Tahirou Sarr a fait une nouvelle tentative. Actuellement placé sous mandat de dépôt, dans le cadre de l'enquête sur l'affaire des 125 milliards de francs Cfa, l'homme d'affaires a proposé une caution s'élevant à 419 milliards de francs Cfa, pour obtenir sa libération. Il avait déjà soumis une proposition similaire, d'un montant de 408 milliards, au magistrat instructeur de son dossier, mais celle-ci avait été rejetée, entraînant son placement en détention préventive.
D’après "L’Observateur", repris par "Seneweb", Tahirou Sarr a adressé sa demande cette fois-ci à l’Agent judiciaire de l’État. Il lui a remis le fameux terrain situé à Mbane et valant 394 milliards FCfa, un chèque certifié de 11 milliards et deux immeubles évalués à 14 milliards, énumère le journal. Onze milliards de plus que sa proposition initiale, donc.
La même source a retracé l’histoire de la parcelle de Mbane : «Ce terrain appartenait à un ancien ministre du régime socialiste. Ce dernier l’avait hypothéqué pour garantir un prêt bancaire, mais faute de remboursement, la banque a fini par le saisir et le vendre aux enchères. C’est ainsi que Tahirou Sarr en est devenu propriétaire, par voie judiciaire».
«Pour renforcer la caution de son client, le conseil de Tahirou Sarr a versé dans le dossier de cautionnement, tous les rapports d’expertise attestant de l’évaluation des biens concernés», renseigne "L’Observateur". Qui s’empresse de signaler : «Mais, une partie de ces biens a déjà fait l’objet d’une saisie conservatoire de la part de l’État».
D’après "L’Observateur", repris par "Seneweb", Tahirou Sarr a adressé sa demande cette fois-ci à l’Agent judiciaire de l’État. Il lui a remis le fameux terrain situé à Mbane et valant 394 milliards FCfa, un chèque certifié de 11 milliards et deux immeubles évalués à 14 milliards, énumère le journal. Onze milliards de plus que sa proposition initiale, donc.
La même source a retracé l’histoire de la parcelle de Mbane : «Ce terrain appartenait à un ancien ministre du régime socialiste. Ce dernier l’avait hypothéqué pour garantir un prêt bancaire, mais faute de remboursement, la banque a fini par le saisir et le vendre aux enchères. C’est ainsi que Tahirou Sarr en est devenu propriétaire, par voie judiciaire».
«Pour renforcer la caution de son client, le conseil de Tahirou Sarr a versé dans le dossier de cautionnement, tous les rapports d’expertise attestant de l’évaluation des biens concernés», renseigne "L’Observateur". Qui s’empresse de signaler : «Mais, une partie de ces biens a déjà fait l’objet d’une saisie conservatoire de la part de l’État».
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