L’ancienne ministre sénégalaise de la Santé a précisé que le vaccin était dans sa dernière phase de validation par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Le vaccin sera efficace à au moins 50 %, c’est dire donc qu’il n’a pas vocation à remplacer les autres moyens de prévention et de traitement du paludisme. Il va venir les renforcer et aider à poursuivre dans la dynamique des progrès contre la maladie enregistrés ces dernières années » , a-t-elle souligné.
Elle a par ailleurs évoqué l’objectif de faire éradiquer d’ici à 2015 le paludisme dans dix pays touchés par la maladie.
« Nous avons l’ambition d’y parvenir grâce aux efforts des pays concernés et au soutien de la communauté internationale. Au regard des progrès que nous avons déjà obtenus, il nous paraît parfaitement envisageable de faire disparaître le paludisme dans dix pays d’ici à 2015″, a indiqué Mme Coll-Seck.
On note la nette progression des financements internationaux de la lutte contre le paludisme, passés de près de 100 millions de dollars en 2003 à environ 1,5 milliard en 2010.
nettali.net
« Le vaccin sera efficace à au moins 50 %, c’est dire donc qu’il n’a pas vocation à remplacer les autres moyens de prévention et de traitement du paludisme. Il va venir les renforcer et aider à poursuivre dans la dynamique des progrès contre la maladie enregistrés ces dernières années » , a-t-elle souligné.
Elle a par ailleurs évoqué l’objectif de faire éradiquer d’ici à 2015 le paludisme dans dix pays touchés par la maladie.
« Nous avons l’ambition d’y parvenir grâce aux efforts des pays concernés et au soutien de la communauté internationale. Au regard des progrès que nous avons déjà obtenus, il nous paraît parfaitement envisageable de faire disparaître le paludisme dans dix pays d’ici à 2015″, a indiqué Mme Coll-Seck.
On note la nette progression des financements internationaux de la lutte contre le paludisme, passés de près de 100 millions de dollars en 2003 à environ 1,5 milliard en 2010.
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