“En tout cas, je ne le conseillerai à personne. Je pense même que l’Etat doit prendre des dispositions pour empêcher ce trafic. Actuellement, plus personne ne passe la frontière”, fulmine notre interlocuteur. Cette situation semble faire surtout l’affaire des “jalassa”, comme ils appellent les passeurs. Ces derniers, à en croire le migrant sénégalais, profitent de la traite pour se remplir les poches.
“J’en suis un parfait exemple. Ils nous ont amenés jusqu’à la frontière, avant de nous ramener au point de départ. Nous sommes ainsi obligés de débourser encore beaucoup d’argent pour revenir au niveau de la frontière, sans être sûrs de passer. La situation est extrêmement compliquée. Et je pense que l’Etat doit prendre des dispositions”, se plaint-il, rappelant qu’il avait quitté le Sénégal le 24 décembre dernier.?,
Pour lui, la frontière américaine devient de plus en plus infranchissable et les Sénégalais doivent le savoir, avant de payer leur argent pour vivre la même galère. Il interpelle les médias.
“Je pense que les médias doivent alerter sur la situation. Les gens doivent savoir que plus personne ne passe la frontière. Les Américains ont tout fermé. Et les Mexicains profitent de notre misère, pour booster leurs affaires. C’est devenu un véritable business pour eux.”
EnQuête
“J’en suis un parfait exemple. Ils nous ont amenés jusqu’à la frontière, avant de nous ramener au point de départ. Nous sommes ainsi obligés de débourser encore beaucoup d’argent pour revenir au niveau de la frontière, sans être sûrs de passer. La situation est extrêmement compliquée. Et je pense que l’Etat doit prendre des dispositions”, se plaint-il, rappelant qu’il avait quitté le Sénégal le 24 décembre dernier.?,
Pour lui, la frontière américaine devient de plus en plus infranchissable et les Sénégalais doivent le savoir, avant de payer leur argent pour vivre la même galère. Il interpelle les médias.
“Je pense que les médias doivent alerter sur la situation. Les gens doivent savoir que plus personne ne passe la frontière. Les Américains ont tout fermé. Et les Mexicains profitent de notre misère, pour booster leurs affaires. C’est devenu un véritable business pour eux.”
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