Janelle Tam, lycéenne de Waterloo, en Ontario, a reçu le premier prix, accompagné d'un chèque de 5.000 dollars, de l'édition 2012 du Sanofi BioGENEius Challenge, dont le jury est composé de chercheurs éminents venant du Conseil national de recherches Canada.
La substance qu'elle a créée pourrait être utilisée un jour pour améliorer la santé et freiner le vieillissement, car elle neutralise nombre de radicaux libres nuisibles trouvés dans le corps humain. La particule appelée NCC (nano-cellulose cristalline) est présente dans les arbres.
Janelle Tam, arrivée au Canada de Singapour il y a cinq ans, a été la première à montrer que la particule NCC est un antioxydant puissant, potentiellement supérieur aux vitamines C ou E, car elle est plus stable et son action dure plus longtemps. Elle a réussi à la "coupler" chimiquement avec des nano-particules de carbone, les buckminsterfullerènes ressemblant par leur forme au ballon de football, ce qui leur vaut le surnom de footballène.
Le "couple" agit "comme un aspirateur", neutralisant les radicaux libres. La NCC, dont la grandeur se mesure en millièmes de cheveu humain, est non-toxique, stable, soluble dans l'eau et renouvelable, puisqu'elle vient des arbres, a indiqué la jeune chercheuse. Ses utilisations potentielles sont virtuellement illimitées car elle est plus forte que l'acier mais souple, durable et ultra-légère. Un institut national de recherche sur les forêts, FPInnovations, prédit que son marché pourra valoir jusqu'à 250 millions de dollars dans la décennie à venir.
La première usine de démonstration de NCC a ouvert ses portes en janvier dernier sur le site de l'usine de pâtes et papiers de Domtar, à Windsor au Québec.
SOURCE:7sur7.be
La substance qu'elle a créée pourrait être utilisée un jour pour améliorer la santé et freiner le vieillissement, car elle neutralise nombre de radicaux libres nuisibles trouvés dans le corps humain. La particule appelée NCC (nano-cellulose cristalline) est présente dans les arbres.
Janelle Tam, arrivée au Canada de Singapour il y a cinq ans, a été la première à montrer que la particule NCC est un antioxydant puissant, potentiellement supérieur aux vitamines C ou E, car elle est plus stable et son action dure plus longtemps. Elle a réussi à la "coupler" chimiquement avec des nano-particules de carbone, les buckminsterfullerènes ressemblant par leur forme au ballon de football, ce qui leur vaut le surnom de footballène.
Le "couple" agit "comme un aspirateur", neutralisant les radicaux libres. La NCC, dont la grandeur se mesure en millièmes de cheveu humain, est non-toxique, stable, soluble dans l'eau et renouvelable, puisqu'elle vient des arbres, a indiqué la jeune chercheuse. Ses utilisations potentielles sont virtuellement illimitées car elle est plus forte que l'acier mais souple, durable et ultra-légère. Un institut national de recherche sur les forêts, FPInnovations, prédit que son marché pourra valoir jusqu'à 250 millions de dollars dans la décennie à venir.
La première usine de démonstration de NCC a ouvert ses portes en janvier dernier sur le site de l'usine de pâtes et papiers de Domtar, à Windsor au Québec.
SOURCE:7sur7.be