C’est « Le Témoin » quotidien qui nous en fait la révélation, cette affaire qui risque d’éclabousser la famille judiciaire, fait l’objet d’un soit-transmis adressé à la Brigade de recherches de la gendarmerie sise à l'avenue Faidherbe à Dakar.
Il s’agit d’une affaire de vente d’une dizaine d'engins, de camions-plateaux, de grues mobiles, de chariots élévateurs et de camions-grues saisis sur une société de transit et de manutention. Après les opérations de saisie, tout le matériel a été confié au commissaire-priseur chargé de la vente aux enchères.
Selon le journal, à l’arrivée, le commissaire-priseur est accusé par les avocats de la société de transit ,d’avoir frauduleusement sous-évalué la valeur des biens pour ensuite les brader à… vil prix.
Vrai ou faux ?
Après avoir noté des irrégularités et autres malversations financières, les avocats du plaignant en colère, ont immédiatement déposé une plainte contre le commissaire-priseur auprès du procureur de la République.
L’enquête suit son cours à la gendarmerie, sous la supervision du Parquet.
Il s’agit d’une affaire de vente d’une dizaine d'engins, de camions-plateaux, de grues mobiles, de chariots élévateurs et de camions-grues saisis sur une société de transit et de manutention. Après les opérations de saisie, tout le matériel a été confié au commissaire-priseur chargé de la vente aux enchères.
Selon le journal, à l’arrivée, le commissaire-priseur est accusé par les avocats de la société de transit ,d’avoir frauduleusement sous-évalué la valeur des biens pour ensuite les brader à… vil prix.
Vrai ou faux ?
Après avoir noté des irrégularités et autres malversations financières, les avocats du plaignant en colère, ont immédiatement déposé une plainte contre le commissaire-priseur auprès du procureur de la République.
L’enquête suit son cours à la gendarmerie, sous la supervision du Parquet.