Dans cet état, le maintien du président de la république aux commandes du pays répond simplement au projet monarchique en cours. Il va s’en dire qu’aujourd’hui, si un certain « fils » était à la tête du Sénat, alors « l’empêchement » serait prononcé immédiatement. Bref, nous voulons un seul Sénégal pour tous et tous pour un seul Sénégal. Dès lors l’opposition doit jouer franc jeu pour être plus crédible aux yeux des populations et de l’opinion internationale. Etablir une relation de confiance avec le peuple sénégalais, en proposant un projet de société prenant en compte l’ensemble des préoccupations des citoyens. Le temps presse et la population souffre, d’une part des limites du pouvoir libéral, et de l’incohérence du discours de l’opposition, d’autre part.
Les programmes politiques, tant du pouvoir que de l’opposition, sont volontiers diserts sur les réformes institutionnelles nécessaires à notre pays. Mais dans ces programmes, rares sont les réformes capables d’apporter la moindre solution aux problèmes que se posent nos compatriotes. Moins rares sont les contradictions immédiates : le pouvoir prône la bonne gouvernance alors que toutes nos institutions souffrent de manipulation et de chantage ; dans l’opposition on parle d’un retour vers la IV république Française (un système parlementaire à la Britishs) avec ses risques d’instabilité gouvernementale; et pour la conquête du pouvoir, une candidature unique pour l’opposition qui ne repose sur aucune demande du peuple souverain, pour accoucher d’un gouvernement de transition qui ne ferait que ramener le Sénégal à la conférence de la Baule, (Conférence des chefs d’Etat de France et d’Afrique) 20 juin 1990. Il n’y a pas de bonne politique sans vision. Et une vision doit être partagée pour se transformer en action efficace et heureuse. Le peuple ne veut plus d’un programme commun genre CA 2000. Il ne veut non plus, d’un programme élaboré par des technocrates assis dans des salons climatisé et coupés des réalités criardes du peuple sénégalais. Si beaucoup de réformes doivent être menées pour le bien des sénégalais, elles exigent diagnostic, recherche de solution, partage, action, évaluation et correction. Cette logique de l’amélioration du progrès continu, repose d’abord sur le dialogue. C’est fort de ce constat, que l’APR s’est donné le temps, afin d’élaborer un programme, certes ambitieux, mais conforme aux réalités sociologiques, économiques et politiques du Sénégal. Notre projet de société reflètera nos ambitions pour le Sénégal. Ce projet de société sera un trait d’union entre, réalités locales et choix nationaux, car l’un ne va pas sans l’autre si tant est, qu’on souhaite un développement équilibré et harmonieux pour le Sénégal.
Pour ce faire, Macky Sall et l’APR font appel à la démocratie participative, parce que les citoyens posent aujourd’hui, une plus grande exigence participative; parce que la décentralisation est là et change la forme du débat; parce que tout simplement, les citoyens veulent être impliqués. La communication, la discussion, la décision, ne fonctionnent plus simplement avec une logique verticale. Wade peut, à sa manière vouloir renforcer une chaîne de commandement verticale du pouvoir pour ne pas dire une dictature. Mais au Sénégal, nous avons besoin, même lorsqu’il s’agit de résoudre les questions les plus difficiles, d’avantage d’horizontalité. L’opposition le sait, par conséquent, dans sa stratégie de conquête du pouvoir, elle doit écouter et suivre l’opinion nationale. Elle doit impérativement gommer toute suspicion venant du peuple en tenant dans ses discours, un langage de vérité. Nous autres Républicains, nous nous inscrivons dans cette démarche, tout en proposant au peuple souverain, un candidat à la candidature qui ne viendrait pas avec un programme préfabriqué, mais au contraire, avec une vision claire, permettant d’élaborer ensemble, un programme répondant aux besoins des citoyens. Aussi ce candidat à la candidature, de par son parcours politique, se trouve être le seul leader à emprunter la troisième voix, c'est-à-dire le Centre. En effet, Macky Sall et l’APR sont à la croisée des deux familles idéologiques, gauche – droite. Des citoyens républicains, ils en existent énormément à gauche comme à droite. Un tel candidat nous semble en mesure de fédérer un grand nombre de compatriotes autour de la seule famille qui nous importe: un seul Sénégal pour tous les sénégalais.
Il est à même de ridiculiser l'adversaire, d'inviter, d'enrôler, d'exciter un peuple meurtri, assoupi, à la Révolution! Il saurait lui, Macky Sall, réveiller le peuple du Sénégal, lui redonner fierté, lui rappeler qu'il a toujours su se relever, ce peuple, se redresser quand la tyrannie menaçait, quand la justice périclitait, quand la cohésion nationale se perdait! Ce Sénégal des banlieues et des villages, des mosquées, des dahiras et des paroisses, des notables, des paysans, des intellectuels, ce Sénégal à 70% rural, ce Sénégal de Blaise Diagne, Ngalandou Diouf, Lamine Gueye, Léopold Sédar Senghor et de Mamadou Dia, oui ce Sénégal, nous en sommes persuadé, regrette énormément cette rupture de démocratie qu’il vit au quotidien. Ce Sénégal, qui le 19 mars 2000, a voté pour Wade à contre cœur, ne désespère pas de se trouver un homme d’Etat à sa hauteur. Nous pensons que Macky Sall, l’homme du Centre, ce technocrate et homme politique qui a fait ses preuves au sein de l’Etat, si le peuple du Sénégal lui fait confiance, peut sans nul doute, relever ce défi ?
Trêve de lyrisme, soyons concrets. Au-delà du Benno, l’opposition dans son ensemble doit savoir que, pour son retour aux affaires très prochainement, Macky Sall et l’APR restent incontournables. En 2012, Macky Sall piquera énormément de voix à l’éternel candidat à la candidature des libéraux, la seule constante du Pds, vu qu’ils sont nombreux à droite, à voter pour lui faute de mieux. Bref, ce Macky Sall est le plus sûr allié du peuple sénégalais et de l’opposition, pour une conquête démocratique du pouvoir en 2012.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire national chargé de la diaspora APR YAAKAR
Les programmes politiques, tant du pouvoir que de l’opposition, sont volontiers diserts sur les réformes institutionnelles nécessaires à notre pays. Mais dans ces programmes, rares sont les réformes capables d’apporter la moindre solution aux problèmes que se posent nos compatriotes. Moins rares sont les contradictions immédiates : le pouvoir prône la bonne gouvernance alors que toutes nos institutions souffrent de manipulation et de chantage ; dans l’opposition on parle d’un retour vers la IV république Française (un système parlementaire à la Britishs) avec ses risques d’instabilité gouvernementale; et pour la conquête du pouvoir, une candidature unique pour l’opposition qui ne repose sur aucune demande du peuple souverain, pour accoucher d’un gouvernement de transition qui ne ferait que ramener le Sénégal à la conférence de la Baule, (Conférence des chefs d’Etat de France et d’Afrique) 20 juin 1990. Il n’y a pas de bonne politique sans vision. Et une vision doit être partagée pour se transformer en action efficace et heureuse. Le peuple ne veut plus d’un programme commun genre CA 2000. Il ne veut non plus, d’un programme élaboré par des technocrates assis dans des salons climatisé et coupés des réalités criardes du peuple sénégalais. Si beaucoup de réformes doivent être menées pour le bien des sénégalais, elles exigent diagnostic, recherche de solution, partage, action, évaluation et correction. Cette logique de l’amélioration du progrès continu, repose d’abord sur le dialogue. C’est fort de ce constat, que l’APR s’est donné le temps, afin d’élaborer un programme, certes ambitieux, mais conforme aux réalités sociologiques, économiques et politiques du Sénégal. Notre projet de société reflètera nos ambitions pour le Sénégal. Ce projet de société sera un trait d’union entre, réalités locales et choix nationaux, car l’un ne va pas sans l’autre si tant est, qu’on souhaite un développement équilibré et harmonieux pour le Sénégal.
Pour ce faire, Macky Sall et l’APR font appel à la démocratie participative, parce que les citoyens posent aujourd’hui, une plus grande exigence participative; parce que la décentralisation est là et change la forme du débat; parce que tout simplement, les citoyens veulent être impliqués. La communication, la discussion, la décision, ne fonctionnent plus simplement avec une logique verticale. Wade peut, à sa manière vouloir renforcer une chaîne de commandement verticale du pouvoir pour ne pas dire une dictature. Mais au Sénégal, nous avons besoin, même lorsqu’il s’agit de résoudre les questions les plus difficiles, d’avantage d’horizontalité. L’opposition le sait, par conséquent, dans sa stratégie de conquête du pouvoir, elle doit écouter et suivre l’opinion nationale. Elle doit impérativement gommer toute suspicion venant du peuple en tenant dans ses discours, un langage de vérité. Nous autres Républicains, nous nous inscrivons dans cette démarche, tout en proposant au peuple souverain, un candidat à la candidature qui ne viendrait pas avec un programme préfabriqué, mais au contraire, avec une vision claire, permettant d’élaborer ensemble, un programme répondant aux besoins des citoyens. Aussi ce candidat à la candidature, de par son parcours politique, se trouve être le seul leader à emprunter la troisième voix, c'est-à-dire le Centre. En effet, Macky Sall et l’APR sont à la croisée des deux familles idéologiques, gauche – droite. Des citoyens républicains, ils en existent énormément à gauche comme à droite. Un tel candidat nous semble en mesure de fédérer un grand nombre de compatriotes autour de la seule famille qui nous importe: un seul Sénégal pour tous les sénégalais.
Il est à même de ridiculiser l'adversaire, d'inviter, d'enrôler, d'exciter un peuple meurtri, assoupi, à la Révolution! Il saurait lui, Macky Sall, réveiller le peuple du Sénégal, lui redonner fierté, lui rappeler qu'il a toujours su se relever, ce peuple, se redresser quand la tyrannie menaçait, quand la justice périclitait, quand la cohésion nationale se perdait! Ce Sénégal des banlieues et des villages, des mosquées, des dahiras et des paroisses, des notables, des paysans, des intellectuels, ce Sénégal à 70% rural, ce Sénégal de Blaise Diagne, Ngalandou Diouf, Lamine Gueye, Léopold Sédar Senghor et de Mamadou Dia, oui ce Sénégal, nous en sommes persuadé, regrette énormément cette rupture de démocratie qu’il vit au quotidien. Ce Sénégal, qui le 19 mars 2000, a voté pour Wade à contre cœur, ne désespère pas de se trouver un homme d’Etat à sa hauteur. Nous pensons que Macky Sall, l’homme du Centre, ce technocrate et homme politique qui a fait ses preuves au sein de l’Etat, si le peuple du Sénégal lui fait confiance, peut sans nul doute, relever ce défi ?
Trêve de lyrisme, soyons concrets. Au-delà du Benno, l’opposition dans son ensemble doit savoir que, pour son retour aux affaires très prochainement, Macky Sall et l’APR restent incontournables. En 2012, Macky Sall piquera énormément de voix à l’éternel candidat à la candidature des libéraux, la seule constante du Pds, vu qu’ils sont nombreux à droite, à voter pour lui faute de mieux. Bref, ce Macky Sall est le plus sûr allié du peuple sénégalais et de l’opposition, pour une conquête démocratique du pouvoir en 2012.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire national chargé de la diaspora APR YAAKAR