Quel regard portez-vous sur votre album ?
C’est un regard positif parce que loin de mes attentes, l’album a été bien accueilli par les Sénégalais. Franchement je les remercie. Je ne pensais pas qu’ils aimaient ma musique jusqu’à ce point. La preuve, lors de mon concert de lancement, il y avait plein de monde et j’étais vraiment émue. Donc je leur dis merci pour ce soutien qu’ils m’ont apportée, toute cette affection, cet accueil chaleureux de mon album « Maux Croisés »
Avez-vous trouvé les mots pour faire sortir tes « Maux Croisés » ?
Oui, en quelque sorte, j’ai croisé les maux. Mais c’est tout un concept dedans. Parce que l’album ne parle non seulement de la vie de Queen Biz, de son vécu, mais aussi de celui des autres. Il y a beaucoup de gens qui s’y retrouvent. Pourquoi « Maux Croisés » ? Parce que c’est tout un chemin. La vie de Queen Biz, c’est beaucoup d’histoires, de vieux souvenirs et d’émotions. Dieu Merci, parce qu’on est là à avoir cette force d’écrire des messages et de les présenter aux Sénégalais pour que cela puisse les servir
On note une variété de sonorités dans votre album. Quel genre de musique faites-vous? Rap, mbalax, pop...?
Le hip hop c’est ma base. Mais dans l’album, on y trouve une certaine variété et je dirais que c’est un style propre à Queen Biz. Je pars par thème. Dans mes chansons par exemples, prenons le cas de « Trahison », c’est du rnb soft. C’est mon histoire qui est relatée ; il fallait que ça soit mélancolique. Dans la vidéo, je pleurais, parce que c’était triste. Dans « Wallou », c’est de l’acoustique. Je l’ai fait pour mieux toucher toutes les couches de la population sénégalaise. Il y a aussi « Kédougou » que j’ai dédiée à ma maman parce qu’originaire de cette localité. Ce morceau est composé d’une musique traditionnelle avec le xalam qui est un instrument traditionnel. Il y a « Dirty Fuck » une chanson dans laquelle je fais du rap dur parce que je m’étais fâchée. D’habitude quand je me fâche, je fais du rap. Il y a aussi une chanson reggae que j’ai dédiée à mes fans. C’est une musique universelle et mes fans sont un peu partout à travers le monde. Dans cette chanson, tout le monde s’y retrouve.
Ne craignez-vous pas de décevoir certains fans, les fans de première heure ?
Je suis toujours dans le hip hop. Dans toutes mes chansons, il y a un beat hip hop. Même la chanson « Bakoulen » qui a créé une polémique, certains pensent que c’est du mbalax, mais c’est du « dirty sound » qui fait partie du hip hop. On a juste mis des percussions pour accompagner la chanson. Il fallait que je mette quelques sonorités pour innover, histoire de ne pas faire comme les autres. Ce n’est pas méchant, il faut un esprit d’ouverture. C’est ce qui fait la musique. Mêmes les plus grands rappeurs Américains le font.
Dans votre clip « Bakoulen », on vous a vu montrer vos talents de danseuse. Vous vouliez absolument un clip qui montre que vous n'êtes pas que chanteuse ?
Absolument ! J’ai voulu innover en dansant presque toutes les « baks » (danses) des lutteurs. Je suis allée au-delà de ça en portant des gris-gris. Même le réalisateur n’était pas d’accord quand il m’a vue les porter. Finalement, il est tombé d’accord. C’est une innovation de ma part. Il faut aussi noter que je suis quelqu’un de têtu.
C’est un regard positif parce que loin de mes attentes, l’album a été bien accueilli par les Sénégalais. Franchement je les remercie. Je ne pensais pas qu’ils aimaient ma musique jusqu’à ce point. La preuve, lors de mon concert de lancement, il y avait plein de monde et j’étais vraiment émue. Donc je leur dis merci pour ce soutien qu’ils m’ont apportée, toute cette affection, cet accueil chaleureux de mon album « Maux Croisés »
Avez-vous trouvé les mots pour faire sortir tes « Maux Croisés » ?
Oui, en quelque sorte, j’ai croisé les maux. Mais c’est tout un concept dedans. Parce que l’album ne parle non seulement de la vie de Queen Biz, de son vécu, mais aussi de celui des autres. Il y a beaucoup de gens qui s’y retrouvent. Pourquoi « Maux Croisés » ? Parce que c’est tout un chemin. La vie de Queen Biz, c’est beaucoup d’histoires, de vieux souvenirs et d’émotions. Dieu Merci, parce qu’on est là à avoir cette force d’écrire des messages et de les présenter aux Sénégalais pour que cela puisse les servir
On note une variété de sonorités dans votre album. Quel genre de musique faites-vous? Rap, mbalax, pop...?
Le hip hop c’est ma base. Mais dans l’album, on y trouve une certaine variété et je dirais que c’est un style propre à Queen Biz. Je pars par thème. Dans mes chansons par exemples, prenons le cas de « Trahison », c’est du rnb soft. C’est mon histoire qui est relatée ; il fallait que ça soit mélancolique. Dans la vidéo, je pleurais, parce que c’était triste. Dans « Wallou », c’est de l’acoustique. Je l’ai fait pour mieux toucher toutes les couches de la population sénégalaise. Il y a aussi « Kédougou » que j’ai dédiée à ma maman parce qu’originaire de cette localité. Ce morceau est composé d’une musique traditionnelle avec le xalam qui est un instrument traditionnel. Il y a « Dirty Fuck » une chanson dans laquelle je fais du rap dur parce que je m’étais fâchée. D’habitude quand je me fâche, je fais du rap. Il y a aussi une chanson reggae que j’ai dédiée à mes fans. C’est une musique universelle et mes fans sont un peu partout à travers le monde. Dans cette chanson, tout le monde s’y retrouve.
Ne craignez-vous pas de décevoir certains fans, les fans de première heure ?
Je suis toujours dans le hip hop. Dans toutes mes chansons, il y a un beat hip hop. Même la chanson « Bakoulen » qui a créé une polémique, certains pensent que c’est du mbalax, mais c’est du « dirty sound » qui fait partie du hip hop. On a juste mis des percussions pour accompagner la chanson. Il fallait que je mette quelques sonorités pour innover, histoire de ne pas faire comme les autres. Ce n’est pas méchant, il faut un esprit d’ouverture. C’est ce qui fait la musique. Mêmes les plus grands rappeurs Américains le font.
Dans votre clip « Bakoulen », on vous a vu montrer vos talents de danseuse. Vous vouliez absolument un clip qui montre que vous n'êtes pas que chanteuse ?
Absolument ! J’ai voulu innover en dansant presque toutes les « baks » (danses) des lutteurs. Je suis allée au-delà de ça en portant des gris-gris. Même le réalisateur n’était pas d’accord quand il m’a vue les porter. Finalement, il est tombé d’accord. C’est une innovation de ma part. Il faut aussi noter que je suis quelqu’un de têtu.
Pourquoi il n’y a eu de duos dans l’album ?
C’est juste pour montrer ma capacité. Parfois tu peux faire une chanson avec quelqu’un, si elle cartonne, certains vont en déduire que c’est l’autre qui a fait qu’elle ait eu du succès. Donc il fallait que je m’impose, que je montre ma capacité, cette faculté de pouvoir faire toute seule un album qui cartonne. Peut-être qu’il y en aura dans les prochains albums.
Comment vivez-vous dans le milieu du showbiz en tant que femme ?
Avec beaucoup de simplicité. Cela ne m’ébranle pas parce que j’ai eu un vécu particulier et beaucoup d’expériences dans cette vie. Je sais ce que je veux et ou je dois mettre mes pieds. La notoriété dans ce milieu ne peut me faire des choses que je n’ai pas l’habitude de faire, ni me faire changer de comportements et d’amis. Donc je suis restée la même petite Coumba (son vrai prénom) que les gens connaissaient. Quand on est forgée dans cette vie de « Maux Croisés », rien ne peut me faire changer, même s’il faut s’attendre à tout. Car dans la vie, le malheur côtoie le bonheur. Donc il faut garder tout le temps la tête sur les épaules.
Parlons maintenant de vous. Entreteniez-vous une relation intime avec le footballeur Moussa Sow comme l’ont dit certains médias ?
(Elle éclate de rires) Je ne connais même pas Moussa Sow. Personnellement, je le connais. Donc cela veut tout dire.
On disait aussi que vous sortiez avec le journaliste Yérim Seck et que finalement vous l’avez flanqué. C’est vrai ?
Ah oui ! Ils ont dit ça ? Yérim Seck ? Non ! Ce n’est pas du tout vrai. Si c’est vous qui l’avez écrit, il faut le démentir. Je ne le connais même pas et je n’ai jamais cherché à le connaitre. Il ne m’intéresse pas du tout. Et c’est moi qui vous le dis.
Alors vous avez connu un premier mariage, A quand le remariage ?
Dieu seul le sait. Pour l’instant je m’occupe de ma carrière en plus je n’ai pas de copain. Pour l’instant le mariage n’est pas dans ma tête, ce n’est pas dans mes projets les plus immédiats. Mais comme il ne faut jamais dire, jamais dans la vie. Donc je ne sais.
Quelle est votre chanson coup de cœur ?
Je te dirais que c’est « Sama Akh xol » C’est une très belle histoire imaginaire, un peu triste et qui parle de l’orgueil.
Interview réalisée par Cheikh Camara COKA
C’est juste pour montrer ma capacité. Parfois tu peux faire une chanson avec quelqu’un, si elle cartonne, certains vont en déduire que c’est l’autre qui a fait qu’elle ait eu du succès. Donc il fallait que je m’impose, que je montre ma capacité, cette faculté de pouvoir faire toute seule un album qui cartonne. Peut-être qu’il y en aura dans les prochains albums.
Comment vivez-vous dans le milieu du showbiz en tant que femme ?
Avec beaucoup de simplicité. Cela ne m’ébranle pas parce que j’ai eu un vécu particulier et beaucoup d’expériences dans cette vie. Je sais ce que je veux et ou je dois mettre mes pieds. La notoriété dans ce milieu ne peut me faire des choses que je n’ai pas l’habitude de faire, ni me faire changer de comportements et d’amis. Donc je suis restée la même petite Coumba (son vrai prénom) que les gens connaissaient. Quand on est forgée dans cette vie de « Maux Croisés », rien ne peut me faire changer, même s’il faut s’attendre à tout. Car dans la vie, le malheur côtoie le bonheur. Donc il faut garder tout le temps la tête sur les épaules.
Parlons maintenant de vous. Entreteniez-vous une relation intime avec le footballeur Moussa Sow comme l’ont dit certains médias ?
(Elle éclate de rires) Je ne connais même pas Moussa Sow. Personnellement, je le connais. Donc cela veut tout dire.
On disait aussi que vous sortiez avec le journaliste Yérim Seck et que finalement vous l’avez flanqué. C’est vrai ?
Ah oui ! Ils ont dit ça ? Yérim Seck ? Non ! Ce n’est pas du tout vrai. Si c’est vous qui l’avez écrit, il faut le démentir. Je ne le connais même pas et je n’ai jamais cherché à le connaitre. Il ne m’intéresse pas du tout. Et c’est moi qui vous le dis.
Alors vous avez connu un premier mariage, A quand le remariage ?
Dieu seul le sait. Pour l’instant je m’occupe de ma carrière en plus je n’ai pas de copain. Pour l’instant le mariage n’est pas dans ma tête, ce n’est pas dans mes projets les plus immédiats. Mais comme il ne faut jamais dire, jamais dans la vie. Donc je ne sais.
Quelle est votre chanson coup de cœur ?
Je te dirais que c’est « Sama Akh xol » C’est une très belle histoire imaginaire, un peu triste et qui parle de l’orgueil.
Interview réalisée par Cheikh Camara COKA