Pourquoi le nom Queen Biz ?
Queens Biz : Déjà, je m’appelle Coumba et au Sénégal, ils ont l’habitude d’appeler toutes les Coumba, « Coumbis ». Au début de ma carrière, on m’appellait « Coumbis ». Il y avait beaucoup de « Coumbis » dans le mouvement Hip Hop. Ils avaient tendance à me confondre avec d’autres, donc il fallait que je me fasse un nom original. Je crois que dans tout le Sénégal, je suis la seule à m’appeler Queen Biz. Et phonétiquement « Coumbis » et Queens Biz, ont une relation consonantique en phonétique. C’est le même entendement. Mais aussi, j’ai joué sur les mots, « Queen » qui signifie reine et « Biz » qui peut signifier Show-biz, business, ou le bisou que je fais à mes amis et mes parents, tous les gens que j’aime. Biz qui peut également signifier abeille en anglais. Cela reflète mes chansons qui piquent grave, qui dénoncent. Mais aussi qui dit abeille, dit aussi miel. Parfois, il y a des chansons mielleuses, très douces. Donc, Queen Biz, c’est tout un concept derrière le nom.
Est- ce que vous pouvez un peu revenir sur votre carrière musicale ?
Je suis la première personne à tenir le micro dans ma famille. Donc personne n’a chanté dans ma famille auparavant mais j’avoue que j’étais très proche de ma grand-mère maternelle. Elle avait une voix de rossignol, elle chantait très bien. Mais elle ne chantait pas dans les cérémonies. Quand, elle nous faisait des contes le soir, elle chantonnait. Elle n’est plus de ce monde mais elle m’a beaucoup inspirée. Mais aussi au début de ma carrière, il y avait le phénomène Hip Hop qui était en vogue, donc c’était juste la mouvance, la tendance parce que c’était vers les années 99, je me rappelle, j’étais toute petite. Il y avait les Daaradji, PBS, de grands groupes qui cartonnaient quand même, j’étais fan. Je reprenais tout le temps leurs chansons. Je me rappelle à l’école primaire, j’étais tout le temps à l’estrade en train d’animer durant la récréation. Ça m’a beaucoup poussée à faire de la musique. Je me rappelle aussi au collège, on avait un groupe avec des filles de ma classe. On se prenait pour les petites starlettes de l’école. On animait le foyer socio-éducatif. Malheureusement le groupe s’est cassé et j’étais seule. Une fois à l’université, j’ai rencontré un ami, Matico. On avait les mêmes hobbies. Moi, je faisais droit et lui sociologie mais on habitait le même quartier. On avait formé un groupe qui s’appelait les « Indien’s ». Ce groupe avait un succès éphémère. Et c’est là où j’ai pris mon destin en main et c’est là même que j’ai créé le nom « Queen Biz » pour faire une carrière en solo.
Qu’est ce qui vous a beaucoup marqué durant votre carrière ?
Beaucoup de choses m’ont marqué. Je viens de sortir mon album en 2012 mais avant ça, j’ai sorti deux singles. 2009, j’ai sorti « Walou », en 2012, j’ai sorti « Trahison ». Je remercie les Sénégalais qui ont très bien accueilli mes œuvres. Ils m’ont beaucoup aidée, beaucoup soutenue. « Trahison » aussi m’a réconfortée dans ma position. Franchement, il y a des fans qui m’appelaient en pleurant et en disant « Queen Biz c'est comme si tu as chanté mon histoire ». Donc, c’était bien et je les consolais en leur disant de ne jamais perdre espoir, de ne jamais baisser les bras, c’est ça la vie.
On va glisser dans votre vie privée. On a lu dans une certaine presse que vous avez été trahie par votre mari pour une autre fille.
Est-ce que vous pouvez nous dire ce qui s’est réellement passé ?
Là, je suis désolée, je ne veux même pas parler de ça. Je dirai que tout ça, c’est derrière moi. Peut-être que c’était mon destin, je devais passer par là. Je ne veux plus reparler de ça. C’était il y a 3 ans et je ne peux plus parler de ça. Ce n’est pas important, moi je vis ma vie et j’avance.
Est-ce que vous avez un homme dans la vie ?
Pour l’instant (Rires), non, c’est la musique.
Donc on peut dire que Queen Biz est un cœur à prendre ?
Mon cœur est déjà pris par la musique, le micro et tout ça.
Est-ce que vous recevez des avances de la part de célébrités ou autres hommes ?
(Rires) Les avances ne manquent pas, ce sont des choses normales. On en reçoit tous les jours mais bon, je n’ai plus droit à l’erreur. Donc je suis très attentive par rapport à ça.
Quel est l’homme idéal pour Queen Biz ?
Je veux un homme loyal, un homme pieux, sincère, tendre, doux.
Comment vivez-vous votre célibat ?
Je suis à l’aise dans mon célibat, je le vis bien sans aucune pression.
Vous vous occupez bien de vos enfants ?
Qui vous a dit que j’ai des enfants ? En tout cas, c’est vous qui le dites. (Rires). De toute façon, tout ce qui concerne mon mariage, je n’en parle pas.
Que pensez-vous de l’habillement sexy des jeunes filles ?
De toute façon, je ne suis pas bien placée pour parler de ça parce que moi, je mets des tenues sexy mais j’avoue que ce sont des tenues de scène, des tenues que je mets pour les vidéos clips. Quand je suis sur scène, je suis bien à l’aise avec une tenue sexy. Mais c’est juste une tenue de scène. Quand je suis chez moi, je suis parfois en Jeans, en short, en pagne, en culotte.
Vous vous habillez sexy pour attirer les hommes ?
De toute façon, je n’ai pas besoin de mettre des tenues sexy pour attirer des hommes parce je suis naturellement belle. Je suis à l’aise avec la tenue sexy, je suis bien dedans. Et je suis à l’aise quand je suis sur scène, rien ne me dérange, j’aime franchement les tenues sexy.
A quand le remariage ?
Seul Dieu sait. Ce n’est pas encore dans mes projets. Je suis accro à ma carrière.
A vous entendre parler, on dirait que vous n’êtes pas prête à refaire votre vie sur la plan sentimental ?
Ça dépend, comme c’est moi la « Queen », j’attends le « King ». Et le jour où je le verrai, je me marierai avec lui. Donc les « King » n’ont qu’à venir.
Pape DIA
Confidences Magazine et Leral
]b
Queens Biz : Déjà, je m’appelle Coumba et au Sénégal, ils ont l’habitude d’appeler toutes les Coumba, « Coumbis ». Au début de ma carrière, on m’appellait « Coumbis ». Il y avait beaucoup de « Coumbis » dans le mouvement Hip Hop. Ils avaient tendance à me confondre avec d’autres, donc il fallait que je me fasse un nom original. Je crois que dans tout le Sénégal, je suis la seule à m’appeler Queen Biz. Et phonétiquement « Coumbis » et Queens Biz, ont une relation consonantique en phonétique. C’est le même entendement. Mais aussi, j’ai joué sur les mots, « Queen » qui signifie reine et « Biz » qui peut signifier Show-biz, business, ou le bisou que je fais à mes amis et mes parents, tous les gens que j’aime. Biz qui peut également signifier abeille en anglais. Cela reflète mes chansons qui piquent grave, qui dénoncent. Mais aussi qui dit abeille, dit aussi miel. Parfois, il y a des chansons mielleuses, très douces. Donc, Queen Biz, c’est tout un concept derrière le nom.
Est- ce que vous pouvez un peu revenir sur votre carrière musicale ?
Je suis la première personne à tenir le micro dans ma famille. Donc personne n’a chanté dans ma famille auparavant mais j’avoue que j’étais très proche de ma grand-mère maternelle. Elle avait une voix de rossignol, elle chantait très bien. Mais elle ne chantait pas dans les cérémonies. Quand, elle nous faisait des contes le soir, elle chantonnait. Elle n’est plus de ce monde mais elle m’a beaucoup inspirée. Mais aussi au début de ma carrière, il y avait le phénomène Hip Hop qui était en vogue, donc c’était juste la mouvance, la tendance parce que c’était vers les années 99, je me rappelle, j’étais toute petite. Il y avait les Daaradji, PBS, de grands groupes qui cartonnaient quand même, j’étais fan. Je reprenais tout le temps leurs chansons. Je me rappelle à l’école primaire, j’étais tout le temps à l’estrade en train d’animer durant la récréation. Ça m’a beaucoup poussée à faire de la musique. Je me rappelle aussi au collège, on avait un groupe avec des filles de ma classe. On se prenait pour les petites starlettes de l’école. On animait le foyer socio-éducatif. Malheureusement le groupe s’est cassé et j’étais seule. Une fois à l’université, j’ai rencontré un ami, Matico. On avait les mêmes hobbies. Moi, je faisais droit et lui sociologie mais on habitait le même quartier. On avait formé un groupe qui s’appelait les « Indien’s ». Ce groupe avait un succès éphémère. Et c’est là où j’ai pris mon destin en main et c’est là même que j’ai créé le nom « Queen Biz » pour faire une carrière en solo.
Qu’est ce qui vous a beaucoup marqué durant votre carrière ?
Beaucoup de choses m’ont marqué. Je viens de sortir mon album en 2012 mais avant ça, j’ai sorti deux singles. 2009, j’ai sorti « Walou », en 2012, j’ai sorti « Trahison ». Je remercie les Sénégalais qui ont très bien accueilli mes œuvres. Ils m’ont beaucoup aidée, beaucoup soutenue. « Trahison » aussi m’a réconfortée dans ma position. Franchement, il y a des fans qui m’appelaient en pleurant et en disant « Queen Biz c'est comme si tu as chanté mon histoire ». Donc, c’était bien et je les consolais en leur disant de ne jamais perdre espoir, de ne jamais baisser les bras, c’est ça la vie.
On va glisser dans votre vie privée. On a lu dans une certaine presse que vous avez été trahie par votre mari pour une autre fille.
Est-ce que vous pouvez nous dire ce qui s’est réellement passé ?
Là, je suis désolée, je ne veux même pas parler de ça. Je dirai que tout ça, c’est derrière moi. Peut-être que c’était mon destin, je devais passer par là. Je ne veux plus reparler de ça. C’était il y a 3 ans et je ne peux plus parler de ça. Ce n’est pas important, moi je vis ma vie et j’avance.
Est-ce que vous avez un homme dans la vie ?
Pour l’instant (Rires), non, c’est la musique.
Donc on peut dire que Queen Biz est un cœur à prendre ?
Mon cœur est déjà pris par la musique, le micro et tout ça.
Est-ce que vous recevez des avances de la part de célébrités ou autres hommes ?
(Rires) Les avances ne manquent pas, ce sont des choses normales. On en reçoit tous les jours mais bon, je n’ai plus droit à l’erreur. Donc je suis très attentive par rapport à ça.
Quel est l’homme idéal pour Queen Biz ?
Je veux un homme loyal, un homme pieux, sincère, tendre, doux.
Comment vivez-vous votre célibat ?
Je suis à l’aise dans mon célibat, je le vis bien sans aucune pression.
Vous vous occupez bien de vos enfants ?
Qui vous a dit que j’ai des enfants ? En tout cas, c’est vous qui le dites. (Rires). De toute façon, tout ce qui concerne mon mariage, je n’en parle pas.
Que pensez-vous de l’habillement sexy des jeunes filles ?
De toute façon, je ne suis pas bien placée pour parler de ça parce que moi, je mets des tenues sexy mais j’avoue que ce sont des tenues de scène, des tenues que je mets pour les vidéos clips. Quand je suis sur scène, je suis bien à l’aise avec une tenue sexy. Mais c’est juste une tenue de scène. Quand je suis chez moi, je suis parfois en Jeans, en short, en pagne, en culotte.
Vous vous habillez sexy pour attirer les hommes ?
De toute façon, je n’ai pas besoin de mettre des tenues sexy pour attirer des hommes parce je suis naturellement belle. Je suis à l’aise avec la tenue sexy, je suis bien dedans. Et je suis à l’aise quand je suis sur scène, rien ne me dérange, j’aime franchement les tenues sexy.
A quand le remariage ?
Seul Dieu sait. Ce n’est pas encore dans mes projets. Je suis accro à ma carrière.
A vous entendre parler, on dirait que vous n’êtes pas prête à refaire votre vie sur la plan sentimental ?
Ça dépend, comme c’est moi la « Queen », j’attends le « King ». Et le jour où je le verrai, je me marierai avec lui. Donc les « King » n’ont qu’à venir.
Pape DIA
Confidences Magazine et Leral
]b