Malgré les conditions de voyage, ils sont rentrés sans égratignure même s’ils ont été sermonnés par le Dgase. Car ils ont frôlé la mort après avoir rejoint le Maroc au moyen de pirogues de fortune.
« Ailleurs, c’est la police qui vous aurait accueillis avant de vous présenter à un procureur. L’Etat du Sénégal a mis en place un certain nombre d’instruments et de mécanismes pour accompagner les initiatives de ses citoyens. Il faut simplement aller vers l’information, et surtout croire qu’on peut réussir sans avoir besoin de défier l’Atlantique ou le Sahara », a dit Amadou François Gaye.
Après avoir secouru les migrants sénégalais, les autorités marocaines ont saisi, par note verbale, le ministère des Affaires étrangères du Sénégal le 25 décembre dernier, avant de proposer d’organiser leur rapatriement.
Ils sont retournés chez eux après avoir reçu chacun 40 mille FCfa des mains du Dgase.
Le Quotidien
« Ailleurs, c’est la police qui vous aurait accueillis avant de vous présenter à un procureur. L’Etat du Sénégal a mis en place un certain nombre d’instruments et de mécanismes pour accompagner les initiatives de ses citoyens. Il faut simplement aller vers l’information, et surtout croire qu’on peut réussir sans avoir besoin de défier l’Atlantique ou le Sahara », a dit Amadou François Gaye.
Après avoir secouru les migrants sénégalais, les autorités marocaines ont saisi, par note verbale, le ministère des Affaires étrangères du Sénégal le 25 décembre dernier, avant de proposer d’organiser leur rapatriement.
Ils sont retournés chez eux après avoir reçu chacun 40 mille FCfa des mains du Dgase.
Le Quotidien