Mon cœur lourd et en peine comme ce soleil de saison pluvieuse me pesait à mon réveil. Cette nuit passée a été l’une des plus longues de ma vie. Le jour avait tardé toute une éternité à mes yeux qui avaient pris du volume à force de pleurer. Le soleil dehors a vite été rattrapé par les gros nuages noirs qui l’ont dévoré. Il sembla que la nuit s’était de nouveau installée. Le ciel s’était obscurci et un vent glacial a commencé à souffler.
J’ai vite pris un bain et, toute nue, je me suis mise devant le grand miroir de ma chambre. J’étais belle, j’avais toujours le même visage angélique qui avait fait chaviré le cœur de Jean-Philippe. Ma forme était la même, à un détail près cependant : mon bassin et mon ventre avaient pris du volume. Même un non observateur s’en rendrait vite compte, je suis enceinte, de quatre mois. Voici la cause de mon désarroi, de mes pleurs e de mes insomnies.
J’ai connu Jean-Philippe au lycée Moderne de Treichville. C’était un garçon sobre et réservé, tellement différent des autres qu’il se racontait beaucoup de chose à son sujet. Il était toujours bien habillé et propre. On disait qu’il était le fils unique d’un haut cadre plein aux as. Moi j’avais une conception différente de lui. Je me disais que s’il était issu ‘une famille aussi riche, il ne serait surement pas avec nous dans le même lycée publique que nous. Toutes les filles du lycée se disputaient ses bonnes grâces, mais il semblait indifférent. Il passait ses temps libre avec un livre qu’il lisait constamment. Je le voyais souvent souriant au livre mystérieux avec une couverture toute rouge. Je me demandais ce qu’il pouvait y avoir de si merveilleux dans ce livre.
Un matin, après mon cours d’EPS, pendant que je me rendais à l’arrêt du bus, j’ai senti une main se poser sur mon dos. J’ai sursauté instinctivement et, m’étant retournée, j’ai aperçu un large sourire, c’était Jean-Philippe.
-Excuse moi si je t’ai fait peur.
-Non, c’était juste un reflexe normal.
-Tu as un visage d’ange, m’annonça t-il simplement comme s’il me parlait d’un livre qu’il avait lu.
A cet instant précis, je ne su quoi dire. Il continua sur sa lancée :
-Moi c’est Jean-Philippe.
Au moment je m’apprêtais à lui dire mon prénoms en retour, il se saisit de ma main et débita : « toi, c’est Ange Prunelle K. ». Je n’en revenais pas. Face à mon air incrédule, il me sourit et posa son index sur le bout de mon nez : « tu me plais bien mon petit ange et si tu le veux, je voudrais que tu sois mon ange gardien le restant de mes jours. » Il fit descendre doucement son doigt sur mes lèvres : « chut, ne dit rien. Ecoute ton cœur c’est là que se trouve la réponse. » Il porta ensuite ma main sur ma poitrine où mon cœur battait à tout rompre.
C’est ainsi qu’on s’est connu Jean-Philippe et moi. Notre rencontre ressemble à ne point s’y méprendre à une histoire sortie tout droit d’un roman ou d’un film. Jean-Philippe m’avoua plus tard qu’il avait mis du temps à répéter seul cette scène, calculant les moindres détails et imaginant mes éventuelles réactions auxquelles il avait prévu une contre-attaque pour chaque situation. Nous sommes devenus dès ce jour, des amoureux inséparables. Au lycée, toutes les autres filles m’enviaient en me jalousant. Il me présenta à sa famille qui m’adopta aussitôt. Sa mère m’aimait beaucoup. Contrairement à ce qu’on pensait de lui à l’école, Philippe était issu d’une famille modeste.
Deux mois après notre rencontre, soit un 14 février, le jour de la saint Valentin, il m’invita à la plage de Grand Bassam. Après nous être amusés sur le sable fin, une surprise m’attendait dans une chambre qu’il avait réservée dans un luxueux hôtel en bordure de mer. Des bougies étaient allumées partout dans la chambre et une bonne odeur de grillade aiguisait mon appétit. La lumière vacillante des bougies faisait danser les ombres sur les murs blancs et nos deux silhouettes, débout au milieu de la chambre, valsaient à leur tour sur la façade des murs.
-Dîner à la chandelle pour mon ange, annonça t-il heureux.
Nous avons bien mangé et bu un excellent vin, le tout au son d’une douce musique qui s’élevait dans la chambre. Je croyais rêver tellement tout était féerique. J’étais vêtue d’un léger tee-shirt et d’un pantalon en toile qui moulait parfaitement mon corps.
Après le copieux repas, Jean-Philippe m’invita à danser. Il me passa la main autour de la hanche et me serra fermement à la taille. Doucement, il m’attira à lui. Depuis que nous étions ensemble, il ne m’avait jamais embrassée. Nous n’étions pas allés plus loin que nous tenir les mains et nous raconter nos rêves pour le futur. Lorsque mes seins ont effleuré sa poitrine au travers de mon tee-shirt, j’ai tressailli. J’étais vierge et il le savait. Une fois blottie contre sa poitrine, nos ombres semblaient unique sur le mur. J’ai alors fermé les yeux. De sa main, il a relevé mon menton, faisant basculer ma tête vers l’arrière. Mes lèvres étaient ainsi offertes à la merci de ses lèvres. Il les a posées sur les miennes et lentement, sa langue s’est frayée un passage dans ma bouche. Je tressaillais de plus en plus. Il m’a embrassée tendrement en me caressant le bas du dos. Je fondais de plaisir. M’ayant soulevée de terre, Jean-Philippe m’a prise dans ses bras vigoureux et m’a conduite jusqu’au lit, le tout dans des gestes doux et calculés. Il m’a déposée délicatement sur le lit, s’es t mis à genoux et s’est penché sur moi. J’avais toujours les yeux fermés. J’ai senti sa main me caresser l cou puis descendre sur ma poitrine.
M’étant légèrement redressée, je me suis débarrassée de mon tee-shirt livrant à ses yeux mes seins dressés. Il a refermé la bouche sur le globe gauche et sa langue s’est mise a roulé sensuellement autour du téton durci par le plaisir. Cela déclenchait en moi de violentes secousses électriques qui se répercutaient dans tout mon être jusqu’au bout de mes doigts. Ses lèvres se sont ensuite promenées sur tout mon corps. Mon plaisir était à son comble, je hurlais, râlais, gémissais, criait, tantôt fort, tantôt doucement.
Il a défait la fermeture de mon pantalon puis l’a retiré avec du tact. Désormais, j’étais parfaitement nue, couchée au milieu du lit. Il a écarté mes jambes qui tremblotaient me les a fait replier, puis il a enfoui son visage entre mes cuisses. Sa langue s’est introduite dans la fente de mon sexe humidifiée. J’ai aussitôt déposé mes deux mains sur sa tête. Sa langue roulait merveilleusement bien, de l’ouverture de ma fente à mon clitoris, gonflé. Je criais de plus en plus fort. S’étant mis nu, il a tenté le passage dans ma fente. J’avais tellement mouillé qu’il n’eu aucun mal à me pénétrer. J’ai ressenti une légère douleur puis le plaisir a repris le dessus. Il allait et venait en moi avec plein de douceur, accélérant au fur et à mesure le rythme. Je hurlais, plantant mes ongles dans le bas de son dos. Il s’est brusquement raidi et son visage s’est figé. Haletant bruyamment, il a déversé son jus d’amour en moi en gémissant.
Cette première nuit d’amour avec Jean-Philippe est resté gravée dans ma mémoire comme le meilleur souvenir que je me remémorais chaque moment avec délice.
A Suivre
J’ai vite pris un bain et, toute nue, je me suis mise devant le grand miroir de ma chambre. J’étais belle, j’avais toujours le même visage angélique qui avait fait chaviré le cœur de Jean-Philippe. Ma forme était la même, à un détail près cependant : mon bassin et mon ventre avaient pris du volume. Même un non observateur s’en rendrait vite compte, je suis enceinte, de quatre mois. Voici la cause de mon désarroi, de mes pleurs e de mes insomnies.
J’ai connu Jean-Philippe au lycée Moderne de Treichville. C’était un garçon sobre et réservé, tellement différent des autres qu’il se racontait beaucoup de chose à son sujet. Il était toujours bien habillé et propre. On disait qu’il était le fils unique d’un haut cadre plein aux as. Moi j’avais une conception différente de lui. Je me disais que s’il était issu ‘une famille aussi riche, il ne serait surement pas avec nous dans le même lycée publique que nous. Toutes les filles du lycée se disputaient ses bonnes grâces, mais il semblait indifférent. Il passait ses temps libre avec un livre qu’il lisait constamment. Je le voyais souvent souriant au livre mystérieux avec une couverture toute rouge. Je me demandais ce qu’il pouvait y avoir de si merveilleux dans ce livre.
Un matin, après mon cours d’EPS, pendant que je me rendais à l’arrêt du bus, j’ai senti une main se poser sur mon dos. J’ai sursauté instinctivement et, m’étant retournée, j’ai aperçu un large sourire, c’était Jean-Philippe.
-Excuse moi si je t’ai fait peur.
-Non, c’était juste un reflexe normal.
-Tu as un visage d’ange, m’annonça t-il simplement comme s’il me parlait d’un livre qu’il avait lu.
A cet instant précis, je ne su quoi dire. Il continua sur sa lancée :
-Moi c’est Jean-Philippe.
Au moment je m’apprêtais à lui dire mon prénoms en retour, il se saisit de ma main et débita : « toi, c’est Ange Prunelle K. ». Je n’en revenais pas. Face à mon air incrédule, il me sourit et posa son index sur le bout de mon nez : « tu me plais bien mon petit ange et si tu le veux, je voudrais que tu sois mon ange gardien le restant de mes jours. » Il fit descendre doucement son doigt sur mes lèvres : « chut, ne dit rien. Ecoute ton cœur c’est là que se trouve la réponse. » Il porta ensuite ma main sur ma poitrine où mon cœur battait à tout rompre.
C’est ainsi qu’on s’est connu Jean-Philippe et moi. Notre rencontre ressemble à ne point s’y méprendre à une histoire sortie tout droit d’un roman ou d’un film. Jean-Philippe m’avoua plus tard qu’il avait mis du temps à répéter seul cette scène, calculant les moindres détails et imaginant mes éventuelles réactions auxquelles il avait prévu une contre-attaque pour chaque situation. Nous sommes devenus dès ce jour, des amoureux inséparables. Au lycée, toutes les autres filles m’enviaient en me jalousant. Il me présenta à sa famille qui m’adopta aussitôt. Sa mère m’aimait beaucoup. Contrairement à ce qu’on pensait de lui à l’école, Philippe était issu d’une famille modeste.
Deux mois après notre rencontre, soit un 14 février, le jour de la saint Valentin, il m’invita à la plage de Grand Bassam. Après nous être amusés sur le sable fin, une surprise m’attendait dans une chambre qu’il avait réservée dans un luxueux hôtel en bordure de mer. Des bougies étaient allumées partout dans la chambre et une bonne odeur de grillade aiguisait mon appétit. La lumière vacillante des bougies faisait danser les ombres sur les murs blancs et nos deux silhouettes, débout au milieu de la chambre, valsaient à leur tour sur la façade des murs.
-Dîner à la chandelle pour mon ange, annonça t-il heureux.
Nous avons bien mangé et bu un excellent vin, le tout au son d’une douce musique qui s’élevait dans la chambre. Je croyais rêver tellement tout était féerique. J’étais vêtue d’un léger tee-shirt et d’un pantalon en toile qui moulait parfaitement mon corps.
Après le copieux repas, Jean-Philippe m’invita à danser. Il me passa la main autour de la hanche et me serra fermement à la taille. Doucement, il m’attira à lui. Depuis que nous étions ensemble, il ne m’avait jamais embrassée. Nous n’étions pas allés plus loin que nous tenir les mains et nous raconter nos rêves pour le futur. Lorsque mes seins ont effleuré sa poitrine au travers de mon tee-shirt, j’ai tressailli. J’étais vierge et il le savait. Une fois blottie contre sa poitrine, nos ombres semblaient unique sur le mur. J’ai alors fermé les yeux. De sa main, il a relevé mon menton, faisant basculer ma tête vers l’arrière. Mes lèvres étaient ainsi offertes à la merci de ses lèvres. Il les a posées sur les miennes et lentement, sa langue s’est frayée un passage dans ma bouche. Je tressaillais de plus en plus. Il m’a embrassée tendrement en me caressant le bas du dos. Je fondais de plaisir. M’ayant soulevée de terre, Jean-Philippe m’a prise dans ses bras vigoureux et m’a conduite jusqu’au lit, le tout dans des gestes doux et calculés. Il m’a déposée délicatement sur le lit, s’es t mis à genoux et s’est penché sur moi. J’avais toujours les yeux fermés. J’ai senti sa main me caresser l cou puis descendre sur ma poitrine.
M’étant légèrement redressée, je me suis débarrassée de mon tee-shirt livrant à ses yeux mes seins dressés. Il a refermé la bouche sur le globe gauche et sa langue s’est mise a roulé sensuellement autour du téton durci par le plaisir. Cela déclenchait en moi de violentes secousses électriques qui se répercutaient dans tout mon être jusqu’au bout de mes doigts. Ses lèvres se sont ensuite promenées sur tout mon corps. Mon plaisir était à son comble, je hurlais, râlais, gémissais, criait, tantôt fort, tantôt doucement.
Il a défait la fermeture de mon pantalon puis l’a retiré avec du tact. Désormais, j’étais parfaitement nue, couchée au milieu du lit. Il a écarté mes jambes qui tremblotaient me les a fait replier, puis il a enfoui son visage entre mes cuisses. Sa langue s’est introduite dans la fente de mon sexe humidifiée. J’ai aussitôt déposé mes deux mains sur sa tête. Sa langue roulait merveilleusement bien, de l’ouverture de ma fente à mon clitoris, gonflé. Je criais de plus en plus fort. S’étant mis nu, il a tenté le passage dans ma fente. J’avais tellement mouillé qu’il n’eu aucun mal à me pénétrer. J’ai ressenti une légère douleur puis le plaisir a repris le dessus. Il allait et venait en moi avec plein de douceur, accélérant au fur et à mesure le rythme. Je hurlais, plantant mes ongles dans le bas de son dos. Il s’est brusquement raidi et son visage s’est figé. Haletant bruyamment, il a déversé son jus d’amour en moi en gémissant.
Cette première nuit d’amour avec Jean-Philippe est resté gravée dans ma mémoire comme le meilleur souvenir que je me remémorais chaque moment avec délice.
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