
K. Thiam, jeune dame de 24 ans, est poursuivie pour escroquerie. Elle a été arrêtée et déférée au parquet par la Division spéciale de cybersécurité (DSC), jeudi dernier. Elle est accusée d’avoir berné plus de 70 personnes. Un chiffre qui risque d’exploser, si l’on en croit "L’Observateur", repris par "Seneweb", signalant que depuis l’incarcération de la mise en cause, les plaintes contre elle s’empilent.
Le mode opératoire de K. Thiam est aussi simple qu’efficace. Le quotidien du Groupe futurs médias rapporte qu’elle s’est servie d’un compte Snapchat bien dénommé «Blendhairoff» pour lancer une tontine de «cheveux naturels». Afin de bien ferrer ses cibles, elle se présente sous les traits forcés d'une femme d’affaires à succès. Les followers affluent, mais il lui en faut davantage pour réaliser un coup de maître.
C’est ainsi qu’elle se tourne vers une célèbre influenceuse nommée N. Diop. Pour convaincre cette dernière, souffle "L’Observateur", K. Thiam apparaît en fille-mère qui tenterait de sortir de la mauvaise qu’elle traverserait, en vendant en ligne des «cheveux naturels» et des perruques. Puis, elle lance la fameuse tontine et supplie l’influenceuse de faire la pub de ses produits sur sa page. «Sensible à cette plaidoirie émouvante, N. Diop accepte sans réserve», rapporte le journal. C’était l’erreur à ne pas commettre.
Le carnet de commandes de K. Thiam explose. Les souscriptions à la tontine, aussi. Les transferts d’argent pour son compte s’enchaînent. "L’Observateur" révèle que chaque fois qu’elle encaisse un montant, la mise en cause s’empresse de bloquer le numéro de l’expéditrice. Le quotidien d’information renseigne que plus de 70 victimes, dont la plupart sont des followers de l’influenceuse, ont déjà été identifiées.
Cette dernière sera alertée lorsqu’elle a commencé à recevoir sur sa page, les complaintes de ses suiveurs, qui l’accusent d’être de mèche avec K. Thiam. Pour prouver sa bonne foi, elle retire la publication incriminée et porte plainte contre la femme d’affaires véreuse.
K. Thiam sera localisée et arrêtée par la DSC. Elle passe aux aveux et détaille son mode opératoire, selon "L'Observateur". Qui souffle que l’exploitation de son téléphone a permis de mesurer l’ampleur de l’«arnaque aux cheveux naturels».
Le mode opératoire de K. Thiam est aussi simple qu’efficace. Le quotidien du Groupe futurs médias rapporte qu’elle s’est servie d’un compte Snapchat bien dénommé «Blendhairoff» pour lancer une tontine de «cheveux naturels». Afin de bien ferrer ses cibles, elle se présente sous les traits forcés d'une femme d’affaires à succès. Les followers affluent, mais il lui en faut davantage pour réaliser un coup de maître.
C’est ainsi qu’elle se tourne vers une célèbre influenceuse nommée N. Diop. Pour convaincre cette dernière, souffle "L’Observateur", K. Thiam apparaît en fille-mère qui tenterait de sortir de la mauvaise qu’elle traverserait, en vendant en ligne des «cheveux naturels» et des perruques. Puis, elle lance la fameuse tontine et supplie l’influenceuse de faire la pub de ses produits sur sa page. «Sensible à cette plaidoirie émouvante, N. Diop accepte sans réserve», rapporte le journal. C’était l’erreur à ne pas commettre.
Le carnet de commandes de K. Thiam explose. Les souscriptions à la tontine, aussi. Les transferts d’argent pour son compte s’enchaînent. "L’Observateur" révèle que chaque fois qu’elle encaisse un montant, la mise en cause s’empresse de bloquer le numéro de l’expéditrice. Le quotidien d’information renseigne que plus de 70 victimes, dont la plupart sont des followers de l’influenceuse, ont déjà été identifiées.
Cette dernière sera alertée lorsqu’elle a commencé à recevoir sur sa page, les complaintes de ses suiveurs, qui l’accusent d’être de mèche avec K. Thiam. Pour prouver sa bonne foi, elle retire la publication incriminée et porte plainte contre la femme d’affaires véreuse.
K. Thiam sera localisée et arrêtée par la DSC. Elle passe aux aveux et détaille son mode opératoire, selon "L'Observateur". Qui souffle que l’exploitation de son téléphone a permis de mesurer l’ampleur de l’«arnaque aux cheveux naturels».