Selon l’économie des faits tels que racontés par la victime, le 13 mars dernier, alors qu’elle fêtait son anniversaire, Ndèye Fatou Massaly l’a griffée sur le menton, suite à une vive altercation entre elles. Elle précise que le dimanche 10 mars, il y a eu une première bagarre avec sa colocataire, qui lui a infligé une blessure à l’œil. À l’en croire, celle-ci lui a reproché de l’avoir insultée.
À l’origine de leur mésentente, Marie-Louise Sambou explique : ‘’Je l'ai saluée, elle ne m'a pas répondu. Je suis allée la retrouver au salon pour lui en faire le reproche. Elle ne m’a pas répondu. J'ai informé mon mari qui l'a appelée. Elle lui a dit qu'on devait sortir, car elle ne voulait plus cohabiter avec nous’’. Elle précise qu’à cause de ses blessures, elle a subi une intervention chirurgicale.
Peu loquace, Ndèye Fatou Massaly a quand même servi sa version des faits. ‘’Le 10 mars, je l'ai trouvée dans la cuisine. Je ne l'ai pas saluée, car elle a l'habitude de me provoquer avec des mots blessants. Je ne l'ai pas blessée ; on s'est bagarré. J'ai fermé la cuisine à cause de ses insultes. J'ignore où je l'ai mordue’’, a-t-elle raconté, tout en jurant avoir ignoré l’état de grossesse de la partie civile au moment de leur bagarre.
À la suite de la plaignante Marie Louise Sambou, qui a réclamé la somme de 1 900 000 FCfa, le substitut du procureur de la République a requis deux ans, dont six mois d’emprisonnement ferme..
Dans sa plaidoirie, Me Abdy Nar Ndiaye, avocat de Ndèye Fatou Massaly, a évoqué la déficience mentale de sa cliente. ‘’Elle dit qu'elle était en France et, est malade depuis deux ans. C’est la raison pour laquelle, elle s'enferme pour prier sans s'adresser à ses voisins’’, a relevé Me Ndiaye.
Le tribunal est passé outre sa requête, en reconnaissant Ndèye Fatou Massaly, coupable de coups et blessures volontaires simplement. Ce, après avoir disqualifié les faits. Elle a écopé d’une peine d’emprisonnement de deux ans, dont trois mois ferme. Elle est contrainte d’allouer 1 900 000 FCfa à la partie civile, en guise de dommages et intérêts.
À l’origine de leur mésentente, Marie-Louise Sambou explique : ‘’Je l'ai saluée, elle ne m'a pas répondu. Je suis allée la retrouver au salon pour lui en faire le reproche. Elle ne m’a pas répondu. J'ai informé mon mari qui l'a appelée. Elle lui a dit qu'on devait sortir, car elle ne voulait plus cohabiter avec nous’’. Elle précise qu’à cause de ses blessures, elle a subi une intervention chirurgicale.
Peu loquace, Ndèye Fatou Massaly a quand même servi sa version des faits. ‘’Le 10 mars, je l'ai trouvée dans la cuisine. Je ne l'ai pas saluée, car elle a l'habitude de me provoquer avec des mots blessants. Je ne l'ai pas blessée ; on s'est bagarré. J'ai fermé la cuisine à cause de ses insultes. J'ignore où je l'ai mordue’’, a-t-elle raconté, tout en jurant avoir ignoré l’état de grossesse de la partie civile au moment de leur bagarre.
À la suite de la plaignante Marie Louise Sambou, qui a réclamé la somme de 1 900 000 FCfa, le substitut du procureur de la République a requis deux ans, dont six mois d’emprisonnement ferme..
Dans sa plaidoirie, Me Abdy Nar Ndiaye, avocat de Ndèye Fatou Massaly, a évoqué la déficience mentale de sa cliente. ‘’Elle dit qu'elle était en France et, est malade depuis deux ans. C’est la raison pour laquelle, elle s'enferme pour prier sans s'adresser à ses voisins’’, a relevé Me Ndiaye.
Le tribunal est passé outre sa requête, en reconnaissant Ndèye Fatou Massaly, coupable de coups et blessures volontaires simplement. Ce, après avoir disqualifié les faits. Elle a écopé d’une peine d’emprisonnement de deux ans, dont trois mois ferme. Elle est contrainte d’allouer 1 900 000 FCfa à la partie civile, en guise de dommages et intérêts.