En 2000, le Sénégal signe sa première alternance, l’enthousiasme et la fierté retentissent dans tous les cœurs des 11 millions de Sénégalais ; nous autres de la diaspora, manifestons un bonheur jusqu’à même bomber le torse devant nos amis européens pour leur dire chez nous il y’a de la DEMOCRATIE.
Le président, un an après pose un grand acte ; il demande à réécrire la constitution et la fait voter par referendum.
2 articles 27 et 104 précisent la durée des mandats et le nombre de renouvellement.
Oui RENOUVELLEMENT le problème se pose à ce niveau, car bon nombres de Sénégalais parlent de nombre de mandat or ici le débat se pose plutôt sur le renouvellement du nombre de mandat.
Article 27 alinea 1er : « La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Le mandat est renouvelable une seule fois »
Donc il est clair qu’Abdoulaye Wade ne peut pas comme il l’a bien dit en se glorifiant d’avoir verrouillé la constitution.
« Non je ne peux pas être candidat en 2012 parceque j’ai limité le nombre de mandat à deux », en prononçant cette phrase, le Président de la République venait de donner l’interprétation historique du texte parceque c’est lui qui a inspiré la rédaction de la constitution.
A 29 jours francs du 26 février 2012, si le Conseil Constitutionnel déclare non recevable la candidature de Wade, je souhaite qu’il l’accepte présente ses excuses et ses adieux aux Sénégalais, c’est la seule porte qui lui reste et qu’il peut emprunter pour sortir la tête haute.
Le problème majeur reste les candidats qui resteront dans la course, au jour d’aujourd’hui, nous sommes à 9 candidats à ce rythme, on arrivera à 22 candidats, pourtant il est évident aujourd’hui que seuls les groupes dirigent ; nous sommes à l’air des grands ensembles.
Personne de ces candidats ne pourra gouverner seul, donc mes chers politiciens posez les bonnes réflexions pour dégager les bonnes stratégies afin de créer de bons groupes capables de gagner des élections et de gouverner d’une autre façon.
Abdou Ndao
Xelmi.org
Le président, un an après pose un grand acte ; il demande à réécrire la constitution et la fait voter par referendum.
2 articles 27 et 104 précisent la durée des mandats et le nombre de renouvellement.
Oui RENOUVELLEMENT le problème se pose à ce niveau, car bon nombres de Sénégalais parlent de nombre de mandat or ici le débat se pose plutôt sur le renouvellement du nombre de mandat.
Article 27 alinea 1er : « La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Le mandat est renouvelable une seule fois »
Donc il est clair qu’Abdoulaye Wade ne peut pas comme il l’a bien dit en se glorifiant d’avoir verrouillé la constitution.
« Non je ne peux pas être candidat en 2012 parceque j’ai limité le nombre de mandat à deux », en prononçant cette phrase, le Président de la République venait de donner l’interprétation historique du texte parceque c’est lui qui a inspiré la rédaction de la constitution.
A 29 jours francs du 26 février 2012, si le Conseil Constitutionnel déclare non recevable la candidature de Wade, je souhaite qu’il l’accepte présente ses excuses et ses adieux aux Sénégalais, c’est la seule porte qui lui reste et qu’il peut emprunter pour sortir la tête haute.
Le problème majeur reste les candidats qui resteront dans la course, au jour d’aujourd’hui, nous sommes à 9 candidats à ce rythme, on arrivera à 22 candidats, pourtant il est évident aujourd’hui que seuls les groupes dirigent ; nous sommes à l’air des grands ensembles.
Personne de ces candidats ne pourra gouverner seul, donc mes chers politiciens posez les bonnes réflexions pour dégager les bonnes stratégies afin de créer de bons groupes capables de gagner des élections et de gouverner d’une autre façon.
Abdou Ndao
Xelmi.org