Malgré la hausse des cas de covid-19, le Sénégal se situe au 62e rang mondial et au 27e rang africain. C’est une révélation faite par le Bureau de Prospective Economique du Sénégal (BPE), dans son étude d’évolution de l’indice de mesure et de suivi de la sévérité de la Covid-19 au niveau mondial.
A en croire le Directeur général du BPE, Moubarack Lô, ces résultats démontrent la légère amélioration du rang du Sénégal, en une semaine, en Afrique et dans le monde.
Le score du Sénégal est de (0,88) à la date du 03 janvier 2021 contre (0,88) le 27 décembre dernier, soit une sévérité faible, dit-il. L’analyse par continent montre que, pour l’Afrique, le Soudan du Sud arrive en tête avec un score de (1) et l’Afrique du Sud occupe la dernière place avec une moyenne de 0,86 à la date du 03 janvier contre 0,89 le 27 décembre 2020, soit une légère hausse de la sévérité.
En outre, renseigne le même rapport, les pays comme la Namibie, le Rwanda, le Nigéria et le Niger enregistrent les plus fortes progressions de scores dans l’indice en une semaine en Afrique.
« Seychelles, Cameroun, Bénin et Congo, quant à eux, signent les plus fortes baisses de leur score dans l’indice en une semaine (plus fortes hausses de la sévérité), en Afrique », rapportent Moubarack Lô et son équipe.
Pour le continent américain, le rapport du BPE informe que la sévérité de la pandémie est en baisse. Les scores varient entre un minimum de 0,60 (Honduras) et un maximum de 0,99 (Saint-Christophe-et-Niévès), avec une moyenne de 0,84 le 03 janvier 2021 contre 0,82 le 27 décembre, soit une sévérité faible.
A noter que cette étude est réalisée sur la base de la disponibilité de données régulières pour un échantillon large de pays et six variables regroupées en trois dimensions, dont les infections, guérisons et décès ont été sélectionnées pour composer l’indice de sévérité.
Et selon Moubarack Lô et son équipe, il s’agit entre autres de l’étude du taux d’infection, c’est-à-dire du nombre d’infections cumulées rapporté à la taille de la population, de la progression des nouvelles infections dans la période récente, du taux de guérison de la progression des guérisons, sur une période rapportée à la somme des nouvelles infections sur une période, du flux de nouveaux décès sur une période rapporté au nombre d’infectés à la période précédente et, du taux de létalité en rapport avec le nombre de décès et le nombre d’infectés.
L’As
A en croire le Directeur général du BPE, Moubarack Lô, ces résultats démontrent la légère amélioration du rang du Sénégal, en une semaine, en Afrique et dans le monde.
Le score du Sénégal est de (0,88) à la date du 03 janvier 2021 contre (0,88) le 27 décembre dernier, soit une sévérité faible, dit-il. L’analyse par continent montre que, pour l’Afrique, le Soudan du Sud arrive en tête avec un score de (1) et l’Afrique du Sud occupe la dernière place avec une moyenne de 0,86 à la date du 03 janvier contre 0,89 le 27 décembre 2020, soit une légère hausse de la sévérité.
En outre, renseigne le même rapport, les pays comme la Namibie, le Rwanda, le Nigéria et le Niger enregistrent les plus fortes progressions de scores dans l’indice en une semaine en Afrique.
« Seychelles, Cameroun, Bénin et Congo, quant à eux, signent les plus fortes baisses de leur score dans l’indice en une semaine (plus fortes hausses de la sévérité), en Afrique », rapportent Moubarack Lô et son équipe.
Pour le continent américain, le rapport du BPE informe que la sévérité de la pandémie est en baisse. Les scores varient entre un minimum de 0,60 (Honduras) et un maximum de 0,99 (Saint-Christophe-et-Niévès), avec une moyenne de 0,84 le 03 janvier 2021 contre 0,82 le 27 décembre, soit une sévérité faible.
A noter que cette étude est réalisée sur la base de la disponibilité de données régulières pour un échantillon large de pays et six variables regroupées en trois dimensions, dont les infections, guérisons et décès ont été sélectionnées pour composer l’indice de sévérité.
Et selon Moubarack Lô et son équipe, il s’agit entre autres de l’étude du taux d’infection, c’est-à-dire du nombre d’infections cumulées rapporté à la taille de la population, de la progression des nouvelles infections dans la période récente, du taux de guérison de la progression des guérisons, sur une période rapportée à la somme des nouvelles infections sur une période, du flux de nouveaux décès sur une période rapporté au nombre d’infectés à la période précédente et, du taux de létalité en rapport avec le nombre de décès et le nombre d’infectés.
L’As