
Le Réseau des jeunes pour la promotion de l’abandon des mutilations génitales féminines (MGF) et des mariages d’enfants, par la voix de son point focal à Sédhiou, a condamné l’excision collective de 11 filles au village de Soumacounda, dans le département de Goudomp, informe l'Aps.
Agées de cinq mois à cinq ans, ces filles ont été excisées le 15 février 2025, dans ce village de la région de Sédhiou, a précisé mercredi, Demba Samba Bâ, lors d’un point de presse présidé par le préfet de Goudomp, Abdou Diop.
”Le Réseau des jeunes pour la promotion de l’abandon des MGF et des mariages d’enfants condamne avec la plus grande fermeté, cet acte qui porte gravement atteinte aux droits des filles, notamment à leur droit à l’intégrité physique, à la santé et à une vie exempte de violences”, a dénoncé son point focal.
Selon lui, ”l’excision collective subie par 11 fillettes dans le village de Soumacounda, a suscité une forte indignation au sein de la communauté internationale, en particulier des Nations Unies, qui ont fermement dénoncé cette pratique, notamment à travers l’UNICEF, l’UNFPA et ONU Femmes”.
D'après toujours l'Aps, il a appelé ”à une indignation massive de tous les acteurs qui œuvrent pour la cause des droits humains, à travers un renforcement de la mobilisation sociale pour éradiquer les MGF et à une stricte application des lois existantes”.
M. Bâ a également invité les autorités et les acteurs locaux, ”à redoubler d’efforts pour garantir la protection des droits, de la santé et de la sécurité des filles, afin de mettre fin à ces violences et de promouvoir leur avenir dans des conditions de dignité et d’égalité”.
”Il s’agit aujourd’hui d’une rencontre de plaidoyer pour l’application de la loi portant interdiction des mutilations génitales féminines et des mariages des enfants”, a déclaré le préfet de Goudomp.
Aujourd’hui, a ajouté Abdou Diop, ”c’est le réseau des jeunes pour la promotion de l’abandon des mutilations génitales féminines et des mariages des enfants qui est à l’honneur, dans le cadre de ce qu’il est communément appelé le +Sunaro Kagnanta+ pour donc, apporter une réponse de la communauté suite à ce malheureux épisode qui s’est produit dans un village de la localité".
Il a exprimé son indignation suite à ce malheureux épisode qu’il a suivi de très près, en relation avec les autorités territoriales et les autorités préfectorales, pour dit-il, essayer de voir quelle sera la réponse que la communauté devra apporter pour venir à bout de telles pratiques.
Agées de cinq mois à cinq ans, ces filles ont été excisées le 15 février 2025, dans ce village de la région de Sédhiou, a précisé mercredi, Demba Samba Bâ, lors d’un point de presse présidé par le préfet de Goudomp, Abdou Diop.
”Le Réseau des jeunes pour la promotion de l’abandon des MGF et des mariages d’enfants condamne avec la plus grande fermeté, cet acte qui porte gravement atteinte aux droits des filles, notamment à leur droit à l’intégrité physique, à la santé et à une vie exempte de violences”, a dénoncé son point focal.
Selon lui, ”l’excision collective subie par 11 fillettes dans le village de Soumacounda, a suscité une forte indignation au sein de la communauté internationale, en particulier des Nations Unies, qui ont fermement dénoncé cette pratique, notamment à travers l’UNICEF, l’UNFPA et ONU Femmes”.
D'après toujours l'Aps, il a appelé ”à une indignation massive de tous les acteurs qui œuvrent pour la cause des droits humains, à travers un renforcement de la mobilisation sociale pour éradiquer les MGF et à une stricte application des lois existantes”.
M. Bâ a également invité les autorités et les acteurs locaux, ”à redoubler d’efforts pour garantir la protection des droits, de la santé et de la sécurité des filles, afin de mettre fin à ces violences et de promouvoir leur avenir dans des conditions de dignité et d’égalité”.
”Il s’agit aujourd’hui d’une rencontre de plaidoyer pour l’application de la loi portant interdiction des mutilations génitales féminines et des mariages des enfants”, a déclaré le préfet de Goudomp.
Aujourd’hui, a ajouté Abdou Diop, ”c’est le réseau des jeunes pour la promotion de l’abandon des mutilations génitales féminines et des mariages des enfants qui est à l’honneur, dans le cadre de ce qu’il est communément appelé le +Sunaro Kagnanta+ pour donc, apporter une réponse de la communauté suite à ce malheureux épisode qui s’est produit dans un village de la localité".
Il a exprimé son indignation suite à ce malheureux épisode qu’il a suivi de très près, en relation avec les autorités territoriales et les autorités préfectorales, pour dit-il, essayer de voir quelle sera la réponse que la communauté devra apporter pour venir à bout de telles pratiques.