L'âge moyen pour avoir des enfants a nettement reculé en quarante ans, en France. Selon les chiffres de l'Insee de 2015, quelque 1.576 enfants étaient nés cette année-là, de père ayant dépassé l'âge de 60 ans.
Les Français font des enfants de plus en plus tard. De fait, l'âge des mères n'est pas le seul à reculer. Selon les chiffres de l'Insee, en 2015, 1.576 enfants sont nés avec un père qui avait dépassé l'âge de 60 ans. 32.164 enfants ont, quant à eux, un père âgé de 45-49 ans.
Ces chiffres restent une minorité par rapport aux 30-34 ans, tranche d'âge la plus représentée avec 259.024 naissances.
Des risques plus élevés pour l'enfant à naître
Sauf que, quand le père a plus de 40 ans voire 45 ans, certains risques médicaux augmentent. Selon une praticienne interrogée par "Le Parisien", les troubles sont d'ordre "physique et cognitif".
Du côté des maladies mentales, une étude parue le 26 février 2014 dans le Journal of the American Medical Association Psychiatry, dresse un tableau assez anxiogène. Dans les conclusions de ces travaux, il apparaît que la paternité tardive (après 45 ans) multiplie par 25 les risques de bipolarité, et par 13 la possibilité de troubles de l'attention.
Les Français font des enfants de plus en plus tard. De fait, l'âge des mères n'est pas le seul à reculer. Selon les chiffres de l'Insee, en 2015, 1.576 enfants sont nés avec un père qui avait dépassé l'âge de 60 ans. 32.164 enfants ont, quant à eux, un père âgé de 45-49 ans.
Ces chiffres restent une minorité par rapport aux 30-34 ans, tranche d'âge la plus représentée avec 259.024 naissances.
Des risques plus élevés pour l'enfant à naître
Sauf que, quand le père a plus de 40 ans voire 45 ans, certains risques médicaux augmentent. Selon une praticienne interrogée par "Le Parisien", les troubles sont d'ordre "physique et cognitif".
Du côté des maladies mentales, une étude parue le 26 février 2014 dans le Journal of the American Medical Association Psychiatry, dresse un tableau assez anxiogène. Dans les conclusions de ces travaux, il apparaît que la paternité tardive (après 45 ans) multiplie par 25 les risques de bipolarité, et par 13 la possibilité de troubles de l'attention.