Ainsi, renseigne-t-il, «mes avocats m’ont déconseillé de ne pas communiquer là-dessus, avant la décision de la Cour suprême. C’est juste une autorité qui a pris la décision. Je ne suis pas d’accord, car on n’a pas respecté le droit, lors de la prise de cette décision».
Il explique en ces termes : «A la gendarmerie, avant une proposition de radiation, on fait un conseil d’enquête. C’est un genre de réunion où, à la fin, on prend une décision prise par cinq personnes, par vote. Et au cours de ce vote, la majorité, c'est-à-dire les cinq membres qui doivent voter, n’étaient pas d’accord sur la décision de radiation. Mais malgré cela, le président a pris la décision de me radier. Puisque je ne suis pas d’accord, je dois fournir des documents qui prouvent que le président n’a pas respecté certaines règles de droit. Et la cour doit examiner cela. Si j’ai raison, on annule la décision du président et je serai réintégré dans la gendarmerie.»
Mais l’ex-capitaine semble avoir des doutes, quant à sa réintégration au sein de la gendarmerie nationale. «Pour moi, c’est ce qui s’est passé ; c’est pour rétablir mes droits. Toutefois, un gendarme doit s’effacer ; il ne doit pas être connu du grand public, alors que maintenant, tout le monde me connaît. Quand tu redeviens gendarme, ça va être compliqué. C’est comme si tu fais de l’ombre à tes camarades, alors que c’est contraire à l’esprit de camaraderie. Un gendarme, on doit voir la tenue, pas la face de la personne. Ce qui fait que ça va être difficile (sa réintégration, Ndlr). Peut-être qu’on va me réintégrer dans mes droits... L’avenir nous le dira », conclut le capitaine Touré.
Il explique en ces termes : «A la gendarmerie, avant une proposition de radiation, on fait un conseil d’enquête. C’est un genre de réunion où, à la fin, on prend une décision prise par cinq personnes, par vote. Et au cours de ce vote, la majorité, c'est-à-dire les cinq membres qui doivent voter, n’étaient pas d’accord sur la décision de radiation. Mais malgré cela, le président a pris la décision de me radier. Puisque je ne suis pas d’accord, je dois fournir des documents qui prouvent que le président n’a pas respecté certaines règles de droit. Et la cour doit examiner cela. Si j’ai raison, on annule la décision du président et je serai réintégré dans la gendarmerie.»
Mais l’ex-capitaine semble avoir des doutes, quant à sa réintégration au sein de la gendarmerie nationale. «Pour moi, c’est ce qui s’est passé ; c’est pour rétablir mes droits. Toutefois, un gendarme doit s’effacer ; il ne doit pas être connu du grand public, alors que maintenant, tout le monde me connaît. Quand tu redeviens gendarme, ça va être compliqué. C’est comme si tu fais de l’ombre à tes camarades, alors que c’est contraire à l’esprit de camaraderie. Un gendarme, on doit voir la tenue, pas la face de la personne. Ce qui fait que ça va être difficile (sa réintégration, Ndlr). Peut-être qu’on va me réintégrer dans mes droits... L’avenir nous le dira », conclut le capitaine Touré.