Au-delà d’une mobilité réduite, à cause de son handicap, depuis plusieurs jours, il vomit tout ce qu’il mange et n’arrive plus à se nourrir normalement.
S’étant interrogé sur la destination de fonds alloués par l’Union européenne dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine, Boubacar Sèye, président de l’Organisation non gouvernementale Horizon sans frontières (Hsf), a été accusé de diffusion de fausses nouvelles.
Cueilli à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) de Diass après son retour de voyage à l’étranger (Lisbonne), il a passé pratiquement deux nuits en garde-à-vue chez les limiers, avant de se faire placer sous mandat de dépôt par le doyen des juges.
Ce qui a fait réagir plusieurs organisations de défense des droits de l’homme et de la société civile, de manière générale. Même des leaders politiques sont montés au créneau pour réclamer sa libération immédiate. Ce qui n’est pas encore le cas, puisqu’il est en détention à la Maison d’arrêt correctionnel du Cap Manuel.
Autrement dit, depuis près de dix jours, Boubacar Sèye vit le martyr. Gravement malade, il est soutenu, par des sources proches du dossier, que le président d’Horizon sans frontières (Hsf) vomit tout ce qu’il avale. Pis, il n’arrive plus à se nourrir normalement.
Totalement déprimé et "alourdi" par sa mobilité réduite (handicap au niveau de la jambe droite), Boubacar Sèye ne sait plus à quel saint se vouer. Ses nuits sont longues en plus d’être rongé par sa maladie. Des informations confirmées par Me Tidiane Dabo, conseiller de M. Sèye, qui soutient : «Effectivement, il est malade. Il vomit tout ce qu’il mange. C’est pourtant la vérité».
Plaidant pour au moins son évacuation au Pavillon spécial pour pouvoir y recevoir des soins idoines, la robe noire inscrit au Barreau de Strasbourg de faire savoir qu’il a eu à faire face «à ce genre d’affaires à la dix-septième (17) Chambre civile de Paris. Mais pas au plan pénal, puisqu’en France, l’on ne poursuit plus pénalement un citoyen pour diffusion de fausses nouvelles, puisque la loi a été modifiée».
Pour l’heure, nombre de citoyens font appel à un degré élevé d’humanisme de la part des autorités concernées, pour permettre à Boubacar Sèye de recouvrer la liberté.
Tribune
S’étant interrogé sur la destination de fonds alloués par l’Union européenne dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine, Boubacar Sèye, président de l’Organisation non gouvernementale Horizon sans frontières (Hsf), a été accusé de diffusion de fausses nouvelles.
Cueilli à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) de Diass après son retour de voyage à l’étranger (Lisbonne), il a passé pratiquement deux nuits en garde-à-vue chez les limiers, avant de se faire placer sous mandat de dépôt par le doyen des juges.
Ce qui a fait réagir plusieurs organisations de défense des droits de l’homme et de la société civile, de manière générale. Même des leaders politiques sont montés au créneau pour réclamer sa libération immédiate. Ce qui n’est pas encore le cas, puisqu’il est en détention à la Maison d’arrêt correctionnel du Cap Manuel.
Autrement dit, depuis près de dix jours, Boubacar Sèye vit le martyr. Gravement malade, il est soutenu, par des sources proches du dossier, que le président d’Horizon sans frontières (Hsf) vomit tout ce qu’il avale. Pis, il n’arrive plus à se nourrir normalement.
Totalement déprimé et "alourdi" par sa mobilité réduite (handicap au niveau de la jambe droite), Boubacar Sèye ne sait plus à quel saint se vouer. Ses nuits sont longues en plus d’être rongé par sa maladie. Des informations confirmées par Me Tidiane Dabo, conseiller de M. Sèye, qui soutient : «Effectivement, il est malade. Il vomit tout ce qu’il mange. C’est pourtant la vérité».
Plaidant pour au moins son évacuation au Pavillon spécial pour pouvoir y recevoir des soins idoines, la robe noire inscrit au Barreau de Strasbourg de faire savoir qu’il a eu à faire face «à ce genre d’affaires à la dix-septième (17) Chambre civile de Paris. Mais pas au plan pénal, puisqu’en France, l’on ne poursuit plus pénalement un citoyen pour diffusion de fausses nouvelles, puisque la loi a été modifiée».
Pour l’heure, nombre de citoyens font appel à un degré élevé d’humanisme de la part des autorités concernées, pour permettre à Boubacar Sèye de recouvrer la liberté.
Tribune