‘’Mensonge’’, a été certainement le mot le plus usité hier lors de la conférence de presse de l’Union des karimistes de la diaspora sénégalaise d’Italie, autrement nommée Ukadsi. Pour ceux qui ouvrent de grands yeux interrogateurs, ce mouvement, qui a à sa tête un certain Abdou Khadre Diokhané, serait un regroupement de 17 autres de la diaspora établie en Italie et dont les intérêts convergent vers la libération et la candidature à la présidentielle du fils de l’ancien chef de l’Etat sénégalais.
Ukadsi s’est donc payé un retour au pays natal, le temps de communiquer sur son cahier italien de charges politiques. En l’occurrence, une caravane 2017-2019, qui a pour objectif de sillonner toute l’Italie pour des campagnes de massification et de sensibilisation. En attendant, ils sont venus prouver leur détermination à Macky Sall, en traitant toute sa politique de mensonges. Pêle-mêle, sa gestion des mines, sa traque des biens mal acquis, sa politique arachidière ou même ses appartenances religieuses. Tout ceci sans grands argumentaires, si ce n’est l’idée de toucher la cible à l’applaudimètre. Ce qui dessert tout le travail du Parti démocratique sénégalais et son désir, tout autant démocratique, de placer un candidat à la présidentielle de 2019. Fut-il Karim Wade et sa ‘’grâce conditionnelle’’, comme le fustige justement l’Ukadsi.
L’Observateur
Ukadsi s’est donc payé un retour au pays natal, le temps de communiquer sur son cahier italien de charges politiques. En l’occurrence, une caravane 2017-2019, qui a pour objectif de sillonner toute l’Italie pour des campagnes de massification et de sensibilisation. En attendant, ils sont venus prouver leur détermination à Macky Sall, en traitant toute sa politique de mensonges. Pêle-mêle, sa gestion des mines, sa traque des biens mal acquis, sa politique arachidière ou même ses appartenances religieuses. Tout ceci sans grands argumentaires, si ce n’est l’idée de toucher la cible à l’applaudimètre. Ce qui dessert tout le travail du Parti démocratique sénégalais et son désir, tout autant démocratique, de placer un candidat à la présidentielle de 2019. Fut-il Karim Wade et sa ‘’grâce conditionnelle’’, comme le fustige justement l’Ukadsi.
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