Le « mbaraan » est une pratique peu orthodoxe qui consiste à être avec plusieurs hommes à la fois dans le seul but de leur soutirer des biens matériels soit de l’argent. « J’assumerai que je collectionne des hommes car tout le monde le fait. A cause de leur manque de courage, certaines femmes n’osent pas l’avouer. Moi je n’y trouve rien d’anormal. Ce n’est qu’un style de vie parmi tant d’autres. Il faut assumer ses choix », nous dit Feuz comme pour s’amender, et poursuit : « Je suis loin d’être dans le besoin. Collectionner des hommes, ce n’est pas facile du tout. Il faut du tact et de la ruse pour le faire sans être suspectée par un quelconque prétendant. Tous les hommes sont jaloux et s’ils ont un moindre doute, tout peut aller de travers, c’est un terrible manque à gagner. Moi, je les rassure en faisant croire à chaque prétendant qu’il est le seul. Raison pour laquelle pour les rendez-vous avec eux, je planifie tout pour qu’il n’y ait pas d’embouteillage chez moi. Pour les uns, ils viennent chez moi et les autres, je préfère les rencontrer ailleurs, soit chez eux, soit dans des auberges loin des regards indiscrets », confie-t-elle.
Cultiver avec eux une certaine confiance semble être la clé de son succès car, concède-t-elle : « Un homme a besoin de se sentir maître, il faut jouer la carte de la soumission à fond la caisse. C’est comme cela que je fonctionne avec eux. Et s’ils croient qu’ils ont une mainmise sur toi, tu les as dans la poche et tes désirs seront des ordres ».
Est-ce suffisant pour tout avoir d’eux ? N’est-elle pas en train d’omettre d’autres pratiques pour que la générosité des hommes soit plus efficace ? « J’avoue que de temps à autre, je flirte avec quelques uns. Je n’ai pas besoin de le dire car c’est une évidence. On est des adultes, il faut agir de la sorte ». Une évidence ? Sachant que chaque femme a sa propre méthode « que les femmes le disent ou pas c’est une réalité. Il ne faut pas se voiler la face. On ne peut pas pratiquer le « mbaraan » pour tout recevoir sans rien donner en retour. Non, c’est impossible ! Qui est fou pour offrir autant d’argent et de cadeaux sans rien ? », nous dit la pro.
Ses propos ont le mérite d’être francs. Mais cette attitude, ne pouvons-nous ne pas l’appeler prostitution ? « Non. Ce n’est pas de la prostitution, car je n’ai pas de tarif, je ne marchande pas, je n’ai pas non plus de clients, ni de carnet de santé destiné aux prostituées. Après nos moments d’intimité, ils me mettent pas de l’argent à la table de chevée et se taillent. Donc il y a une différence. Aussi, je dois préciser que parmi mes prétendants, je ne couche pas avec tout le monde. Je ne suis pas obligée de le faire. Je suis juste mon feeling ». Feuz essaye de convaincre…
Rokhaya Nar Diop
Source : Dakar Life/galsentv.com
Cultiver avec eux une certaine confiance semble être la clé de son succès car, concède-t-elle : « Un homme a besoin de se sentir maître, il faut jouer la carte de la soumission à fond la caisse. C’est comme cela que je fonctionne avec eux. Et s’ils croient qu’ils ont une mainmise sur toi, tu les as dans la poche et tes désirs seront des ordres ».
Est-ce suffisant pour tout avoir d’eux ? N’est-elle pas en train d’omettre d’autres pratiques pour que la générosité des hommes soit plus efficace ? « J’avoue que de temps à autre, je flirte avec quelques uns. Je n’ai pas besoin de le dire car c’est une évidence. On est des adultes, il faut agir de la sorte ». Une évidence ? Sachant que chaque femme a sa propre méthode « que les femmes le disent ou pas c’est une réalité. Il ne faut pas se voiler la face. On ne peut pas pratiquer le « mbaraan » pour tout recevoir sans rien donner en retour. Non, c’est impossible ! Qui est fou pour offrir autant d’argent et de cadeaux sans rien ? », nous dit la pro.
Ses propos ont le mérite d’être francs. Mais cette attitude, ne pouvons-nous ne pas l’appeler prostitution ? « Non. Ce n’est pas de la prostitution, car je n’ai pas de tarif, je ne marchande pas, je n’ai pas non plus de clients, ni de carnet de santé destiné aux prostituées. Après nos moments d’intimité, ils me mettent pas de l’argent à la table de chevée et se taillent. Donc il y a une différence. Aussi, je dois préciser que parmi mes prétendants, je ne couche pas avec tout le monde. Je ne suis pas obligée de le faire. Je suis juste mon feeling ». Feuz essaye de convaincre…
Rokhaya Nar Diop
Source : Dakar Life/galsentv.com