Même si à l’entame, il souligne des problèmes alarmants de santé, et à coup sûr des répercussions économiques énormes des impacts du COVID-19, pour Lansana G Sakho, le Directeur Général de l’ l'Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS),les mesures apportées en réponse par l’Etat sont à saluer.
Car elles ont permis ralentir la progession de la maladie. Sur le taux de progression alarmant, il souligne que c’est aussi le nombre de tests qui est en hausse, ce qui explique aussi cette augmentation. C’est pourquoi, il tient à alerter que c’est surtout une affaire des populations pour un respect strict des mesures érigées, ensuite de l’Etat.
Quid du membre du corps médical infecté, de la suffisance des ressources humaines dans le domaine de la santé ?
Il rassure qu’une innovation issue de nos étudiants scientifiques érigeant une barrière entre malade et médecins a été saluée, mais un gros problème d’éducation demeure...
Bientôt une issue heureuse ?
Sans être un oiseau de mauvaise, Lansana sur ses gardes avoue qu’il ne voit pas cette pandémie disparaitre dans deux ou trois mois...
Le Sénégal zappé de l’annulation de la dette qu’en pense-t-il ?
La marche arrière de l’Etat sur les masques ?
Avec les conséquences de la pandémie, à quoi faut-il s’attendre ? Et sur le plan économique ? Quelles leçons l’Afrique doit-elle en tirer pour rebondir ?
Sous détour, ni complaisance sur les priorités Lansana G Sakho, le DG de l’ONAS s’est ouvert à Leral.net...
Car elles ont permis ralentir la progession de la maladie. Sur le taux de progression alarmant, il souligne que c’est aussi le nombre de tests qui est en hausse, ce qui explique aussi cette augmentation. C’est pourquoi, il tient à alerter que c’est surtout une affaire des populations pour un respect strict des mesures érigées, ensuite de l’Etat.
Quid du membre du corps médical infecté, de la suffisance des ressources humaines dans le domaine de la santé ?
Il rassure qu’une innovation issue de nos étudiants scientifiques érigeant une barrière entre malade et médecins a été saluée, mais un gros problème d’éducation demeure...
Bientôt une issue heureuse ?
Sans être un oiseau de mauvaise, Lansana sur ses gardes avoue qu’il ne voit pas cette pandémie disparaitre dans deux ou trois mois...
Le Sénégal zappé de l’annulation de la dette qu’en pense-t-il ?
La marche arrière de l’Etat sur les masques ?
Avec les conséquences de la pandémie, à quoi faut-il s’attendre ? Et sur le plan économique ? Quelles leçons l’Afrique doit-elle en tirer pour rebondir ?
Sous détour, ni complaisance sur les priorités Lansana G Sakho, le DG de l’ONAS s’est ouvert à Leral.net...