Une sage-femme d’État a été arrêtée par la police de Golf Sud, sur ordre du Parquet du Tribunal de Grande Instance de Pikine.
Tout est parti d’une affaire d’insultes opposant la mise en cause à son bailleur. "Les Échos" informe que ce dernier a porté plainte, lui reprochant d’avoir engagé des travaux de réfection dans la villa à usage d’habitation, qu’elle louait sans son aval. Une dispute a éclaté entre les deux.
Le plaignant accuse : « Je lui ai loué la villa à usage d’habitation et elle a voulu la modifier pour en faire un cabinet médical. Ce que j’ai catégoriquement refusé».
Il poursuit : « Je l’ai ainsi interpellée, et je lui demandée de débarrasser le plancher, mais elle a dit niet. Elle a ensuite proféré des injures».
Saisi d’une plainte, le Procureur ordonne l’ouverture d’une enquête préliminaire confiée au commissaire de Golf Sud, Adja Astou Marone, qui convoque la mise en cause. Face aux enquêteurs, la sage-femme reconnaît partiellement les faits. Elle admet avoir insulté son bailleur et déclare lui avoir déjà présenté ses excuses. Elle indique toutefois avoir conclu un accord pour la modification de la villa en cabinet médical.
C’est après avoir obtenu cet accord, dit-elle, qu’elle a « alors commencé à installer son matériel et les panneaux pour le cabinet médical». Mais, « à ma grande surprise, mon bailleur m’a déclaré que la villa était à usage d’habitation et non à but commercial », affirme-t-elle, reprise par le journal.
Selon "Les Échos", l’enquête a établi que la sage-femme d’État, titulaire d’un diplôme à l’École national de développement sanitaire (Endss), ne dispose même pas d’autorisation d’ouvrir, encore moins exploiter un cabinet paramédical, lit-on dans "Seneweb".
Déférée avant-hier, la mise en cause est finalement passée aux aveux, souligne la source.
Tout est parti d’une affaire d’insultes opposant la mise en cause à son bailleur. "Les Échos" informe que ce dernier a porté plainte, lui reprochant d’avoir engagé des travaux de réfection dans la villa à usage d’habitation, qu’elle louait sans son aval. Une dispute a éclaté entre les deux.
Le plaignant accuse : « Je lui ai loué la villa à usage d’habitation et elle a voulu la modifier pour en faire un cabinet médical. Ce que j’ai catégoriquement refusé».
Il poursuit : « Je l’ai ainsi interpellée, et je lui demandée de débarrasser le plancher, mais elle a dit niet. Elle a ensuite proféré des injures».
Saisi d’une plainte, le Procureur ordonne l’ouverture d’une enquête préliminaire confiée au commissaire de Golf Sud, Adja Astou Marone, qui convoque la mise en cause. Face aux enquêteurs, la sage-femme reconnaît partiellement les faits. Elle admet avoir insulté son bailleur et déclare lui avoir déjà présenté ses excuses. Elle indique toutefois avoir conclu un accord pour la modification de la villa en cabinet médical.
C’est après avoir obtenu cet accord, dit-elle, qu’elle a « alors commencé à installer son matériel et les panneaux pour le cabinet médical». Mais, « à ma grande surprise, mon bailleur m’a déclaré que la villa était à usage d’habitation et non à but commercial », affirme-t-elle, reprise par le journal.
Selon "Les Échos", l’enquête a établi que la sage-femme d’État, titulaire d’un diplôme à l’École national de développement sanitaire (Endss), ne dispose même pas d’autorisation d’ouvrir, encore moins exploiter un cabinet paramédical, lit-on dans "Seneweb".
Déférée avant-hier, la mise en cause est finalement passée aux aveux, souligne la source.