Et si la question se pose, c'est qu'aujourd'hui les sites semblent de moins en moins répondre aux besoins des internautes. Statiques, peu ou pas mis à jour, rarement adaptés aux formats mobiles, ils sont dans leur ensemble plutôt vieillissant. Et la plupart vieillissent mal.
Ils sont également de plus en plus isolés sur la toile tant leurs possibilités d’expansion se sont finalement avérées limitées. Par leur référencement tout d’abord. Si pendant longtemps il était possible d’espérer une place correcte et cohérente sur les différents annuaires et moteurs de recherche, c’est désormais pratiquement impossible à moins de mettre en place une stratégie de positionnement longue et couteuse. Les échanges de liens fastidieux et l’adaptation des contenus aux critères de référencement se sont avérés plus délicats que prévu.
Difficile également d’y faire converger beaucoup de trafic par l’envoi régulier de newsletters. La lutte contre le spam n’a pas réussi à faire disparaître les publicités pour les fameuses pilules bleues, mais elle est en tout cas venue à bout des petites campagnes de PME.
Les sites pros souffrent aujourd’hui de tous ces maux et si certains se distinguent en utilisant des plateformes plus dynamiques comme Wordpress, il semblerait bien qu’un profond fossé se creuse avec les nouveaux outils.
Parce que les réseaux sociaux bénéficient quant à eux d’un engouement grandissant et d’une visibilité sans égale, ils font aujourd’hui totalement partie du paysage et si les acteurs peuvent changer, les pratiques, elles, sont dans l’air du temps et ont de beaux jours devant elles.
Avec des utilisateurs toujours plus nombreux, des services innovants, résolument tournés vers la mobilité et de plus en plus adaptés au monde professionnel, les armes du social business sont d’une puissance redoutable. Alors, pourquoi ne pas imaginer alors que ces outils finissent par se substituer totalement aux "bons vieux" sites web ? Remplacer les pages d’un site par autant de services en ligne auquel les internautes peuvent s’abonner et connecter l’ensemble... C’est une idée qui fait son chemin tant les avantages sont nombreux.
Dans la pratique :
- Ils sont gratuits.
- Ils bénéficient des dernières technologies.
- Ils sont faciles d’utilisation.
- Ils permettent d’établir des liens privilégiés entre utilisateurs.
- Ils évoluent en permanence et proposent toujours plus de services...
Et surtout, surtout, les réseaux sociaux fonctionnent sous forme de communauté. Ressemblant tous les professionnels d’un même secteur d’activité. Toutes les informations qui y sont publiées sont automatiquement accessibles, ouvertes au plus grand nombre et partageables en quelques clics ce qui constitue un énorme avantage ! Sur ces formidables supports, chaque recrutement, nouveau projet, appel d’offres ou lancement de produit prend vie sans vous demander plus d’efforts alors qu’ils restent anonymes lorsqu’ils sont publiés sur les pages de la plupart des sites.
Alors, imaginer que les réseaux sociaux finissent par faire disparaître les sites "classiques" science-fiction ou réalité à court ou moyen terme ? L’avenir est en marche et cette possibilité paraît de plus en plus envisageable.
lesechos.fr
Ils sont également de plus en plus isolés sur la toile tant leurs possibilités d’expansion se sont finalement avérées limitées. Par leur référencement tout d’abord. Si pendant longtemps il était possible d’espérer une place correcte et cohérente sur les différents annuaires et moteurs de recherche, c’est désormais pratiquement impossible à moins de mettre en place une stratégie de positionnement longue et couteuse. Les échanges de liens fastidieux et l’adaptation des contenus aux critères de référencement se sont avérés plus délicats que prévu.
Difficile également d’y faire converger beaucoup de trafic par l’envoi régulier de newsletters. La lutte contre le spam n’a pas réussi à faire disparaître les publicités pour les fameuses pilules bleues, mais elle est en tout cas venue à bout des petites campagnes de PME.
Les sites pros souffrent aujourd’hui de tous ces maux et si certains se distinguent en utilisant des plateformes plus dynamiques comme Wordpress, il semblerait bien qu’un profond fossé se creuse avec les nouveaux outils.
Parce que les réseaux sociaux bénéficient quant à eux d’un engouement grandissant et d’une visibilité sans égale, ils font aujourd’hui totalement partie du paysage et si les acteurs peuvent changer, les pratiques, elles, sont dans l’air du temps et ont de beaux jours devant elles.
Avec des utilisateurs toujours plus nombreux, des services innovants, résolument tournés vers la mobilité et de plus en plus adaptés au monde professionnel, les armes du social business sont d’une puissance redoutable. Alors, pourquoi ne pas imaginer alors que ces outils finissent par se substituer totalement aux "bons vieux" sites web ? Remplacer les pages d’un site par autant de services en ligne auquel les internautes peuvent s’abonner et connecter l’ensemble... C’est une idée qui fait son chemin tant les avantages sont nombreux.
Dans la pratique :
- Ils sont gratuits.
- Ils bénéficient des dernières technologies.
- Ils sont faciles d’utilisation.
- Ils permettent d’établir des liens privilégiés entre utilisateurs.
- Ils évoluent en permanence et proposent toujours plus de services...
Et surtout, surtout, les réseaux sociaux fonctionnent sous forme de communauté. Ressemblant tous les professionnels d’un même secteur d’activité. Toutes les informations qui y sont publiées sont automatiquement accessibles, ouvertes au plus grand nombre et partageables en quelques clics ce qui constitue un énorme avantage ! Sur ces formidables supports, chaque recrutement, nouveau projet, appel d’offres ou lancement de produit prend vie sans vous demander plus d’efforts alors qu’ils restent anonymes lorsqu’ils sont publiés sur les pages de la plupart des sites.
Alors, imaginer que les réseaux sociaux finissent par faire disparaître les sites "classiques" science-fiction ou réalité à court ou moyen terme ? L’avenir est en marche et cette possibilité paraît de plus en plus envisageable.
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