Abdou Guité, cela fait un bon moment qu’on ne vous a pas au-devant de la scène. Pourquoi ce silence ?
Nous étions en préparation d’un album depuis très longtemps et nous avons été confrontés à des difficultés dues à des incidents. On avait fait des enregistrements pour l’album et malheureusement tout est parti en l’air parce que le disque dur qui contenait tous les enregistrements a pris feu. Aujourd’hui Dieu merci, nous avons pu réaliser à nouveau cet album qui sortira au mois de novembre.
Cela a été un coup dur pour vous ?
Exactement ! Mais comme nous croyons beaucoup au travail, nous nous sommes donné tous les atouts nécessaires pour réaliser encore cet album.
Qu’est-ce que cela vous a fait quand vous avez constaté les dégâts ?
Cela m’a fait trop mal et j’avais les larmes aux yeux. Je ne vais pas dire que j’en ai pleuré mais j’en ai quand même sorti des larmes parce que c’était douloureux. Mais je me suis dit que parfois l’être humain décide et que Dieu dispose. Donc on s’est remis à Dieu parce que cela devait se passer ainsi. Al hamdoulilah qu’on soit en bonne santé pour pouvoir le réaliser à nouveau.
Nous étions en préparation d’un album depuis très longtemps et nous avons été confrontés à des difficultés dues à des incidents. On avait fait des enregistrements pour l’album et malheureusement tout est parti en l’air parce que le disque dur qui contenait tous les enregistrements a pris feu. Aujourd’hui Dieu merci, nous avons pu réaliser à nouveau cet album qui sortira au mois de novembre.
Cela a été un coup dur pour vous ?
Exactement ! Mais comme nous croyons beaucoup au travail, nous nous sommes donné tous les atouts nécessaires pour réaliser encore cet album.
Qu’est-ce que cela vous a fait quand vous avez constaté les dégâts ?
Cela m’a fait trop mal et j’avais les larmes aux yeux. Je ne vais pas dire que j’en ai pleuré mais j’en ai quand même sorti des larmes parce que c’était douloureux. Mais je me suis dit que parfois l’être humain décide et que Dieu dispose. Donc on s’est remis à Dieu parce que cela devait se passer ainsi. Al hamdoulilah qu’on soit en bonne santé pour pouvoir le réaliser à nouveau.
Vous êtes sur le point de sortir votre 8e album. Parlez-nous un peu de cet album ?
Oui nous avons enregistré pas mal d’albums et puis un 8e, c’est un parcours, un long chemin et ce n’est pas évident. Aujourd’hui je pense qu’on peut garder l’espoir qu’on ne va s’arrêter ni au 8e, ni au 9e ou encore au 10e album. Moi je dis toujours que nous venons de commencer, il nous reste encore beaucoup d'expérience et de chemin à parcourir. Je ne crains rien car j’espère que les choses vont se passer de manière positive.
Présentement vous êtes en train de tourner un clip vidéo. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce morceau que vous avez choisi ?
Comme vous le constatez, on est en train de tourner la vidéo d’un morceau qui s’intitule « Djeleul sa Ndjel » ou on essaie de parler aux hommes pour qu’ils donnent plus de reconnaissance et de valeur à nos chères femmes. Essayons de les traiter à leurs justes valeurs. La femme sénégalaise au sens vrai, est brave car elle soutient sa famille.
Parlez-nous un peu des morceaux qui composent l’album...
On a enregistré dix titres mais on ne choisira que six qui vont composer l’album. Un titre dont je suis sûr qu’il fera partie de l’album est, « Doundou dey wess » Si ce morceau passe, nous allons procéder à l’explication de son sens, sur ce qu’on veut véhiculer à travers cette chanson.
Après la sortie de l’album, quelle est la prochaine étape ?
On souhaite que des tournées s’en suivent et que les spectacles vivants se fassent avec cet album live. Nous allons aussi continuer nos activités sociales avec le « Guité Club ». Après la vie continue.
Vous êtes désigné cette année pour accompagner Miss Labaado. Comment s’est fait le contact ?
C’est grâce à la relation que j’ai avec Pape Doudou Djiguel qui est l’initiateur de Miss Labaado. On a eu à collaborer de par le passé et aujourd’hui je pense que nous avons des rapports positifs. Je pense que je peux l’accompagner dans ce projet. Parce que quand il s’agit de la jeunesse, du social, de l’appel des femmes, je serai toujours là.
Oui nous avons enregistré pas mal d’albums et puis un 8e, c’est un parcours, un long chemin et ce n’est pas évident. Aujourd’hui je pense qu’on peut garder l’espoir qu’on ne va s’arrêter ni au 8e, ni au 9e ou encore au 10e album. Moi je dis toujours que nous venons de commencer, il nous reste encore beaucoup d'expérience et de chemin à parcourir. Je ne crains rien car j’espère que les choses vont se passer de manière positive.
Présentement vous êtes en train de tourner un clip vidéo. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce morceau que vous avez choisi ?
Comme vous le constatez, on est en train de tourner la vidéo d’un morceau qui s’intitule « Djeleul sa Ndjel » ou on essaie de parler aux hommes pour qu’ils donnent plus de reconnaissance et de valeur à nos chères femmes. Essayons de les traiter à leurs justes valeurs. La femme sénégalaise au sens vrai, est brave car elle soutient sa famille.
Parlez-nous un peu des morceaux qui composent l’album...
On a enregistré dix titres mais on ne choisira que six qui vont composer l’album. Un titre dont je suis sûr qu’il fera partie de l’album est, « Doundou dey wess » Si ce morceau passe, nous allons procéder à l’explication de son sens, sur ce qu’on veut véhiculer à travers cette chanson.
Après la sortie de l’album, quelle est la prochaine étape ?
On souhaite que des tournées s’en suivent et que les spectacles vivants se fassent avec cet album live. Nous allons aussi continuer nos activités sociales avec le « Guité Club ». Après la vie continue.
Vous êtes désigné cette année pour accompagner Miss Labaado. Comment s’est fait le contact ?
C’est grâce à la relation que j’ai avec Pape Doudou Djiguel qui est l’initiateur de Miss Labaado. On a eu à collaborer de par le passé et aujourd’hui je pense que nous avons des rapports positifs. Je pense que je peux l’accompagner dans ce projet. Parce que quand il s’agit de la jeunesse, du social, de l’appel des femmes, je serai toujours là.
Vous êtes enfant de Saint-Louis que vous chantez tout le temps. Pourquoi un tel attachement à cette ville ?
Je suis né à Saint-Louis, mes parents aussi. Faire ou dire autrement serait déplacé. Parce que je pense qu’il y a même des gens qui ne sont pas de cette localité et qui aiment raviver cette ville de par son décor, son passé, sa tradition et sa téranga légendaire. Donc je suis fier de ma ville.
Parlons de vous maintenant. Est-ce que Abdou Guité est réellement marié ?
Oui, je me suis marié il y a longtemps. Mais seulement ma femme est très discrète et je la respecte. C’est pourquoi je n’aime pas parler sur la place publique. C’est sa décision et cela ne me dérange pas. C’est bien de garder cette intimité.
Vous avez combien d’enfants ?
Je pense que ce n’est pas une question à laquelle il faut répondre. Là, si je parle de ses enfants, elle va me tuer (Rires !). J’en ai livré une grande page en tournant une vidéo avec mon propre fils.
Et pour finir, on a constaté dans beaucoup de vos vidéos la présence des enfants. Quelle est la place de l’enfant dans vos chansons ?
J’ai eu un beau souvenir d’enfance. Donc aujourd’hui je donne beaucoup de sens à cela et je voudrais que les enfants vivent les mêmes choses. Pour moi, c’est ma manière de participer à l’épanouissement des enfants. J’aime les enfants et c’est quelque chose de naturel. Je n’ai rien forcé en ce sens. Enfin c’est ma première source d’inspiration.
Interview réalisée par Cheikh Camara Coka.
Je suis né à Saint-Louis, mes parents aussi. Faire ou dire autrement serait déplacé. Parce que je pense qu’il y a même des gens qui ne sont pas de cette localité et qui aiment raviver cette ville de par son décor, son passé, sa tradition et sa téranga légendaire. Donc je suis fier de ma ville.
Parlons de vous maintenant. Est-ce que Abdou Guité est réellement marié ?
Oui, je me suis marié il y a longtemps. Mais seulement ma femme est très discrète et je la respecte. C’est pourquoi je n’aime pas parler sur la place publique. C’est sa décision et cela ne me dérange pas. C’est bien de garder cette intimité.
Vous avez combien d’enfants ?
Je pense que ce n’est pas une question à laquelle il faut répondre. Là, si je parle de ses enfants, elle va me tuer (Rires !). J’en ai livré une grande page en tournant une vidéo avec mon propre fils.
Et pour finir, on a constaté dans beaucoup de vos vidéos la présence des enfants. Quelle est la place de l’enfant dans vos chansons ?
J’ai eu un beau souvenir d’enfance. Donc aujourd’hui je donne beaucoup de sens à cela et je voudrais que les enfants vivent les mêmes choses. Pour moi, c’est ma manière de participer à l’épanouissement des enfants. J’aime les enfants et c’est quelque chose de naturel. Je n’ai rien forcé en ce sens. Enfin c’est ma première source d’inspiration.
Interview réalisée par Cheikh Camara Coka.