La statue de la Renaissance Africaine ne peut se faire à l’effigie d’une seule famille méphistophélique, paresseuse, pressureuse, voyageant au gré du vent, grâce à l’argent racketté dans la poche présumée extensible du contribuable sénégalais.
La terreur de la « wadocratie », autocratique, atteignit son paroxysme avec l’instrumentalisation d’une police politique au service du dictateur, qui devint, alors, le bras armé pour régler les contradictions politiques.
Personne ne fut épargné, puisque Macky Sall, le président de l’Assemblée Nationale, paya un lourd tribut à « ce crime de lèse-majesté » en 2008, pour avoir l’outrecuidance de convoquer le fils intouchable, karim wade, devant les députés pour une explication sur son action, concernant l’anoci [Agence nationale pour l’Organisation de la Conférence islamique], tenue finalement à Dakar en mars 2008.
Hommage bien mérité à l’éternelle sentinelle de la république, Abdoulaye Bathily. selon l’interview du journal « Enquête », en date du 15 septembre 2011-numéro 82, Abdoulaye Bathily, Secrétaire Général de la LD, dit la vérité historique, je le cite : « ce n’est pas en 1998 que sa candidature [Abdoulaye Wade] a été présentée au peuple sénégalais. C’est en octobre 1999 qu’il est rentré de son exil volontaire. C’est là qu’on l’a mis en place ».
On se souvient du long purgatoire du maire de la cité du rail, embastillé injustement sur les prétendus détournements de fonds des chantiers de Thiès, entre autres, les démêlés judiciaires du respecté et respectable ALC, l’honorable journaliste d’investigation, auteur de plusieurs ouvrages, « Sénégal Affaire Me Sèye : un meurtre sur commande », « Loterie nationale Sénégalaise[lonase] : chronique d’un pillage organisé », notamment, « Conte et Mécompte de l’anoci », traîné à la boue et condamné « pour vol et recels de documents administratifs et privés », dans un procès burlesque sur l’affaire sudatel avec Thierno Ousmane Sy, conseiller des nouvelles technologies du président de la république, Abdoulaye wade. « Dieu ne change rien à l'état d'un peuple avant qu'il ne se change lui-même ».
La goutte d’eau déborda le vase, suite à la modification de la constitution instituant le poste d’un vice-président taillé sur mesure : une pièce à conviction de la dévolution monarchique, balayée par la rue, en juin 2011. Bref, en dix ans de magistrature, nous avons obtenu la palme de bonnet d’âne de pays où la liberté d’expression était publiquement médiocre, au plan économique, on a dégringolé pour n’être que dans le peloton des vingt derniers que compte la planète.
Essai / Etude politique / Sénégal / Ahmadou Diop /Auteur chez Edilivre
Le parti socialiste, usé après quarante ans de règne absolu, marqué par des plans structurels de la banque mondiale et du FMI, ne pouvait que perdre les élections présidentielles de mars 2000, en faveur d’un escroc, converti en faux démocrate. Contrairement à Senghor et à Abdou Diouf, Abdoulaye Wade, l’homme au visage hideux, démasqué publiquement, semble choisir comme seule option, la voie obscure, c'est-à-dire la dévolution monarchique du pouvoir par le sang, piétinant, allégrement, la constitution, afin d’assurer ses propres arriérés, en particulier, ceux de son cancre, Karim Wade, le paresseux.
Voilà donc, tous les ingrédients de mauvaise cuisine depuis mars 2000, au nom d’une anomalie de la démocratie et au coeur d’un État délinquant, en déliquescence, tendant à vassaliser tout un peuple en colère, debout. Que cela ne tienne ! Un régime de pugilat, excellant dans les coups tordus, jusqu’à châtier des journalistes, présumés récalcitrants, le plus souvent, traînés dans la boue dans les tribunaux aux ordres, pour des broutilles…
Ahmadou Diop
Le combat continue !
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La terreur de la « wadocratie », autocratique, atteignit son paroxysme avec l’instrumentalisation d’une police politique au service du dictateur, qui devint, alors, le bras armé pour régler les contradictions politiques.
Personne ne fut épargné, puisque Macky Sall, le président de l’Assemblée Nationale, paya un lourd tribut à « ce crime de lèse-majesté » en 2008, pour avoir l’outrecuidance de convoquer le fils intouchable, karim wade, devant les députés pour une explication sur son action, concernant l’anoci [Agence nationale pour l’Organisation de la Conférence islamique], tenue finalement à Dakar en mars 2008.
Hommage bien mérité à l’éternelle sentinelle de la république, Abdoulaye Bathily. selon l’interview du journal « Enquête », en date du 15 septembre 2011-numéro 82, Abdoulaye Bathily, Secrétaire Général de la LD, dit la vérité historique, je le cite : « ce n’est pas en 1998 que sa candidature [Abdoulaye Wade] a été présentée au peuple sénégalais. C’est en octobre 1999 qu’il est rentré de son exil volontaire. C’est là qu’on l’a mis en place ».
On se souvient du long purgatoire du maire de la cité du rail, embastillé injustement sur les prétendus détournements de fonds des chantiers de Thiès, entre autres, les démêlés judiciaires du respecté et respectable ALC, l’honorable journaliste d’investigation, auteur de plusieurs ouvrages, « Sénégal Affaire Me Sèye : un meurtre sur commande », « Loterie nationale Sénégalaise[lonase] : chronique d’un pillage organisé », notamment, « Conte et Mécompte de l’anoci », traîné à la boue et condamné « pour vol et recels de documents administratifs et privés », dans un procès burlesque sur l’affaire sudatel avec Thierno Ousmane Sy, conseiller des nouvelles technologies du président de la république, Abdoulaye wade. « Dieu ne change rien à l'état d'un peuple avant qu'il ne se change lui-même ».
La goutte d’eau déborda le vase, suite à la modification de la constitution instituant le poste d’un vice-président taillé sur mesure : une pièce à conviction de la dévolution monarchique, balayée par la rue, en juin 2011. Bref, en dix ans de magistrature, nous avons obtenu la palme de bonnet d’âne de pays où la liberté d’expression était publiquement médiocre, au plan économique, on a dégringolé pour n’être que dans le peloton des vingt derniers que compte la planète.
Essai / Etude politique / Sénégal / Ahmadou Diop /Auteur chez Edilivre
Le parti socialiste, usé après quarante ans de règne absolu, marqué par des plans structurels de la banque mondiale et du FMI, ne pouvait que perdre les élections présidentielles de mars 2000, en faveur d’un escroc, converti en faux démocrate. Contrairement à Senghor et à Abdou Diouf, Abdoulaye Wade, l’homme au visage hideux, démasqué publiquement, semble choisir comme seule option, la voie obscure, c'est-à-dire la dévolution monarchique du pouvoir par le sang, piétinant, allégrement, la constitution, afin d’assurer ses propres arriérés, en particulier, ceux de son cancre, Karim Wade, le paresseux.
Voilà donc, tous les ingrédients de mauvaise cuisine depuis mars 2000, au nom d’une anomalie de la démocratie et au coeur d’un État délinquant, en déliquescence, tendant à vassaliser tout un peuple en colère, debout. Que cela ne tienne ! Un régime de pugilat, excellant dans les coups tordus, jusqu’à châtier des journalistes, présumés récalcitrants, le plus souvent, traînés dans la boue dans les tribunaux aux ordres, pour des broutilles…
Ahmadou Diop
Le combat continue !
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