Du 26 au 30 (janvier), il y aura une interdiction des manifestations sur l'ensemble du territoire pour préserver la sérénité et la paix dans le pays, a déclaré le ministre, Ousmane Ngom, à une radio privée locale Futurs médias (RFM).
Nous ne souhaitons pas de pression à l'endroit des membres du Conseil constitutionnel et de tous ce qui doivent participer à la prise de décision, a dit M. Ngom, également un des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir).
La vingtaine de candidats annoncés ont jusqu'à jeudi minuit pour déposer leurs candidatures devant le Conseil constitutionnel qui doit ensuite publier vendredi la liste de ceux qui seront autorisés à se présenter.
Sa décision concernant la candidature du président Abdoulaye Wade, contestée par l'opposition et la société civile, fait craindre des violences.
Agé de 85 ans, élu une première fois en 2000 pour sept ans et réélu en 2007 pour cinq ans, M. Wade est candidat à un nouveau mandat de sept ans après modification de la Constitution.
Cette candidature provoque une vive polémique et alimente les tensions depuis plusieurs mois au Sénégal: partisans et opposants du chef de l'Etat divergent sur l'interprétation de la Constitution, l'article relatif au mandat présidentiel ayant été modifié deux fois depuis 2001.
Nous ne souhaitons pas de pression à l'endroit des membres du Conseil constitutionnel et de tous ce qui doivent participer à la prise de décision, a dit M. Ngom, également un des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir).
La vingtaine de candidats annoncés ont jusqu'à jeudi minuit pour déposer leurs candidatures devant le Conseil constitutionnel qui doit ensuite publier vendredi la liste de ceux qui seront autorisés à se présenter.
Sa décision concernant la candidature du président Abdoulaye Wade, contestée par l'opposition et la société civile, fait craindre des violences.
Agé de 85 ans, élu une première fois en 2000 pour sept ans et réélu en 2007 pour cinq ans, M. Wade est candidat à un nouveau mandat de sept ans après modification de la Constitution.
Cette candidature provoque une vive polémique et alimente les tensions depuis plusieurs mois au Sénégal: partisans et opposants du chef de l'Etat divergent sur l'interprétation de la Constitution, l'article relatif au mandat présidentiel ayant été modifié deux fois depuis 2001.