C’est en tout cas ce que révèlent les manifestations enregistrées dans quelques coins de la capitale la nuit du 26 janvier. Mais là où a vraiment explosé, c’est à Ouakam où les manifestations ont atteint des proportions inattendues.
En effet, après avoir brûlé des pneus à hauteur du restaurant le Régal, et barré la route, les jeunes de Ouakam se sont dirigés vers l’Agence dont les vitres ont été endommagées, les ordinateurs emportés, les dossiers balancés à même le sol.
N’eut été l’intervention musclés des gendarmes, les coffres-forts de l’agence seraient défoncés. C’est dire qu’ils ont tout cassé sur leur chemin. Ils promettent de remettre ça et cette fois-ci, c’est au monument de la renaissance africaine de faire les frais de leur courroux.
En effet, après avoir brûlé des pneus à hauteur du restaurant le Régal, et barré la route, les jeunes de Ouakam se sont dirigés vers l’Agence dont les vitres ont été endommagées, les ordinateurs emportés, les dossiers balancés à même le sol.
N’eut été l’intervention musclés des gendarmes, les coffres-forts de l’agence seraient défoncés. C’est dire qu’ils ont tout cassé sur leur chemin. Ils promettent de remettre ça et cette fois-ci, c’est au monument de la renaissance africaine de faire les frais de leur courroux.