni le mercredi 13 mars 2013».
Les libéraux sont-ils traumatisés par le mois de «mars» qui marque leur fin de règne. Ils n’oublieront jamais un certain 25 mars 2012, jour où Macky Sall a envoyé à la retraite politique Me Wade. Depuis lors, c’est la descente aux enfers pour certains responsables libéraux poursuivis dans le cadre de la traque des biens mal acquis.
Sud Quotidien
Pour une bonne participation à ces joutes électorales, ladite instance libérale convoquera une session spéciale élargie aux «responsables des fédérations verticales et horizontales, dans les plus brefs délais».
Le comité directeur envisage avant le dépôt des listes prévu au mois de décembre 2013, de «mener une tournée nationale à l’intérieur du pays pour non seulement installer les comités électoraux mais ensuite informer les militants et sympathisants sur la situation nationale, marquée par la détention contestable et contestée de nombreux responsables du Parti»
.Dans la même veine, le parti de l’ex chef de l’Etat, Abdoulaye Wade réunira ses élus locaux «pour une meilleure appropriation de l’Acte III de la décentralisation, afin de dégager la position officielle du Parti sur ce sujet».
Par ailleurs, en ce qui concerne le débat engagé autour du financement des partis politiques, des déclarations de patrimoine et de lutte contre les conflits d’intérêts, le comité directeur a «décidé de réunir un comité d’experts pour déterminer clairement les positions du Parti ».
Les libéraux dans un tout autre registre, se disent «vivement préoccupés du manque de vision du chef de l’Etat, caractérisé par des errements et tâtonnements, qui risque de conduire tout droit le pays à une situation de blocage lourde de conséquences pour les populations». Pour le Pds, «ce dernier remaniement marqué par le départ du Premier ministre Abdoul Mbaye, déjà visé par une mention de censure depuis le mois de décembre 2012 déposée par le groupe des Libéraux et Démocrates, soutenue par des non-inscrits, ne règlera certainement pas les problèmes du pays». Si l’on en croit le comité directeur du Pds, «l’instabilité notée dans des secteurs clés tels que l’agriculture, la sécurité, l’économie et les finances, etc. ne permet à aucun observateur averti de garder espoir en ce qui concerne le devenir du pays ».
En outre, les le Pds dit «soutenir sans réserve la lutte des enseignants du Supérieur et celle des diplômés chômeurs pour une prise en charge de leurs revendications par le gouvernement».
Le Pds traumatisé par le mois de «mars»
Dans le communiqué du parti démocratique sénégalais (Pds) en date du 4 septembre 2013, on peut lire ce qui suit : «Le Comité Directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) s’est réuni le mercredi 13 mars 2013 à la Permanence nationale du Parti (Oumar Lamine BADJI), sous la présidence du frère Modou Diagne Fada, afin d’examiner l’ordre du jour suivant : (…)». Au lieu d’écrire…le pds «s’est réuni le mercredi 04 septembre 2013», le rédacteur de ce communiqué nous ramène sept mois en arrière, en écrivant le «Pds s’est réuni le mercredi 13 mars 2013».
Les libéraux sont-ils traumatisés par le mois de «mars» qui marque leur fin de règne. Ils n’oublieront jamais un certain 25 mars 2012, jour où Macky Sall a envoyé à la retraite politique Me Wade. Depuis lors, c’est la descente aux enfers pour certains responsables libéraux poursuivis dans le cadre de la traque des biens mal acquis.
Sud Quotidien