La jeune femme, interrogée par le Huffington Post américain, a expliqué que les conditions de travail à Taïwan étaient très différentes que celles que connaissent les Américains: pas de pause-déjeuner et son boss modifiait constamment ses horaires et ses responsabilités.
"J'ai conscience que la démarche est risquée, mais je n'ai jamais nommé l'entreprise ou mon patron. Et sérieusement, vous m'avez vue danser? Comment quelqu'un peut-il prendre cela sérieusement?", dit-elle. Sa volonté est aujourd'hui de rentrer au plus vite au pays. Ensuite, elle espère retrouver un travail dans une entreprise qui met en valeur la créativité de ses employés.
La vidéo, postée samedi, est en train de faire le tour de la Toile - près de 200.000 vues à l'heure d'écrire ces lignes.
"J'ai conscience que la démarche est risquée, mais je n'ai jamais nommé l'entreprise ou mon patron. Et sérieusement, vous m'avez vue danser? Comment quelqu'un peut-il prendre cela sérieusement?", dit-elle. Sa volonté est aujourd'hui de rentrer au plus vite au pays. Ensuite, elle espère retrouver un travail dans une entreprise qui met en valeur la créativité de ses employés.
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